Nosotros seguimos avanzando en dirección a la isla. Veo que mi padre señala delante y cierro los ojos, y deslumbrado por el sol me dejo llevar en su grupa, me dejo arrullar por el mar maternal y por la cálida, intemporal, marea. Será nuestro camino hacia el límite, nuestra complicidad, la que nos haga navegar hasta que las gaviotas disparen sus graznidos en dirección contraria, y entonces ya no haya vuelta atrás y lo único que pueda desear entre tanto mar será mar y que esas revelaciones serán sus cantos más seductores, los más sabios ecos de las sirenas extraviadas en el tiempo.
Traduction temporaire :
Nous poursuivons notre avancée en direction de l’île. Mon père montre quelque chose devant nous. Je ferme les yeux. Aveuglé par le soleil, je me laisse porter sur sa croupe, bercer par la mer maternelle, par la marée chaude, intemporelle. Notre chemin nous conduira vers la limite, notre complicité nous permettra de naviguer jusqu’à ce que les mouettes lancent leurs cris dans le sens contraire ; il n’y aura alors pas de retour possible, et l'unique chose que l'on pourra désirer au milieu de toute cette mer, ce sera la mer, et que ces révélations soient ses chants les plus envoutants, les échos les plus sensés des sirènes, perdues dans le temps.
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Nous poursuivons notre avancée en direction de l’île. Je vois que mon père montre quelque chose devant nous. Aveuglé par le soleil, je ferme les yeux et me laisse porter sur sa croupe, bercer par la mer maternelle, par la marée chaude, intemporelle. Notre chemin nous conduira vers les confins, notre complicité nous fera naviguer jusqu’à ce que les mouettes lancent leurs cris dans le sens contraire ; il n’y aura alors pas de retour possible, et tout ce que l’on puisse désirer autour de tant de mer, ce sera la mer, et que de telles révélations soient ses chants les plus envoutants, les échos les plus sensés des sirènes, perdues dans le temps.
Nous poursuivons notre avancée en direction de l’île. Je vois que mon père montre quelque chose devant nous. Aveuglé par le soleil [pas certaine que tu aies raison de changer la syntaxe… tu crées un truc de cause à effet…], je ferme les yeux et me laisse porter sur sa croupe, bercer par la mer maternelle, par la marée chaude, intemporelle. Notre chemin nous conduira vers les confins [pas un trop gros changement ?????], notre complicité nous fera [tu changes le sens] naviguer
jusqu’à ce que les mouettes lancent leurs cris dans le sens contraire ; il n’y aura alors pas de retour possible, et tout ce que l’on puisse désirer autour de tant de mer, ce sera la mer, et que de telles révélations soient ses chants les plus envoutants, les échos les plus sensés des sirènes, perdues dans le temps.
Nous poursuivons notre avancée en direction de l’île. Je vois que mon père montre quelque chose devant nous. Je ferme les yeux. Aveuglé par le soleil, je me laisse porter sur sa croupe, bercer par la mer maternelle, par la marée chaude, intemporelle. Notre chemin nous conduira vers la limite, notre complicité nous permettra de naviguer...
Nous poursuivons notre avancée en direction de l’île. Je vois que [nécessaire ?] mon père montre quelque chose devant nous. Je ferme les yeux. Aveuglé par le soleil, je me laisse porter sur sa croupe, bercer par la mer maternelle, par la marée chaude, intemporelle. Notre chemin nous conduira vers la limite, notre complicité nous permettra de naviguer...
Nous poursuivons notre avancée en direction de l’île. Mon père montre quelque chose devant nous. Je ferme les yeux. Aveuglé par le soleil, je me laisse porter sur sa croupe, bercer par la mer maternelle, par la marée chaude, intemporelle. Notre chemin nous conduira vers la limite, notre complicité nous permettra de naviguer jusqu’à ce que les mouettes lancent leurs cris dans le sens contraire ; il n’y aura alors pas de retour possible, et tout ce que l’on puisse désirer autour de tant de mer, ce sera la mer, et que de telles révélations soient ses chants les plus envoutants, les échos les plus sensés des sirènes, perdues dans le temps.
