—A mí me la alquilaron —dijo el hombre—, sólo después pude comprarla. Tuve que vender todas las cosas que tenía y también las de mi mujer.
Onel sólo miraba los rincones de la casa casi desierta. Imposible saber lo que pensaba ni lo que le hacía recordar cada sombra, cada trozo de pared, ni la puerta, ni las ventanas que en ese momento estaban abiertas.
—A mí me la alquilaron —volvió a decir el hombre.
Traduction temporaire :
— On me l’a loué à moi, dit l’homme, c’est seulement par la suite que j’ai pu l’acheter. J’ai dû vendre toutes les affaires que j’avais et aussi celles de ma femme.
Onel ne regardait que les recoins de la maison presque vide. Impossible de savoir ce qu’il pensait ni ce que lui rappelait chaque ombre, chaque pan de mur, ni la porte, ni les fenêtres qui, à ce moment-là, étaient ouvertes.
— On me l’a loué à moi, répéta l’homme.
Traduction temporaire :
— On me l’a loué à moi, dit l’homme, c’est seulement par la suite que j’ai pu l’acheter. J’ai dû vendre toutes les affaires que j’avais et aussi celles de ma femme.
Onel ne regardait que les recoins de la maison presque vide. Impossible de savoir ce qu’il pensait ni ce que lui rappelait chaque ombre, chaque pan de mur, ni la porte, ni les fenêtres qui, à ce moment-là, étaient ouvertes.
— On me l’a loué à moi, répéta l’homme.
9 commentaires:
Je l’ai loué, dit l’homme, c’est seulement par la suite j’ai pu l’acheter. J’ai dû vendre toutes les affaires qu’il y avait et aussi celle de ma femme.
Onel regardait seulement les recoins de la maison presque vide. Impossible de savoir ce qu’il pensait ni ce que lui rappelait chaque ombre, chaque bout de mur, ni la porte, ni les fenêtres qui à ce moment-là étaient ouvertes.
-Je l’ai loué, répéta l’homme.
[et le tiret ????]Je l’ai loué, dit l’homme, c’est seulement par la suite [relisez-vous] j’ai pu l’acheter. J’ai dû vendre toutes les affaires qu’il y [CS ?] avait et aussi celle [gramaire] de ma femme.
Bon, vu le nombre d'erreurs et de coquilles, je vous laisse relire l'ensemble.
Onel regardait seulement les recoins de la maison presque vide. Impossible de savoir ce qu’il pensait ni ce que lui rappelait chaque ombre, chaque bout de mur, ni la porte, ni les fenêtres qui à ce moment-là étaient ouvertes.
-Je l’ai loué, répéta l’homme.
-Je l’ai loué, dit l’homme, c’est seulement par la suite que j’ai pu l’acheter. J’ai dû vendre toutes les affaires que j’avais et aussi celles de ma femme.
Onel regardait seulement les recoins de la maison presque vide. Impossible de savoir ce qu’il pensait ni ce que lui rappelait chaque ombre, chaque bout de mur, ni la porte, ni les fenêtres qui à ce moment-là étaient ouvertes.
-Je l’ai loué, répéta l’homme.
-[comme indiqué en cours, c'est le tiret long + espace]Je l’ai loué, dit l’homme, c’est seulement par la suite que j’ai pu l’acheter [malgré tout, il faut se demander pourquoi il commence avec « A mí »]. J’ai dû vendre toutes les affaires que j’avais et aussi celles de ma femme.
Onel regardait seulement [ou avec « ne que » ; j'hésite… Essayez les deux et voyez ce qui est mieux] les recoins de la maison presque vide. Impossible de savoir ce qu’il pensait ni ce que lui rappelait chaque ombre, chaque bout [« pan » ?] de mur, ni la porte, ni les fenêtres qui [vigule] à ce moment-là [virgule] étaient ouvertes.
-Je l’ai loué [même remarque qu'à au début], répéta l’homme.
—On me l’a loué, dit l’homme, c’est seulement par la suite que j’ai pu l’acheter. J’ai dû vendre toutes les affaires que j’avais et aussi celles de ma femme.
Onel ne regardait que les recoins de la maison presque vide. Impossible de savoir ce qu’il pensait ni ce que lui rappelait chaque ombre, chaque pan de mur, ni la porte, ni les fenêtres qui, à ce moment-là, étaient ouvertes.
—On me l’a loué, répéta l’homme.
—[espace]On me l’a loué [« à moi » ?], dit l’homme, c’est seulement par la suite que j’ai pu l’acheter. J’ai dû vendre toutes les affaires que j’avais et aussi celles de ma femme.
Onel ne regardait que les recoins de la maison presque vide. Impossible de savoir ce qu’il pensait ni ce que lui rappelait chaque ombre, chaque pan de mur, ni la porte, ni les fenêtres qui, à ce moment-là, étaient ouvertes.
—[espace]On me l’a loué, répéta l’homme.
— On me l’a loué à moi, dit l’homme, c’est seulement par la suite que j’ai pu l’acheter. J’ai dû vendre toutes les affaires que j’avais et aussi celles de ma femme.
Onel ne regardait que les recoins de la maison presque vide. Impossible de savoir ce qu’il pensait ni ce que lui rappelait chaque ombre, chaque pan de mur, ni la porte, ni les fenêtres qui, à ce moment-là, étaient ouvertes.
— On me l’a loué à moi, répéta l’homme.
— On me l’a loué à moi, dit l’homme, c’est seulement par la suite que j’ai pu l’acheter. J’ai dû vendre toutes les affaires que j’avais et aussi celles de ma femme.
Onel ne regardait que les recoins de la maison presque vide. Impossible de savoir ce qu’il pensait ni ce que lui rappelait chaque ombre, chaque pan de mur, ni la porte, ni les fenêtres qui, à ce moment-là, étaient ouvertes.
— On me l’a loué à moi, répéta l’homme.
OK.
Juliette ?
Ok.
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