vendredi 13 mars 2015

Projet Odile 2 – phrases 100-106

Es delirante y falto de ingenio, pensó Julio. Se le insinuaba ya el dolor de cabeza que a las seis de la tarde lo obligaba a cargar el café y tomar dos analgésicos. La soledad no puede ser sólo eso. Tiene que ser más aterradora que la muerte. Sólo hay una cosa más adversa que morir, morir sin compañía. Siempre que pienso en esto, recuerdo la noche que me dejaron solo. Despertar a los cuatro años y vagar por los patios interminables de una casa en la noche. 

Traduction temporaire :
C’est délirant et idiot, pensa Julio. Il sentait poindre le mal de tête qui, à six heures du  soir, l’obligeait à faire son café plus fort et à prendre deux analgésiques. La solitude, ça ne peut pas être que cela. Elle doit être plus effrayante que la mort. Il n’y a qu’une chose qui soit plus dure que mourir : mourir seul. Quand j’y pense, je me rappelle la nuit où ils m’avaient laissé seul. Se réveiller à quatre ans et errer dans la nuit à travers les cours interminables d’une maison.

6 commentaires:

Odile a dit…

Projet Odile 2 – phrases 100-106

C’est délirant et idiot, pensa Julio. Il sentait naître le mal de tête qui à six heures du soir l’obligeait à surdoser le café et à prendre deux analgésiques. La solitude ne peut être seulement cela. Elle doit être plus effrayante que la mort. Il n’y a qu’une chose plus dure que mourir : mourir sans compagnie. Chaque fois que je pense à cela, je me rappelle la nuit où ils me laissèrent seul. Se réveiller à quatre ans et errer dans la nuit à travers les patios interminables d’une maison.

Tradabordo a dit…

C’est délirant et idiot, pensa Julio. Il sentait naître [« poindre » ? Comme tu préfères] le mal de tête qui [virgule] à six heures du soir [virgule] l’obligeait à surdoser [clair ?] le [possessif ?] café et à prendre deux analgésiques. La solitude ne peut être seulement cela [fluide ?]. Elle doit être plus effrayante que la mort. Il n’y a qu’une chose plus dure que mourir : mourir sans compagnie [naturel ?]. Chaque fois que je pense [tu l'as déjà au début] à cela, je me rappelle la nuit où ils me laissèrent [PQP ?] seul. Se réveiller à quatre ans et errer dans la nuit à travers les patios [« cours »] interminables d’une maison.

Odile a dit…

Projet Odile 2 – phrases 100-106

C’est délirant et idiot, pensa Julio. Il sentait poindre le mal de tête qui, à six heures du
soir, l’obligeait à faire son café plus fort et à prendre deux analgésiques. La solitude ne peut pas être que ça. Elle doit être plus effrayante que la mort. Il n’y a qu’une chose plus dure que mourir : mourir seul. Quand j’y pense, je me rappelle la nuit où ils m’avaient laissé seul. Se réveiller à quatre ans et errer dans la nuit à travers les cours interminables d’une maison.

Tradabordo a dit…

C’est délirant et idiot, pensa Julio. Il sentait poindre le mal de tête qui, à six heures du
soir, l’obligeait à faire son café plus fort et à prendre deux analgésiques. La solitude ne peut pas être que ça [« La solitude, ça ne peut pas être que cela » ?]. Elle doit être plus effrayante que la mort. Il n’y a qu’une chose [« qui soit »] plus dure que mourir : mourir seul. Quand j’y pense, je me rappelle la nuit où ils m’avaient laissé seul. Se réveiller à quatre ans et errer dans la nuit à travers les cours interminables d’une maison.

Odile a dit…

Projet Odile 2 – phrases 100-106

C’est délirant et idiot, pensa Julio. Il sentait poindre le mal de tête qui, à six heures du
soir, l’obligeait à faire son café plus fort et à prendre deux analgésiques. La solitude, ça ne peut pas être que cela. Elle doit être plus effrayante que la mort. Il n’y a qu’une chose qui soit plus dure que mourir : mourir seul. Quand j’y pense, je me rappelle la nuit où ils m’avaient laissé seul. Se réveiller à quatre ans et errer dans la nuit à travers les cours interminables d’une maison.

Tradabordo a dit…

C’est délirant et idiot, pensa Julio. Il sentait poindre le mal de tête qui, à six heures du
soir, l’obligeait à faire son café plus fort et à prendre deux analgésiques. La solitude, ça ne peut pas être que cela. Elle doit être plus effrayante que la mort. Il n’y a qu’une chose qui soit plus dure que mourir : mourir seul. Quand j’y pense, je me rappelle la nuit où ils m’avaient laissé seul. Se réveiller à quatre ans et errer dans la nuit à travers les cours interminables d’une maison.

OK.