—Le pregunté a mi marido si podía leer el cuento que debía analizar y el ensayo que hice —dijo. Sorbió té y continuó.— Él lee normalmente a un ritmo de un capítulo por mes, es un hombre muy ocupado. Dios lo bendiga por ser tan solidario conmigo.
—¿No lee mucho? —pregunté con cierto gozo.
Traduction temporaire :
— J'ai demandé à mon mari s'il pouvait lire le texte que j'avais à analyser et l'essai que j'ai composé.
Elle a bu une gorgée de thé. Il a un rythme de lecture d'un chapitre par mois, c'est un homme très occupé. J'ai de la chance d'avoir un époux si solidaire !
— Ah, bon ? Il ne lit pas beaucoup ? l'ai-je interrogée avec une certaine jubilation.
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— J'ai demandé à mon mari s'il pouvait lire le texte que j'avais à analyser et l'essai que j'ai composé.
Elle a bu une gorgée de thé.
— Il lit à un rythme d'un chapitre par moi, c'est un homme très occupé. Que Dieu le bénisse d'être si solidaire avec moi.
— Ah, bon ? Il ne lit pas beaucoup ? ai-je insisté avec une certaine jouissance.
— J'ai demandé à mon mari s'il pouvait lire le texte que j'avais à analyser et l'essai que j'ai composé.
Elle a bu une gorgée de thé. Il lit à un rythme d'un chapitre par moi [??????? + naturel], c'est un homme très occupé. Que Dieu le bénisse d'être si solidaire avec moi [naturel ?].
— Ah, bon ? Il ne lit pas beaucoup ? ai-je insisté [pas sûre] avec une certaine jouissance [un peu fort].
— J'ai demandé à mon mari s'il pouvait lire le texte que j'avais à analyser et l'essai que j'ai composé.
Elle a bu une gorgée de thé. Il a un rythme de lecture d'un chapitre par mois, c'est un homme très occupé. Que Dieu le bénisse d'être si généreux.
— Ah, bon ? Il ne lit pas beaucoup ? ai-je surenchéri avec une certaine joie.
— J'ai demandé à mon mari s'il pouvait lire le texte que j'avais à analyser et l'essai que j'ai composé.
Elle a bu une gorgée de thé. Il a un rythme de lecture d'un chapitre par mois, c'est un homme très occupé. Que Dieu le bénisse d'être si généreux [tu changes un peu, non ?].
— Ah, bon ? Il ne lit pas beaucoup ? ai-je surenchéri [je ne crois pas que ce soit le sens] avec une certaine joie [« jubilation » ?].
— J'ai demandé à mon mari s'il pouvait lire le texte que j'avais à analyser et l'essai que j'ai composé.
Elle a bu une gorgée de thé. Il a un rythme de lecture d'un chapitre par mois, c'est un homme très occupé. Que Dieu le bénisse d'être si solidaire !
— Ah, bon ? Il ne lit pas beaucoup ? l'ai-je interrogée avec une certaine jubilation.
— J'ai demandé à mon mari s'il pouvait lire le texte que j'avais à analyser et l'essai que j'ai composé.
Elle a bu une gorgée de thé. Il a un rythme de lecture d'un chapitre par mois, c'est un homme très occupé. Que Dieu le bénisse d'être si solidaire [je n'arrive pas à être convaincue pour cette phrase ; la trouves-tu vraiment naturelle et spontanée en français ? Est-ce que tu ne devrais pas carrément changer ?] !
— Ah, bon ? Il ne lit pas beaucoup ? l'ai-je interrogée avec une certaine jubilation.
— J'ai demandé à mon mari s'il pouvait lire le texte que j'avais à analyser et l'essai que j'ai composé.
Elle a bu une gorgée de thé. Il a un rythme de lecture d'un chapitre par mois, c'est un homme très occupé. J'ai de la chance d'avoir un époux si solidaire [il n'y a plus l'idée de Dieu, mais c'est plus naturel…] !
— Ah, bon ? Il ne lit pas beaucoup ? l'ai-je interrogée avec une certaine jubilation.
— J'ai demandé à mon mari s'il pouvait lire le texte que j'avais à analyser et l'essai que j'ai composé.
Elle a bu une gorgée de thé. Il a un rythme de lecture d'un chapitre par mois, c'est un homme très occupé. J'ai de la chance d'avoir un époux si solidaire !
— Ah, bon ? Il ne lit pas beaucoup ? l'ai-je interrogée avec une certaine jubilation.
OK.
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