jeudi 29 mai 2014

Projet Céline / Sonita 4 – phrase 77


Y este sentimiento se recrudece cuando una se entera de que el susodicho, al que hubiera amado tanto, murió consumido entre el desdén y el desprecio, pero con ánimo de totalidad, como lo muestra casi cualquier parágrafo de su tesis: “Tengo un alma de sultán de las mil y una noches; cuando era niño me enamoraba y me pasaba las noches llorando de amor, por lo menos una vez al mes.

Traduction temporaire :
Et ce sentiment redouble lorsqu'on apprend que le susdit, que j'aurais tant aimé, est mort, consumé entre le dédain et le mépris, mais avec une volonté d'absolu, comme le montre presque n'importe quel paragraphe de sa thèse : « J'ai l'âme d'un sultan des mille et une nuits ; enfant, je tombais amoureux au moins une fois par mois, et je passais mes nuits à pleurer d'amour.

21 commentaires:

Sonita a dit…

Et ce sentiment redouble lorsque l'on apprend que le susdit, que j'aurais tant aimé, est mort consommé entre le dédain et le mépris, mais avec une volonté de totalité, comme le montre presque n'importe quel paragraphe de sa thèse : « J'ai l'âme d'un sultan des mille et une nuits ; alors que j'étais un enfant, je tombais amoureux et je passais mes nuits en train de pleurer d'amour, au moins une fois par mois.

Tradabordo a dit…

Et ce sentiment redouble lorsque l'on [ou « lorsqu'on » ?] apprend que le susdit, que j'aurais tant aimé, est mort [virgule ?] consommé [????] entre le dédain et le mépris, mais avec une volonté de totalité, comme le montre presque n'importe quel paragraphe de sa thèse : « J'ai l'âme d'un sultan des mille et une nuits ; alors que j'étais un enfant, je tombais amoureux et je passais mes nuits en train de pleurer d'amour, au moins une fois par mois.

Sonita a dit…

Et ce sentiment redouble lorsqu'on apprend que le susdit, que j'aurais tant aimé, est mort, dans la tourmente, entre le dédain et le mépris, mais avec une volonté de totalité, comme le montre presque n'importe quel paragraphe de sa thèse : « J'ai l'âme d'un sultan des mille et une nuits ; alors que j'étais un enfant, je tombais amoureux et je passais mes nuits en train de pleurer d'amour, au moins une fois par mois.

Tradabordo a dit…

Et ce sentiment redouble lorsqu'on apprend que le susdit, que j'aurais tant aimé, est mort, dans la tourmente [pourquoi tu changes, du coup ????], entre le dédain et le mépris, mais avec une volonté de totalité, comme le montre presque n'importe quel paragraphe de sa thèse : « J'ai l'âme d'un sultan des mille et une nuits ; alors que j'étais un enfant, je tombais amoureux et je passais mes nuits en train de pleurer d'amour, au moins une fois par mois.

Sonita a dit…

J'ai cru que j'avais fait un hispanisme avec "consommé" et j'ai cherché une autre solution.
Peut-être avec "tourmenté" ?

***

Et ce sentiment redouble lorsqu'on apprend que le susdit, que j'aurais tant aimé, est mort, tourmenté par le dédain et le mépris, mais avec une volonté de totalité, comme le montre presque n'importe quel paragraphe de sa thèse : « J'ai l'âme d'un sultan des mille et une nuits ; alors que j'étais un enfant, je tombais amoureux et je passais mes nuits en train de pleurer d'amour, au moins une fois par mois.

Tradabordo a dit…

Et ce sentiment redouble lorsqu'on apprend que le susdit, que j'aurais tant aimé, est mort, tourmenté [pourquoi pas littéral ?] par le dédain et le mépris, mais avec une volonté de totalité, comme le montre presque n'importe quel paragraphe de sa thèse : « J'ai l'âme d'un sultan des mille et une nuits ; alors que j'étais un enfant, je tombais amoureux et je passais mes nuits en train de pleurer d'amour, au moins une fois par mois.

Sonita a dit…

Et ce sentiment redouble lorsqu'on apprend que le susdit, que j'aurais tant aimé, est mort, tout maigre entre le dédain et le mépris, mais avec une volonté de totalité, comme le montre presque n'importe quel paragraphe de sa thèse : « J'ai l'âme d'un sultan des mille et une nuits ; alors que j'étais un enfant, je tombais amoureux et je passais mes nuits en train de pleurer d'amour, au moins une fois par mois.

Tradabordo a dit…

Et ce sentiment redouble lorsqu'on apprend que le susdit, que j'aurais tant aimé, est mort, tout maigre [littéral :-)] entre le dédain et le mépris, mais avec une volonté de totalité, comme le montre presque n'importe quel paragraphe de sa thèse : « J'ai l'âme d'un sultan des mille et une nuits ; alors que j'étais un enfant, je tombais amoureux et je passais mes nuits en train de pleurer d'amour, au moins une fois par mois.

Sonita a dit…

Et ce sentiment redouble lorsqu'on apprend que le susdit, que j'aurais tant aimé, est mort, maigre entre le dédain et le mépris, mais avec une volonté de totalité, comme le montre presque n'importe quel paragraphe de sa thèse : « J'ai l'âme d'un sultan des mille et une nuits ; alors que j'étais un enfant, je tombais amoureux et je passais mes nuits en train de pleurer d'amour, au moins une fois par mois.

