En Bosques de Cibeles, como ya no tenían recuerdo de las comidas originales, terminaron por quitarles el gusto y simplemente se las tragaban a horas fijas como quien se toma una vitamina.
Traduction temporaire :
À Bois de Cybèle, n'ayant plus le souvenir de la nourriture originelle, ils finirent par perdre le goût ; ils les avalaient simplement à heures fixes, comme on prend une vitamine.
À Bois de Cybèle, n'ayant plus le souvenir de la nourriture originelle, ils finirent par perdre le goût ; ils les avalaient simplement à heures fixes, comme on prend une vitamine.
13 commentaires:
Comme les habitants du Bois de Cybèle n'avaient déjà plus le souvenir de la nourriture originelle, ces pastilles finirent par leur enlever le goût et ils n'avaient qu'à les avalaient à heures fixes, comme s'ils prenaient une vitamine.
En Bosques de Cibeles, como ya no tenían recuerdo de las comidas originales, terminaron por quitarles el gusto y simplemente se las tragaban a horas fijas como quien se toma una vitamina.
Comme les habitants du Bois de Cybèle n'avaient déjà plus le souvenir de la nourriture originelle, ces pastilles finirent par leur enlever le goût et ils n'avaient qu'à les avalaient à heures fixes, comme s'ils prenaient une vitamine.
1) Le « ya » est pour « plus » et non pour « déjà » / donc supprimez.
2) « Nourriture » ou « repas » ici ?
3) « originelle » ; j'hésite. Je ne suis pas quoi en penser.
4) Est-on obligées de repasser par « ces pastilles » (au fait, on avait dit « pastilles » ou « pilules » ?
5) non « enlever » ne va pas.
6) la fin est une généralité… dont il faut repasser par l'indéterminé.
1) En changeant l'ordre, je pense que tu changes un peu le sens et ajoute "habitants" inutilement. Il vaudrait mieux suivre vraiment l'ordre du texte : "À Bois de Cybèle, puisqu’ils n'avaient déjà plus le souvenir..."
2) Ce ne sont pas les pilules qui enlèvent le goût aux gens, mais les gens qui enlèvent le goût aux pilules, je ne sais pas si tu me suis... : "ils finirent par enlever le goût aux pilules et par les avaler simplement à heures fixes..."
3) "como quien se toma una vitamina" : je pense qu'il faut insister sur la généralité, en employant "on", par exemple : "comme on prendrait une vitamine". Qu'en pensez-vous ?
À Bois de Cybèle, puisqu’ils n'avaient déjà plus le souvenir de la nourriture originelle, ils finirent par enlever le goût aux pilules et par les avaler simplement à heures fixes, comme on prendrait une vitamine.
Désolée, ton message vient de s'afficher sous mes yeux, Caroline.
Perrine
Je te laisse regarder… – histoire que tu tiennes compte des deux.
1) OK
2) Je pense qu'il s'agit bien de la nourriture en général ici.
3) "originelle" : moi aussi j'ai hésité, c'est vrai que ça renvoie automatiquement au péché originel. Peut-être en passant par "nourriture première" ? Mais je ne suis guère convaincue...
4) On peut passer par le possessif "leur" pour éviter la répétition de "pilules" : "ils finirent par supprimer leur goût et par les avaler..."
5) "supprimer" ?
À Bois de Cybèle, puisqu’ils n'avaient plus le souvenir de la nourriture première, ils finirent par supprimer leur goût et par les avaler simplement à heures fixes, comme on prendrait une vitamine.
À Bois de Cybèle, puisqu’ils n'avaient plus le souvenir de la nourriture première, ils finirent par supprimer leur goût et par les avaler simplement à heures fixes, comme on prendrait une vitamine.
1) Pourquoi pas tout simplement « d'origine » ?
2) On dire « perdre le goût » ; je pense que la solution est là…
3) Point-virgule après « goût », pour enchaîner plus simplement.
4) Pas du conditionnel, mais du présent pour la fin.
1)Je pense que "originelle" (et donc la référence au péché originel ) annonce bien la suite du texte.
2)Ok.
3)Le "et" ne me dérange pas mais je tente avec le point-virgule.
4)Ok.
À Bois de Cybèle, puisqu'ils n'avaient plus le souvenir de la nourriture originelle, ils finirent par perdre le goût ; ils les avalaient simplement à heures fixes, comme on prend une vitamine.
À Bois de Cybèle, puisqu'ils n'avaient plus le souvenir de la nourriture originelle, ils finirent par perdre le goût ; ils les avalaient simplement à heures fixes, comme on prend une vitamine.
Maintenant que le panorama est bien dégagé, je pense qu'il faut passer par « n'ayant plus » à la place de « puisqu'ils n'avaient plus… » – on verra si ça nécessite un changement de syntaxe.
OK pour le reste.
En fait j'avais mal compris cette histoire de "goût", je pensais qu'ils avaient enlever les saveurs des pilules, puisqu'ils ne se souvenaient plus des aliments d'origine... Bref, je suis d'accord avec "perdre le goût".
À Bois de Cybèle, n'ayant plus le souvenir de la nourriture originelle, ils finirent par perdre le goût ; ils les avalaient simplement à heures fixes, comme on prend une vitamine.
Je crois que mon commentaire n'a pas fonctionné ici non plus, donc je reprends :
À Bois de Cybèle, n'ayant plus le souvenir de la nourriture originelle, ils finirent par perdre le goût ; ils les avalaient simplement à heures fixes, comme on prend une vitamine.
À Bois de Cybèle, n'ayant plus le souvenir de la nourriture originelle, ils finirent par perdre le goût ; ils les avalaient simplement à heures fixes, comme on prend une vitamine.
OK. Je mets la suite.
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