Pasó el resto de la tarde con una sonrisa triste y un ánimo oscuro que Guilherme capturó enseguida, pues no llegó interrumpida ni por palabras acalladas por el motor, ni por el aire, ni mucho menos por el adormecedor balanceo del regreso.
Traduction temporaire :
Il passa le reste de l’après-midi avec un sourire triste aux lèvres et de sombres pensées en tête, que Guilherme perçut aussitôt, car rien ne put en interrompre le cours, ni les mots tus par le moteur, ni le vent, et encore moins le roulis berçant du retour.
Il passa le reste de l’après-midi avec un sourire triste aux lèvres et de sombres pensées en tête, que Guilherme perçut aussitôt, car rien ne put en interrompre le cours, ni les mots tus par le moteur, ni le vent, et encore moins le roulis berçant du retour.
11 commentaires:
Il passa le reste de l’après-midi, un sourire triste aux lèvres et des pensées obscures en tête que Guilherme saisit aussitôt, car ni les mots tus par le moteur, ni le vent, et encore moins le roulis berçant du retour n’interrompirent ce moment.
Il passa le reste de l’après-midi, [« avec » ?] un sourire triste aux lèvres et des pensées obscures [« de sombres pensées » ?] en tête [virgule] que Guilherme saisit [sûre ?] aussitôt, car ni les mots tus par le moteur, ni le vent, et encore moins le roulis berçant du retour n’interrompirent ce moment [pour le féminin de la la V.O., c'est ça ?].
Il passa le reste de l’après-midi, avec un sourire triste aux lèvres et de sombres pensées en tête, que Guilherme perçut [et non, je ne suis pas sûre...] aussitôt, car ni les mots tus par le moteur, ni le vent, et encore moins le roulis berçant du retour ne purent y mettre fin.
J'avais compris que ce feminin renvoyait à "tarde", mais en fait, il peut parfaitement renvoyer à "sonrisa"...
Il passa le reste de l’après-midi, avec un sourire triste aux lèvres et de sombres pensées en tête, que Guilherme perçut [et non, je ne suis pas sûre... // je me demande si ça n'est pas dans le sens de « retenir » / « masquer »] aussitôt, car ni les mots tus par le moteur, ni le vent, et encore moins le roulis berçant du retour ne purent y mettre fin.
Guilherme évoque la tristesse de son père ("il" dans la phrase), ce sont deux sujets différents. Du coup, ça me semble difficile de traduire dans le sens de "retenir" / "masquer".
En revanche je suis en train de penser que Guilherme évoque un souvenir, c'est peut ce sens qu'a "capturar"... J'essaie, tu me diras.
Il passa le reste de l’après-midi, avec un sourire triste aux lèvres et de sombres pensées en tête, ce que Guilherme se rappela aussitôt, car ni les mots tus par le moteur, ni le vent, et encore moins le roulis berçant du retour ne purent y mettre fin.
Il passa le reste de l’après-midi, avec un sourire triste aux lèvres et de sombres pensées en tête, ce que Guilherme se rappela aussitôt, car ni les mots tus par le moteur, ni le vent, et encore moins le roulis berçant du retour ne purent y mettre fin.
Je ne pense pas, car ce ne serait guère logique avec la 2e partie de la phrase. Je te laisse creuser le truc ;-)
Plutôt que de rester avec mes interrogations, je me suis permise de demander son avis à Elena sur le sens de "capturar". Pour elle, cela signifie "percevoir/ capter".
Je serais donc tentée de remettre cette trad, sauf si tes doutes persistent.
Il passa le reste de l’après-midi, avec un sourire triste aux lèvres et de sombres pensées en tête, que Guilherme perçut aussitôt, car ni les mots tus par le moteur, ni le vent, et encore moins le roulis berçant du retour ne purent y mettre fin.
Il passa le reste de l’après-midi, avec un sourire triste aux lèvres et de sombres pensées en tête, que Guilherme perçut aussitôt, car ni les mots tus par le moteur, ni le vent, et encore moins le roulis berçant du retour ne purent y mettre fin [la fin n'est pas très claire].
Il passa le reste de l’après-midi, avec un sourire triste aux lèvres et de sombres pensées en tête, que Guilherme perçut aussitôt, car rien ne put les contenir, ni les mots tus par le moteur, ni le vent, et encore moins le roulis berçant du retour.
Il passa le reste de l’après-midi, [du coup, il faut supprimer la virgule] avec un sourire triste aux lèvres et de sombres pensées en tête, que Guilherme perçut aussitôt, car rien ne put les contenir [« en interrompre le cours »], ni les mots tus par le moteur, ni le vent, et encore moins le roulis berçant du retour.
Il passa le reste de l’après-midi avec un sourire triste aux lèvres et de sombres pensées en tête, que Guilherme perçut aussitôt, car rien ne put en interrompre le cours, ni les mots tus par le moteur, ni le vent, et encore moins le roulis berçant du retour.
OK
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