Tradabordo a dit…

Et ce sentiment redouble lorsqu'on apprend que le susdit, que j'aurais tant aimé, est mort, maigre [« consumé »] entre le dédain et le mépris, mais avec une volonté de totalité [peu clair], comme le montre presque n'importe quel paragraphe de sa thèse : « J'ai l'âme d'un sultan des mille et une nuits ; alors que j'étais un enfant, je tombais amoureux et je passais mes nuits en train de pleurer d'amour, au moins une fois par mois.

Sonita a dit…

Consumé !!!!!!! Non, décidément, j'étais à côté de la plaque !!

***

Et ce sentiment redouble lorsqu'on apprend que le susdit, que j'aurais tant aimé, est mort, consumé entre le dédain et le mépris, mais avec une volonté d'absolu, comme le montre presque n'importe quel paragraphe de sa thèse : « J'ai l'âme d'un sultan des mille et une nuits ; alors que j'étais un enfant, je tombais amoureux et je passais mes nuits en train de pleurer d'amour, au moins une fois par mois.

Tradabordo a dit…

Et ce sentiment redouble lorsqu'on apprend que le susdit, que j'aurais tant aimé, est mort, consumé entre le dédain et le mépris, mais avec une volonté d'absolu, comme le montre presque n'importe quel paragraphe de sa thèse : « J'ai l'âme d'un sultan des mille et une nuits ; alors que j'étais un [nécessaire ?] enfant, je tombais amoureux et je passais mes nuits en train [très mal dit] de pleurer d'amour, au moins une fois par mois.

Sonita a dit…

Et ce sentiment redouble lorsqu'on apprend que le susdit, que j'aurais tant aimé, est mort, consumé entre le dédain et le mépris, mais avec une volonté d'absolu, comme le montre presque n'importe quel paragraphe de sa thèse : « J'ai l'âme d'un sultan des mille et une nuits ; alors que j'étais enfant, je tombais amoureux et je passais mes nuits en pleurant d'amour, au moins une fois par mois.

Tradabordo a dit…

Et ce sentiment redouble lorsqu'on apprend que le susdit, que j'aurais tant aimé, est mort, consumé entre le dédain et le mépris, mais avec une volonté d'absolu, comme le montre presque n'importe quel paragraphe de sa thèse : « J'ai l'âme d'un sultan des mille et une nuits ; alors que j'étais [nécessaire ?] enfant, je tombais amoureux et je passais mes nuits en pleurant [non] d'amour, au moins une fois par mois.

Sonita a dit…

Et ce sentiment redouble lorsqu'on apprend que le susdit, que j'aurais tant aimé, est mort, consumé entre le dédain et le mépris, mais avec une volonté d'absolu, comme le montre presque n'importe quel paragraphe de sa thèse : « J'ai l'âme d'un sultan des mille et une nuits ; enfant, je tombais amoureux et je passais mes nuits pleurant d'amour, au moins une fois par mois.

Tradabordo a dit…

Et ce sentiment redouble lorsqu'on apprend que le susdit, que j'aurais tant aimé, est mort, consumé entre le dédain et le mépris, mais avec une volonté d'absolu, comme le montre presque n'importe quel paragraphe de sa thèse : « J'ai l'âme d'un sultan des mille et une nuits ; enfant, je tombais amoureux et je passais mes nuits pleurant [non] d'amour, au moins une fois par mois [avance-le].

Sonita a dit…

Et ce sentiment redouble lorsqu'on apprend que le susdit, que j'aurais tant aimé, est mort, consumé entre le dédain et le mépris, mais avec une volonté d'absolu, comme le montre presque n'importe quel paragraphe de sa thèse : « J'ai l'âme d'un sultan des mille et une nuits ; enfant, je tombais amoureux au moins une fois par mois, et je passais mes nuits versant des larmes d'amour.

Tradabordo a dit…

Et ce sentiment redouble lorsqu'on apprend que le susdit, que j'aurais tant aimé, est mort, consumé entre le dédain et le mépris, mais avec une volonté d'absolu, comme le montre presque n'importe quel paragraphe de sa thèse : « J'ai l'âme d'un sultan des mille et une nuits ; enfant, je tombais amoureux au moins une fois par mois, et je passais mes nuits versant [pas du gérondif] des larmes d'amour.

Sonita a dit…

Et ce sentiment redouble lorsqu'on apprend que le susdit, que j'aurais tant aimé, est mort, consumé entre le dédain et le mépris, mais avec une volonté d'absolu, comme le montre presque n'importe quel paragraphe de sa thèse : « J'ai l'âme d'un sultan des mille et une nuits ; enfant, je tombais amoureux au moins une fois par mois, et je passais mes nuits à pleurer d'amour.

Tradabordo a dit…

Et ce sentiment redouble lorsqu'on apprend que le susdit, que j'aurais tant aimé, est mort, consumé entre le dédain et le mépris, mais avec une volonté d'absolu, comme le montre presque n'importe quel paragraphe de sa thèse : « J'ai l'âme d'un sultan des mille et une nuits ; enfant, je tombais amoureux au moins une fois par mois, et je passais mes nuits à pleurer d'amour.

OK.

Céline ?

Unknown a dit…

Et ce sentiment redouble lorsqu'on apprend que le susdit, que j'aurais tant aimé, est mort, consumé entre le dédain et le mépris, mais avec une volonté d'absolu, comme le montre presque n'importe quel paragraphe de sa thèse : « J'ai l'âme d'un sultan des mille et une nuits ; enfant, je tombais amoureux au moins une fois par mois, et je passais mes nuits à pleurer d'amour.

OK.