No obstante, Darius no comió ni más ni mejor. Él era uno de esos curas que creían en la bondad de la iglesia. Por consiguiente, redistribuyó los ingresos. También es cierto que era consciente de su pecado. En medio de uno de los sermones, un feligrés se percató de lo que hacía la madre y, al ver el rostro de Beatrice, gritó ¡milagro, milagro, la niña ha sanado!, y todos lloraron mucho más de lo habitual.
Traduction temporaire :
Cependant, Darius ne mangea ni plus ni mieux. Il était l’un de ces prêtres qui croyaient en la bonté de l’Église. Par conséquent, il redistribua les recettes ainsi générées. Il est vrai aussi qu’il était conscient de son péché. Au milieu de l’un des sermons, un fidèle remarqua ce que faisait la mère et, apercevant le visage de Beatrice, il s’écria : « Miracle, miracle ! L’enfant a guéri ! » Et tous pleurèrent davantage qu’à l’ordinaire.
Cependant, Darius ne mangea ni plus ni mieux. Il était l’un de ces prêtres qui croyaient en la bonté de l’Église. Par conséquent, il redistribua les recettes ainsi générées. Il est vrai aussi qu’il était conscient de son péché. Au milieu de l’un des sermons, un fidèle remarqua ce que faisait la mère et, apercevant le visage de Beatrice, il s’écria : « Miracle, miracle ! L’enfant a guéri ! » Et tous pleurèrent davantage qu’à l’ordinaire.
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Cependant, Darius ne mangea ni plus ni mieux. Il était l’un de ces prêtres qui croyaient en la bonté de l’Église. Par conséquent, il redistribua les recettes. Il est vrai aussi qu’il était conscient de son péché. Au milieu de l’un des sermons, un fidèle remarqua ce que faisait la mère et, voyant le visage de Beatrice, il s’écria : « Miracle, miracle ! L’enfant a guéri ! » Et tous pleurèrent beaucoup plus qu’à l’ordinaire.
Cependant, Darius ne mangea ni plus ni mieux. Il était l’un de ces prêtres qui croyaient en la bonté de l’Église. Par conséquent, il redistribua les recettes [« gains » ?] [ajout d'une cheville ?]. Il est vrai aussi qu’il était conscient de son péché. Au milieu de l’un des sermons, un fidèle remarqua ce que faisait la mère et, voyant [« apercevant » ?] le visage de Beatrice, il s’écria : « Miracle, miracle ! L’enfant a guéri ! » Et tous pleurèrent beaucoup plus [naturel ?] qu’à l’ordinaire.
Cependant, Darius ne mangea ni plus ni mieux. Il était l’un de ces prêtres qui croyaient en la bonté de l’Église. Par conséquent, il redistribua les recettes ainsi générées. Il est vrai aussi qu’il était conscient de son péché. Au milieu de l’un des sermons, un fidèle remarqua ce que faisait la mère et, apercevant le visage de Beatrice, il s’écria : « Miracle, miracle ! L’enfant a guéri ! » Et tous pleurèrent davantage qu’à l’ordinaire.
Cependant, Darius ne mangea ni plus ni mieux. Il était l’un de ces prêtres qui croyaient en la bonté de l’Église. Par conséquent, il redistribua les recettes ainsi générées. Il est vrai aussi qu’il était conscient de son péché. Au milieu de l’un des sermons, un fidèle remarqua ce que faisait la mère et, apercevant le visage de Beatrice, il s’écria : « Miracle, miracle ! L’enfant a guéri ! » Et tous pleurèrent davantage qu’à l’ordinaire.
OK.
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