Platican... mueven los labios, pero no oigo nada... es como si me encontrara en el fondo del mar, hasta mis pensamientos resuenan en este silencio absoluto.
Traduction temporaire :
Ils discutent... Je vois leurs lèvres bouger, et pourtant je n’entends rien... C’est comme si je me trouvais au fond de la mer, jusqu'à mes pensées qui résonnent dans ce silence absolu.
Ils discutent... Je vois leurs lèvres bouger, et pourtant je n’entends rien... C’est comme si je me trouvais au fond de la mer, jusqu'à mes pensées qui résonnent dans ce silence absolu.
5 commentaires:
Ils discutent... Ils remuent les lèvres, mais je n'entends rien... C'est comme si je me trouvais/j'étais au fond de la mer, même mes pensées résonnent dans ce silence absolu.
Dans cette phrase, je me suis laissée tenter par deux petits écarts de traduction...
1) "mueven los labios" :
Littéralement : "leurs lèvres bougent". J'ai introduit "je vois" pour faire porter l'action sur Orlando. En effet, il exprime ici un paradoxe : il voit mais n'entends pas.
2) "en el fondo del mar" :
Littéralement : "au fond de la mer". J'ai préféré choisir un terme plus poétique : "les tréfonds" (métaphore possible avec la mer).
Ce qui donnerait :
Ils discutent... je vois leurs lèvres bouger, et pourtant je n’entends rien... C’est comme si je me trouvais dans les tréfonds de la mer, au point que mes pensées résonnent dans ce silence absolu.
Platican... mueven los labios, pero no oigo nada... es como si me encontrara en el fondo del mar, hasta mis pensamientos resuenan en este silencio absoluto.
1) Oui pour « je vois leurs lèvres bouger ».
2) Pour « mais » ou « et »… J'ai tendance à préférer « mais » ; cependant, ça dépend un peu de la fréquence d'usage dans ce qui précède. Allez faire un tour dans le document général et dites-moi ce qu'il en est.
3) Dans la mesure du possible, essayez de ne proposer qu'une seule solution ; d'une part parce que sinon, ça fait trop lourd à gérer… d'autre part, surtout, parce que votre rôle en tant que traducteur est précisément de trancher.
4) « j'étais » ou « je me trouvais » = de même, ça dépend de la fréquence d'usage de « se trouver ». Vérifiez.
5) « au fond de la mer » suffit. Laëtitia ne te laisse pas emporter par ton esprit fougueux et vagabond ;-)
6) Passez par « jusqu'à mes pensées qui… »
2) Résultat des courses : un score de 4 à 0 pour "mais" ! J'ai donc comptabilisé quatre occurrences pour "mais" et aucune pour "et pourtant". Se permet-on un "mais" supplémentaire ou optons-nous pour "et pourtant" ? J'ai tranché... Vous me direz ce que vous en pensez...
4) Je n'ai pas relevé de "je me trouvais" (ou "je me trouve") jusqu'ici. On peut donc l'utiliser.
5) Désolée (comme dirait une célèbre marionnette...).
Remarque : j'ai introduit une majuscule après les points de suspension.
Ils discutent... Je vois leurs lèvres bouger, et pourtant je n’entends rien... C’est comme si je me trouvais au fond de la mer, jusqu'à mes pensées qui résonnent dans ce silence absolu.
Ils discutent... Je vois leurs lèvres bouger, et pourtant je n’entends rien... C’est comme si je me trouvais au fond de la mer, jusqu'à mes pensées qui résonnent dans ce silence absolu.
Parfait ! Je mets la suite… car je ne pense pas qu'en l'état actuel des choses nous puissions faire mieux.
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