--¿Por qué no existe? –protesté yo-. Yo creo que sí existe: a los M se los ve muy felices.
--La felicidad es como el arco iris, no se ve nunca sobre la casa propia, sino sólo sobre la ajena –dijo mi abuela.
--¡Doña! –dijo mi padre, admirado-: no sabía que también era poeta.
--Es un antiguo proverbio ídish –dijo con modestia mi abuela.
Traduction temporaire :
— Pourquoi est-ce qu'il n'existe pas ? protestai-je. Moi, je pense que oui, il existe, les M semblent très heureux, eux.
— Le bonheur est comme les arcs-en-ciel, on ne le voit jamais chez soi, uniquement chez les autres, soutint ma grand-mère.
— Madame ! s'étonna mon père, j'ignorais que vous étiez poète.
— C'est un ancien proverbe yiddish, rétorqua ma grand-mère modestement.
— Le bonheur est comme les arcs-en-ciel, on ne le voit jamais chez soi, uniquement chez les autres, soutint ma grand-mère.
— Madame ! s'étonna mon père, j'ignorais que vous étiez poète.
— C'est un ancien proverbe yiddish, rétorqua ma grand-mère modestement.
12 commentaires:
— Pourquoi est-ce qu'il n'existerait pas ?, protestai-je. Moi, je pense que oui, que ça existe : les M semblent très heureux.
— Le bonheur est comme l'arc-en-ciel, on ne le voit jamais chez soi, mais uniquement chez autres. Soutint ma grand-mère.
— Madame !, s'étonna mon père, j'ignorais que vous étiez poète.
— C'est un ancien proverbe yiddish, rétorqua avec modestie ma grand-mère.
— Pourquoi est-ce qu'il n'existerait [pourquoi pas le présent ?] pas ?, [pas de virgule ; déjà dit pour le fragment précédent] protestai-je. Moi, je pense que oui, que [supprime] ça existe : les M semblent très heureux.
— Le bonheur est comme l'arc-en-ciel [au pluriel], on ne le voit jamais chez soi, mais [pas besoin] uniquement chez autres. [ponctuaction] Soutint ma grand-mère.
— Madame !, [idem] s'étonna mon père, j'ignorais que vous étiez poète.
— C'est un ancien proverbe yiddish, rétorqua avec modestie [place-le ailleurs] ma grand-mère.
— Pourquoi est-ce qu'il n'existe pas ? protestai-je. Moi, je pense que oui, ça existe : les M semblent très heureux.
— Le bonheur est comme les arc-en-ciel, on ne le voit jamais chez soi, uniquement chez autres, soutint ma grand-mère.
— Madame ! s'étonna mon père, j'ignorais que vous étiez poète.
— C'est un ancien proverbe yiddish, rétorqua ma grand-mère avec modestie.
J'ai un peu de mal avec cette nouvelle économie de la ponctuation...
— Pourquoi est-ce qu'il n'existe pas ? protestai-je. Moi, je pense que oui, ça existe : les M semblent très heureux.
— Le bonheur est comme les arc-en-ciel, on ne le voit jamais chez soi, uniquement chez autres, soutint ma grand-mère.
— Madame ! s'étonna mon père, j'ignorais que vous étiez poète.
— C'est un ancien proverbe yiddish, rétorqua ma grand-mère avec modestie.
J'ai un peu de mal avec cette nouvelle économie de la ponctuation...
— Pourquoi est-ce qu'il n'existe pas ? protestai-je. Moi, je pense que oui, ça existe : [pas de deux points dans les dialogues] les M semblent très heureux.
— Le bonheur est comme les arc-en-ciel [tu as vérifié pour l'orthographe ?], on ne le voit jamais chez soi, uniquement chez autres, soutint ma grand-mère.
— Madame ! s'étonna mon père, j'ignorais que vous étiez poète.
— C'est un ancien proverbe yiddish, rétorqua ma grand-mère avec modestie [plutôt l'adverbe].
— Pourquoi est-ce qu'il n'existe pas ? protestai-je. Moi, je pense que oui, ça existe, les M semblent très heureux.
— Le bonheur est comme les arcs-en-ciel, on ne le voit jamais chez soi, uniquement chez les autres, soutint ma grand-mère.
— Madame ! s'étonna mon père, j'ignorais que vous étiez poète.
— C'est un ancien proverbe yiddish, rétorqua ma grand-mère modestement.
— Pourquoi est-ce qu'il n'existe pas ? protestai-je. Moi, je pense que oui, ça [« il »] existe, les M semblent très heureux [« , eux »].
— Le bonheur est comme les arcs-en-ciel, on ne le voit jamais chez soi, uniquement chez les autres, soutint ma grand-mère.
— Madame ! s'étonna mon père, j'ignorais que vous étiez poète.
— C'est un ancien proverbe yiddish, rétorqua ma grand-mère modestement.
— Pourquoi est-ce qu'il n'existe pas ? protestai-je. Moi, je pense que oui, il existe, les M semblent très heureux
, eux.
— Le bonheur est comme les arcs-en-ciel, on ne le voit jamais chez soi, uniquement chez les autres, soutint ma grand-mère.
— Madame ! s'étonna mon père, j'ignorais que vous étiez poète.
— C'est un ancien proverbe yiddish, rétorqua ma grand-mère modestement.
— Pourquoi est-ce qu'il n'existe pas ? protestai-je. Moi, je pense que oui, il existe, les M semblent très heureux
, eux. [?]
— Le bonheur est comme les arcs-en-ciel, on ne le voit jamais chez soi, uniquement chez les autres, soutint ma grand-mère.
— Madame ! s'étonna mon père, j'ignorais que vous étiez poète.
— C'est un ancien proverbe yiddish, rétorqua ma grand-mère modestement.
— Pourquoi est-ce qu'il n'existe pas ? protestai-je. Moi, je pense que oui, il existe, les M semblent très heureux
, eux. [?] [→ J'ai mal compris ?]
— Le bonheur est comme les arcs-en-ciel, on ne le voit jamais chez soi, uniquement chez les autres, soutint ma grand-mère.
— Madame ! s'étonna mon père, j'ignorais que vous étiez poète.
— C'est un ancien proverbe yiddish, rétorqua ma grand-mère modestement.
Pourquoi est-ce que cela vient à la ligne, tout seul. Sans doute un espace en trop……… Je te laisse voir.
— Pourquoi est-ce qu'il n'existe pas ? protestai-je. Moi, je pense que oui, il existe, les M semblent très heureux, eux.
— Le bonheur est comme les arcs-en-ciel, on ne le voit jamais chez soi, uniquement chez les autres, soutint ma grand-mère.
— Madame ! s'étonna mon père, j'ignorais que vous étiez poète.
— C'est un ancien proverbe yiddish, rétorqua ma grand-mère modestement.
C'est bon, j'ai mis du scotch ! :-)
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