mercredi 4 mars 2015

Projet Émilie 8 – phrases 39-42

La vasta ciudad libertina era para mí un desierto donde se refugiaban mis placeres. Escasos amigos; breves visitas; largas horas de mesa; lecturas; mis peces; mis pájaros; una que otra noche tal cual orquesta de flautistas, y dos o tres ataques de gota por año... Tenía el honor de ser consultado para los banquetes, y por ahí figuraban, no sin elogio, dos o tres salsas de mi invención. Esto me daba derecho -lo digo sin orgullo- a un busto municipal, con tanta razón como a la compatriota que acababa de inventar un nuevo beso.

Traduction temporaire :
La vaste ville libertine était pour moi un désert où s'abritaient mes plaisirs. De rares amis ; de brèves visites ; de longues heures passées à table ; des lectures ; mes poissons ; mes oiseaux ; certains soirs, tel ou tel orchestre de flûtistes, et deux ou trois accès de goutte par an… J’avais l’honneur d’être consulté pour les banquets, où l’on pouvait trouver deux ou trois sauces de mon invention, amplement vantées. Cela me donnait droit – je l’affirme sans orgueil – à un buste municipal, aussi mérité que celui dédié à la compatriote qui venait d’inventer un nouveau baiser.

8 commentaires:

Emilie a dit…

La vaste ville libertine était pour moi un désert où se réfugiaient mes plaisirs. De rares amis ; de brèves visites ; de longues heures passées à table ; des lectures ; mes poissons ; mes oiseaux ; certains soirs, tel ou tel orchestre de flûtistes, et deux ou trois accès de goutte par an… [pr la ponctuation, on garde la série de « ; » ?]
J’avais l’honneur d’être consulté pour les banquets, où l’on pouvait trouver, ce dont je ne suis pas peu fier, deux ou trois sauces de mon invention. Ceci me donnait droit – je l’affirme sans orgueil – à un buste municipal, aussi mérité que celui dédié à la compatriote qui venait d’inventer un nouveau baiser.

Tradabordo a dit…

La vaste ville libertine était pour moi un désert où se réfugiaient [ou avec « abriter » ? J'hésite] mes plaisirs. De rares amis ; de brèves visites ; de longues heures passées à table ; des lectures ; mes poissons ; mes oiseaux ; certains soirs, tel ou tel orchestre de flûtistes, et deux ou trois accès de goutte par an… [pr la ponctuation, on garde la série de « ; » ? OUI]
J’avais l’honneur d’être consulté pour les banquets, où l’on pouvait trouver, ce dont je ne suis pas peu fier [sûre ?], deux ou trois sauces de mon invention. Ceci [« Cela»] me donnait droit – je l’affirme sans orgueil – à un buste municipal, aussi mérité que celui dédié à la compatriote qui venait d’inventer un nouveau baiser.

Emilie a dit…

La vaste ville libertine était pour moi un désert où s'abritaient mes plaisirs. De rares amis ; de brèves visites ; de longues heures passées à table ; des lectures ; mes poissons ; mes oiseaux ; certains soirs, tel ou tel orchestre de flûtistes, et deux ou trois accès de goutte par an…
J’avais l’honneur d’être consulté pour les banquets, où l’on pouvait trouver, ce dont je ne suis pas peu fier [sûre ? "non sans éloge" me semble ambigu / ou alors, c'est "deux ou trois sauces de mon invention, dont l'on faisait l'éloge"], deux ou trois sauces de mon invention. Cela me donnait droit – je l’affirme sans orgueil – à un buste municipal, aussi mérité que celui dédié à la compatriote qui venait d’inventer un nouveau baiser.

Tradabordo a dit…

La vaste ville libertine était pour moi un désert où s'abritaient mes plaisirs. De rares amis ; de brèves visites ; de longues heures passées à table ; des lectures ; mes poissons ; mes oiseaux ; certains soirs, tel ou tel orchestre de flûtistes, et deux ou trois accès de goutte par an…
J’avais l’honneur d’être consulté pour les banquets, où l’on pouvait trouver, ce dont je ne suis pas peu fier [sûre ? "non sans éloge" me semble ambigu / ou alors, c'est "deux ou trois sauces de mon invention, dont l'on faisait l'éloge" // je pense que c'est dans ce sens, mais sans le » l' »], deux ou trois sauces de mon invention. Cela me donnait droit – je l’affirme sans orgueil – à un buste municipal, aussi mérité que celui dédié à la compatriote qui venait d’inventer un nouveau baiser.

Emilie a dit…

La vaste ville libertine était pour moi un désert où s'abritaient mes plaisirs. De rares amis ; de brèves visites ; de longues heures passées à table ; des lectures ; mes poissons ; mes oiseaux ; certains soirs, tel ou tel orchestre de flûtistes, et deux ou trois accès de goutte par an…
J’avais l’honneur d’être consulté pour les banquets, où l’on pouvait trouver deux ou trois sauces de mon invention, dont on faisait l'éloge [en effet, ça semble + cohérent avec le "sin orgullo" qui suit]. Cela me donnait droit – je l’affirme sans orgueil – à un buste municipal, aussi mérité que celui dédié à la compatriote qui venait d’inventer un nouveau baiser.

Tradabordo a dit…

La vaste ville libertine était pour moi un désert où s'abritaient mes plaisirs. De rares amis ; de brèves visites ; de longues heures passées à table ; des lectures ; mes poissons ; mes oiseaux ; certains soirs, tel ou tel orchestre de flûtistes, et deux ou trois accès de goutte par an…
J’avais l’honneur d’être consulté pour les banquets, où l’on pouvait trouver deux ou trois sauces de mon invention, dont on faisait l'éloge [on changerait si on mettait : « vantées » / « amplement vantées » ? J'hésite]. Cela me donnait droit – je l’affirme sans orgueil – à un buste municipal, aussi mérité que celui dédié à la compatriote qui venait d’inventer un nouveau baiser.

Emilie a dit…

La vaste ville libertine était pour moi un désert où s'abritaient mes plaisirs. De rares amis ; de brèves visites ; de longues heures passées à table ; des lectures ; mes poissons ; mes oiseaux ; certains soirs, tel ou tel orchestre de flûtistes, et deux ou trois accès de goutte par an…
J’avais l’honneur d’être consulté pour les banquets, où l’on pouvait trouver deux ou trois sauces de mon invention, amplement vantées [je trouve ça bien]. Cela me donnait droit – je l’affirme sans orgueil – à un buste municipal, aussi mérité que celui dédié à la compatriote qui venait d’inventer un nouveau baiser.

Tradabordo a dit…

La vaste ville libertine était pour moi un désert où s'abritaient mes plaisirs. De rares amis ; de brèves visites ; de longues heures passées à table ; des lectures ; mes poissons ; mes oiseaux ; certains soirs, tel ou tel orchestre de flûtistes, et deux ou trois accès de goutte par an…
J’avais l’honneur d’être consulté pour les banquets, où l’on pouvait trouver deux ou trois sauces de mon invention, amplement vantées. Cela me donnait droit – je l’affirme sans orgueil – à un buste municipal, aussi mérité que celui dédié à la compatriote qui venait d’inventer un nouveau baiser.

OK.