lundi 16 mars 2015

Projet Odile 2 – phrases 115-128

Se desgarra. Avanza crispado, vuelve a gritar. Su garganta se adelgaza. Sólo escucha su propia voz como maullido. Tengo ganas de encontrar aunque sea un hombre, una mujer, aunque sea al último ser viviente, para hacerlo pedazos. ¿Por qué me hacen esto? Sube al auto. Hay que telefonear a otras ciudades, a otros países, no puedo ser el último hombre. No quiero. Entra al departamento. Veinte llamadas, treinta. Números conocidos, números al azar, números cabalísticos. La televisión, la radio. Nadie.

Traduction temporaire :
Il se déchire. Il avance, crispé, recommence à crier. Sa gorge se serre. Il n’entend que sa propre voix, un miaulement. J’ai envie de rencontrer quelqu'un, n'importe qui, un homme ou une femme, même le dernier être vivant, pour le mettre en morceaux. Pourquoi me font-ils cela ? Il remonte en voiture. Il faut appeler d’autres villes, d’autres pays, je ne peux pas être le dernier homme. Je ne veux pas. Il regagne l’appartement. Vingt appels, trente. Numéros connus, numéros au hasard, numéros cabalistiques. La télévision, la radio. Personne.

4 commentaires:

Odile a dit…

Projet Odile 2 – phrases 115-128

Il s’éloigne. Il avance crispé, recommence à crier. Sa gorge se serre. Il n’entend que sa propre voix, comme un miaulement. J’ai envie de rencontrer que ce soit un homme ou une femme, même le dernier être vivant, pour le mettre en morceaux. Pourquoi me font-ils cela ? Il reprend la voiture. Il faut téléphoner à d’autres villes, à d’autres pays, je ne peux être le dernier homme. Je ne veux pas. Il regagne l’appartement. Vingt appels, trente. Numéros connus, numéros au hasard, numéros cabalistiques. La télévision, la radio. Personne.

Tradabordo a dit…

Il s’éloigne [FS ?]. Il avance [virgule] crispé, recommence à crier. Sa gorge se serre. Il n’entend que sa propre voix, comme [nécessaire ? Comme tu veux…] un miaulement. J’ai envie de rencontrer [cheville : « quelqu'un, n'importe qui »] que ce soit [supprime ça] un homme ou une femme, même le dernier être vivant, pour le mettre en morceaux. Pourquoi me font-ils cela ? Il reprend la [ou : « remonte en » ?] voiture. Il faut téléphoner à [?] d’autres villes, à [?] d’autres pays, je ne peux [je mettrais le « pas »] être le dernier homme. Je ne veux pas. Il regagne l’appartement. Vingt appels, trente. Numéros connus, numéros au hasard, numéros cabalistiques. La télévision, la radio. Personne.

Odile a dit…

Projet Odile 2 – phrases 115-128

Il se déchire. Il avance, crispé, recommence à crier. Sa gorge se serre. Il n’entend que sa propre voix, un miaulement. J’ai envie de rencontrer quelqu'un, n'importe qui, un homme ou une femme, même le dernier être vivant, pour le mettre en morceaux. Pourquoi me font-ils cela ? Il remonte en voiture. Il faut appeler d’autres villes, d’autres pays, je ne peux pas être le dernier homme. Je ne veux pas. Il regagne l’appartement. Vingt appels, trente. Numéros connus, numéros au hasard, numéros cabalistiques. La télévision, la radio. Personne.

Tradabordo a dit…

Il se déchire. Il avance, crispé, recommence à crier. Sa gorge se serre. Il n’entend que sa propre voix, un miaulement. J’ai envie de rencontrer quelqu'un, n'importe qui, un homme ou une femme, même le dernier être vivant, pour le mettre en morceaux. Pourquoi me font-ils cela ? Il remonte en voiture. Il faut appeler d’autres villes, d’autres pays, je ne peux pas être le dernier homme. Je ne veux pas. Il regagne l’appartement. Vingt appels, trente. Numéros connus, numéros au hasard, numéros cabalistiques. La télévision, la radio. Personne.

OK.