vendredi 16 janvier 2015

Projet Justine / Joana – phrases 434-439


Cuando se me acercó estaba derrumbada. Le toqué la cara y le dije que el cuento era suyo, al mismo tiempo, trataba de recuperar mi cuaderno y ella lo retuvo hasta que cedió.Lo quería porque tú me lo diste. Quería que me dieras algo así. Me besó, después me llevó hacia la cama y se echó sobre mí un largo rato. Se despedía. Ambos lo sabíamos. Yo me quedaba con mi cuaderno, ella publicaría mi cuento, probablemente seguiría pensando en casarse, y yo me quedaría con lo que siempre soñó con escribir y no pudo.

Traduction temporaire :
Quand elle s'est approchée de moi, elle était effondrée. Je lui ai touché le visage en lui disant que ma nouvelle était à elle. En même temps, j'essayais de récupérer mon cahier, mais elle m'en a empêché, avant de céder. Je la voulais parce que tu me l'as donnée. J'avais envie que tu me donnes quelque chose comme ça. Elle m'embrassa puis m'emmena au lit et s'allongea sur un moi un long moment. Elle me faisait ses adieux. Nous le savions tous les deux. Je gardais mon cahier. Elle allait publier ma nouvelle, probablement toujours penser à se marier. Quant à moi, j'aurais ce qu'elle avait toujours rêvé d'écrire, sans jamais y parvenir.

7 commentaires:

Justine a dit…

Quand je me suis approché, elle était effondrée. Je lui ai caressé le visage en lui disant que ma nouvelle était à elle. En même temps, j'essayais de récupérer mon cahier, mais elle l'a gardé jusqu'à ce qu'elle cède. Je la voulais parce que tu me l'as donnée. Je voulais que tu me donnes un truc du genre. Elle m'embrassa puis m'emmena au lit et s'allongea sur un moi un long moment. Elle me faisait ses adieux. Nous le savions tous les deux. Je restais avec mon cahier, elle allait publier ma nouvelle, probablement toujours avoir à l'esprit de se marier, quant à moi, je garderai ce qu'elle avait toujours rêvé d'écrire, mais n'a jamais pu

Justine a dit…

Quand je me suis approché, elle était effondrée. Je lui ai caressé le visage en lui disant que ma nouvelle était à elle. En même temps, j'essayais de récupérer mon cahier, mais elle l'a gardé jusqu'à ce qu'elle cède. Je la voulais parce que tu me l'as donnée. Je voulais que tu me donnes un truc du genre. Elle m'embrassa puis m'emmena au lit et s'allongea sur un moi un long moment. Elle me faisait ses adieux. Nous le savions tous les deux. Je restais avec mon cahier, elle allait publier ma nouvelle, probablement toujours avoir à l'esprit de se marier, quant à moi, je garderai ce qu'elle avait toujours rêvé d'écrire, mais n'a jamais pu.

Tradabordo a dit…

Quand je me suis approché [CS // ne lis pas la V.O. trop vite], elle était effondrée. Je lui ai caressé [pas ce qui est dit] le visage en lui disant que ma nouvelle était à elle. En même temps, j'essayais de récupérer mon cahier, mais elle l'a gardé jusqu'à ce qu'elle cède [« , cédant finalement »]. Je la voulais parce que tu me l'as donnée. Je voulais que tu me donnes un truc du genre [mal dit]. Elle m'embrassa puis m'emmena au lit et s'allongea sur un moi un long moment. Elle me faisait ses adieux. Nous le savions tous les deux. Je restais avec [il y a mieux] mon cahier, [point] elle allait publier ma nouvelle, probablement toujours avoir à l'esprit de se marier [bout qui manque de naturel], quant à moi, je garderai [« j'aurais »] ce qu'elle avait toujours rêvé d'écrire, mais n'a jamais pu [mal dit + point]

Fragment pas assez travaillé…

Justine a dit…

Quand elle s'est approchée de moi, elle était effondrée. Je lui ai touché le visage en lui disant que ma nouvelle était à elle. En même temps, j'essayais de récupérer mon cahier, mais elle l'a conservé, cédant finalement. Je la voulais parce que tu me l'as donnée. Je voulais que tu me donnes quelque chose comme ça. Elle m'embrassa puis m'emmena au lit et s'allongea sur un moi un long moment. Elle me faisait ses adieux. Nous le savions tous les deux. Je gardais mon cahier. Elle allait publier ma nouvelle, probablement toujours penser à se marier, quant à moi,j'aurais ce qu'elle avait toujours rêvé d'écrire, sans jamais y parvenir.

Tradabordo a dit…

Quand elle s'est approchée de moi, elle était effondrée. Je lui ai touché le visage en lui disant que ma nouvelle était à elle. En même temps, j'essayais de récupérer mon cahier, mais elle l'a conservé, cédant finalement [ah non, là, on ne comprend pas le geste qu'ils font]. Je la voulais parce que tu me l'as donnée. Je voulais [« J'avais envie » // comme tu veux] que tu me donnes quelque chose comme ça. Elle m'embrassa puis m'emmena au lit et s'allongea sur un moi un long moment. Elle me faisait ses adieux. Nous le savions tous les deux. Je gardais mon cahier. Elle allait publier ma nouvelle, probablement toujours penser à se marier, [point] quant à moi,[espace]j'aurais ce qu'elle avait toujours rêvé d'écrire, sans jamais y parvenir.

Justine a dit…

Quand elle s'est approchée de moi, elle était effondrée. Je lui ai touché le visage en lui disant que ma nouvelle était à elle. En même temps, j'essayais de récupérer mon cahier, mais elle m'en a empêché, avant de céder. Je la voulais parce que tu me l'as donnée. J'avais envie que tu me donnes quelque chose comme ça. Elle m'embrassa puis m'emmena au lit et s'allongea sur un moi un long moment. Elle me faisait ses adieux. Nous le savions tous les deux. Je gardais mon cahier. Elle allait publier ma nouvelle, probablement toujours penser à se marier. Quant à moi, j'aurais ce qu'elle avait toujours rêvé d'écrire, sans jamais y parvenir.

Tradabordo a dit…

Quand elle s'est approchée de moi, elle était effondrée. Je lui ai touché le visage en lui disant que ma nouvelle était à elle. En même temps, j'essayais de récupérer mon cahier, mais elle m'en a empêché, avant de céder. Je la voulais parce que tu me l'as donnée. J'avais envie que tu me donnes quelque chose comme ça. Elle m'embrassa puis m'emmena au lit et s'allongea sur un moi un long moment. Elle me faisait ses adieux. Nous le savions tous les deux. Je gardais mon cahier. Elle allait publier ma nouvelle, probablement toujours penser à se marier. Quant à moi, j'aurais ce qu'elle avait toujours rêvé d'écrire, sans jamais y parvenir.

OK.