Es como un puente, la patineta. Abajo el mundo de las hormigas que se apuran entre los pozos, se llevan las hojas., El jardín probablemente fue hermoso, y estuvo podado. Ahora es una selva privada, todo creció y nadie le dio dirección, ya no se poda.
Traduction temporaire :
Le skate est comme un pont. Dessous, il y a le monde des fourmis qui, chargées de feuilles, se pressent au milieu des trous. Le jardin avait probablement été beau et bien entretenu. À présent, ça n'est plus qu'une jungle privée, tout a poussé, personne n'a rien agencé ni rien taillé.
Le skate est comme un pont. Dessous, il y a le monde des fourmis qui, chargées de feuilles, se pressent au milieu des trous. Le jardin avait probablement été beau et bien entretenu. À présent, ça n'est plus qu'une jungle privée, tout a poussé, personne n'a rien agencé ni rien taillé.
15 commentaires:
C'est comme un pont, le skate. Au dessous se trouve le monde des fourmis qui se pressent entre les trous, qui portent des feuilles. Le jardin probablement avait été beau et entretenu. À présent, c'est une forêt privée, tout a poussé et personne l'a dirigé, on ne l'élague plus.
C'est comme un pont, le skate [change la syntaxe]. Au [nécessaire ?] dessous [virgule] se trouve [« il y a » ?] le monde des fourmis qui se pressent entre [ou dans le sens de « au milieu » ?] les trous, qui portent [« en portant »] des feuilles. Le jardin probablement [pas ici] avait été beau et entretenu. À présent, c'est [tu as déjà « c'est » au début ; attention que ça ne devienne pas un tic de trad] une forêt privée, tout a poussé et personne l'a dirigé [?], on ne l'élague plus.
Le skate est comme un pont. Dessous, il y a le monde des fourmis qui se pressent au milieu des trous, en portant des feuilles. Le jardin avait été probablement beau et entretenu. À présent, c'est une forêt privée, tout a poussé et personne ne l'a guidé, on ne l'élague plus.
Le skate est comme un pont. Dessous, il y a le monde des fourmis qui se pressent au milieu des trous, en portant des feuilles. Le jardin avait été probablement [déplace-le] beau et [« bien »] entretenu. À présent, c'est une forêt privée, tout a poussé et personne ne l'a guidé [mal dit], on ne l'élague [avec « tailler »] plus.
Le skate est comme un pont. Dessous, il y a le monde des fourmis qui se pressent au milieu des trous, en portant des feuilles. Probablement, le jardin avait été beau et bien entretenu. À présent, c'est une forêt privée, tout a poussé et personne ne l'a orienté, on ne le taille plus.
Le skate est comme un pont. Dessous, il y a le monde des fourmis qui se pressent au milieu des trous, en portant [« chargé de » ?] des feuilles. Probablement [non plus ;-)], le jardin avait été beau et bien entretenu. À présent, c'est une forêt privée, tout a poussé et personne ne l'a orienté [mal dit], on ne le taille plus.
Le skate est comme un pont. Dessous, il y a le monde des fourmis qui se pressent au milieu des trous, chargées de feuilles. Le jardin avait probablement été beau et bien entretenu. À présent, c'est une forêt privée, tout a poussé et personne ne l'a agencé, on ne le taille plus.
Le skate est comme un pont. Dessous, il y a le monde des fourmis qui se pressent au milieu des trous, chargées de feuilles [avance-le]. Le jardin avait probablement été beau et bien entretenu. À présent, c'est une [ou par « ça n'est plus que » ?] forêt privée, tout a poussé et personne ne l'a agencé [« n'a rien agencé »], on ne le taille plus [« n'a plus rien taillé »].
Le skate est comme un pont. Dessous, il y a le monde des fourmis qui, chargées de feuilles, se pressent au milieu des trous. Le jardin avait probablement été beau et bien entretenu. À présent, ça n'est plus qu'une forêt privée, tout a poussé et personne ne l'a rien agencé, on n'a plus rien taillé.
Le skate est comme un pont. Dessous, il y a le monde des fourmis qui, chargées de feuilles, se pressent au milieu des trous. Le jardin avait probablement été beau et bien entretenu. À présent, ça n'est plus qu'une forêt privée, tout a poussé et personne n'a rien agencé, on n'a plus rien taillé.
Le skate est comme un pont. Dessous, il y a le monde des fourmis qui, chargées de feuilles, se pressent au milieu des trous. Le jardin avait probablement été beau et bien entretenu. À présent, ça n'est plus qu'une forêt privée, tout a poussé et personne n'a rien agencé, on n'a plus rien taillé.
On laisse les deux "rien" de "rien" à la fin ?
Le skate est comme un pont. Dessous, il y a le monde des fourmis qui, chargées de feuilles, se pressent au milieu des trous. Le jardin avait probablement été beau et bien entretenu. À présent, ça n'est plus qu'une forêt [ou « jungle » ici ?] privée, tout a poussé, personne n'a rien agencé et rien taillé.
Le skate est comme un pont. Dessous, il y a le monde des fourmis qui, chargées de feuilles, se pressent au milieu des trous. Le jardin avait probablement été beau et bien entretenu. À présent, ça n'est plus qu'une jungle privée, tout a poussé, personne n'a rien agencé et rien taillé.
Le skate est comme un pont. Dessous, il y a le monde des fourmis qui, chargées de feuilles, se pressent au milieu des trous. Le jardin avait probablement été beau et bien entretenu. À présent, ça n'est plus qu'une jungle privée, tout a poussé, personne n'a rien agencé ni rien taillé.
Léger changement… et OK.
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