Nous poursuivons notre avancée en direction de l’île. Mon père montre quelque chose devant nous. Je ferme les yeux. Aveuglé par le soleil, je me laisse porter sur sa croupe, bercer par la mer maternelle, par la marée chaude, intemporelle. Notre chemin nous conduira vers la limite, notre complicité nous permettra de naviguer jusqu’à ce que les mouettes lancent leurs cris dans le sens contraire ; il n’y aura alors pas de retour possible, et tout ce que l’on puisse désirer [mal dit / grammaire ?] autour [pour « entre » ?] de tant de mer, ce sera la mer, et que de telles [« ces » ?] révélations soient ses chants les plus envoutants, les échos les plus sensés des sirènes, perdues dans le temps.
Nous poursuivons notre avancée en direction de l’île. Mon père montre quelque chose devant nous. Je ferme les yeux. Aveuglé par le soleil, je me laisse porter sur sa croupe, bercer par la mer maternelle, par la marée chaude, intemporelle. Notre chemin nous conduira vers la limite, notre complicité nous permettra de naviguer jusqu’à ce que les mouettes lancent leurs cris dans le sens contraire ; il n’y aura alors pas de retour possible, et tout ce que l’on peut désirer entre tant de mer, ce sera la mer, et que de ces révélations soient ses chants les plus envoutants, les échos les plus sensés des sirènes, perdues dans le temps.
Nous poursuivons notre avancée en direction de l’île. Mon père montre quelque chose devant nous. Je ferme les yeux. Aveuglé par le soleil, je me laisse porter sur sa croupe, bercer par la mer maternelle, par la marée chaude, intemporelle. Notre chemin nous conduira vers la limite, notre complicité nous permettra de naviguer jusqu’à ce que les mouettes lancent leurs cris dans le sens contraire ; il n’y aura alors pas de retour possible, et tout ce que l’on peut désirer entre [« au lieu de toute cette » ? En fait, je te mettais le mot espagnol… pas une trad possible] tant de mer, ce sera la mer, et que de [?] ces révélations soient ses chants les plus envoutants, les échos les plus sensés des sirènes, perdues dans le temps.
Nous poursuivons notre avancée en direction de l’île. Mon père montre quelque chose devant nous. Je ferme les yeux. Aveuglé par le soleil, je me laisse porter sur sa croupe, bercer par la mer maternelle, par la marée chaude, intemporelle. Notre chemin nous conduira vers la limite, notre complicité nous permettra de naviguer jusqu’à ce que les mouettes lancent leurs cris dans le sens contraire ; il n’y aura alors pas de retour possible, et la seule chose que l’on puisse désirer au milieu de toute cette mer, ce sera la mer, et que ces révélations soient ses chants les plus envoutants, les échos les plus sensés des sirènes, perdues dans le temps.
Nous poursuivons notre avancée en direction de l’île. Mon père montre quelque chose devant nous. Je ferme les yeux. Aveuglé par le soleil, je me laisse porter sur sa croupe, bercer par la mer maternelle, par la marée chaude, intemporelle. Notre chemin nous conduira vers la limite, notre complicité nous permettra de naviguer jusqu’à ce que les mouettes lancent leurs cris dans le sens contraire ; il n’y aura alors pas de retour possible, et la seule chose que l’on puisse désirer [« l'unique chose que l'on pourra désirer »] au milieu de toute cette mer, ce sera la mer, et que ces révélations soient ses chants les plus envoutants, les échos les plus sensés des sirènes, perdues dans le temps.
Nous poursuivons notre avancée en direction de l’île. Mon père montre quelque chose devant nous. Je ferme les yeux. Aveuglé par le soleil, je me laisse porter sur sa croupe, bercer par la mer maternelle, par la marée chaude, intemporelle. Notre chemin nous conduira vers la limite, notre complicité nous permettra de naviguer jusqu’à ce que les mouettes lancent leurs cris dans le sens contraire ; il n’y aura alors pas de retour possible, et l'unique chose que l'on pourra désirer au milieu de toute cette mer, ce sera la mer, et que ces révélations soient ses chants les plus envoutants, les échos les plus sensés des sirènes, perdues dans le temps.
Nous poursuivons notre avancée en direction de l’île. Mon père montre quelque chose devant nous. Je ferme les yeux. Aveuglé par le soleil, je me laisse porter sur sa croupe, bercer par la mer maternelle, par la marée chaude, intemporelle. Notre chemin nous conduira vers la limite, notre complicité nous permettra de naviguer jusqu’à ce que les mouettes lancent leurs cris dans le sens contraire ; il n’y aura alors pas de retour possible, et l'unique chose que l'on pourra désirer au milieu de toute cette mer, ce sera la mer, et que ces révélations soient ses chants les plus envoutants, les échos les plus sensés des sirènes, perdues dans le temps.
OK.
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