samedi 10 mai 2014

Projet Sabrina 3 – phrase 25

Abandonada a mi suerte y al manoseo indiscreto de los turistas, ávidos siempre de encontrar un regalo lo suficientemente exótico que atestiguase su paso por tierras lejanas, en aquellos días aprendí de estos nuevos hombres más de lo que pudiera sospecharse porque, al no tener conocimiento de mi presencia, el público actuaba con entera libertad y, de este modo, tuve acceso a sus sigilosos hurtos, a sus desconformes y a veces agresivas conversaciones sobre el estado del país, las guerras, la sociedad y las actitudes de sus compañeros, a sus sorpresas, sus planes, sus recelos, sus preocupaciones, sus odios y sus alegrías.

Traduction temporaire :
Abandonnée à mon sort et au tripotage indiscret des touristes, toujours avides de dénicher un cadeau suffisamment exotique pour attester leur passage dans des contrées lointaines, j'en appris plus qu'on ne pourrait l'imaginer durant ces quelques jours sur ces nouveaux hommes. Car comme il ne soupçonnait pas ma présence, le public agissait en toute liberté et ainsi, je pus voir leurs chapardages discrets, entendre leurs conversations discordantes et parfois agressives sur l'état du pays, les guerres, la société et les comportements de leurs compatriotes, à leurs surprises, leurs plans, leurs craintes, leurs inquiétudes, leurs haines et leurs joies.

7 commentaires:

Sabrina a dit…

Abandonnée à mon sort et au tripotage indiscret des touristes, toujours avides de dénicher un cadeau suffisamment exotique attestant leur passage par des régions lointaines, j'appris de ces nouveaux hommes au cours de ces jours-là plus qu'on ne pourrait l'imaginer. Car comme il ne soupçonnait pas ma présence, le public agissait en toute liberté et ainsi, j'accédai à leurs vols discrets, à leurs conversations discordantes et parfois agressives sur l'état du pays, les guerres, la société et les comportements de leurs compatriotes, à leurs surprises, leurs plans, leurs craintes, leurs inquiétudes, leurs haines et leurs joies.

Tradabordo a dit…

Abandonnée à mon sort et au tripotage indiscret des touristes, toujours avides de dénicher un cadeau suffisamment exotique attestant [« suffisamment », avec « pour », non ?] leur passage [ou avec « séjour » ? Je te laisse voir ce qui est mieux ici] par des régions [ou avec « contrées » ? Comme tu veux] lointaines, j'appris de ces nouveaux hommes au cours de ces jours-là plus qu'on ne pourrait l'imaginer [la fin manque de fluidité].

Car comme il ne soupçonnait pas ma présence, le public agissait en toute liberté et ainsi, j'accédai à leurs vols discrets, à leurs conversations discordantes et parfois agressives sur l'état du pays, les guerres, la société et les comportements de leurs compatriotes, à leurs surprises, leurs plans, leurs craintes, leurs inquiétudes, leurs haines et leurs joies.

Sabrina a dit…

Oui c'est mieux! Merci :).
J'aime aussi "séjour" mais comme après on retrouve "ces jours", j'ai laissé "passage".

Abandonnée à mon sort et au tripotage indiscret des touristes, toujours avides de dénicher un cadeau suffisamment exotique pour attester leur passage dans des contrées lointaines, j'en appris plus qu'on ne pourrait l'imaginer sur ces nouveaux hommes durant ces quelques jours. Car comme il ne soupçonnait pas ma présence, le public agissait en toute liberté et ainsi, j'accédai à leurs vols discrets, à leurs conversations discordantes et parfois agressives sur l'état du pays, les guerres, la société et les comportements de leurs compatriotes, à leurs surprises, leurs plans, leurs craintes, leurs inquiétudes, leurs haines et leurs joies.

Tradabordo a dit…

Abandonnée à mon sort et au tripotage indiscret des touristes, toujours avides de dénicher un cadeau suffisamment exotique pour attester [« de » ? Vérifie] leur passage dans des contrées lointaines, j'en appris plus qu'on ne pourrait l'imaginer sur ces nouveaux hommes durant ces quelques jours. Car comme il ne soupçonnait pas ma présence, le public agissait en toute liberté et ainsi, j'accédai [« j'avais le loisir d'accéder »] à leurs vols [« chapardages »] discrets, à leurs conversations discordantes et parfois agressives sur l'état du pays, les guerres, la société et les comportements de leurs compatriotes, à leurs surprises, leurs plans, leurs craintes, leurs inquiétudes, leurs haines et leurs joies.

Sabrina a dit…

J'avais déjà cherché car j'avais douté bien sûr ;)! Voici ce que j'avais trouvé:
Certifier, garantir l'exactitude ou la réalité de quelque chose : J'atteste la sincérité de ses déclarations.
Être la preuve, le témoignage de quelque chose, en parlant de quelque chose : Les ruines attestent (de) la violence de l'incendie.

Oui à "chapardages"! Merci :)
Tu changes le temps pour "j'avais le loisir d'accéder"? Que penses-tu de "je pus accéder"?

Abandonnée à mon sort et au tripotage indiscret des touristes, toujours avides de dénicher un cadeau suffisamment exotique pour attester leur passage dans des contrées lointaines, j'en appris plus qu'on ne pourrait l'imaginer sur ces nouveaux hommes durant ces quelques jours. Car comme il ne soupçonnait pas ma présence, le public agissait en toute liberté et ainsi, je pus accéder à leurs chapardages discrets, à leurs conversations discordantes et parfois agressives sur l'état du pays, les guerres, la société et les comportements de leurs compatriotes, à leurs surprises, leurs plans, leurs craintes, leurs inquiétudes, leurs haines et leurs joies.

Tradabordo a dit…

Abandonnée à mon sort et au tripotage indiscret des touristes, toujours avides de dénicher un cadeau suffisamment exotique pour attester leur passage dans des contrées lointaines, j'en appris plus qu'on ne pourrait l'imaginer sur ces nouveaux hommes durant ces quelques jours [je me demande si ce ne serait pas mieux de le placer avant ; essaie]. Car comme il ne soupçonnait pas ma présence, le public agissait en toute liberté et ainsi, je pus accéder [« voir »] à leurs chapardages discrets, à [« entendre » ?] leurs conversations discordantes et parfois agressives sur l'état du pays, les guerres, la société et les comportements de leurs compatriotes, à leurs surprises, leurs plans, leurs craintes, leurs inquiétudes, leurs haines et leurs joies.

Sabrina a dit…

Oui, j'aime aussi :).

Abandonnée à mon sort et au tripotage indiscret des touristes, toujours avides de dénicher un cadeau suffisamment exotique pour attester leur passage dans des contrées lointaines, j'en appris plus qu'on ne pourrait l'imaginer durant ces quelques jours sur ces nouveaux hommes. Car comme il ne soupçonnait pas ma présence, le public agissait en toute liberté et ainsi, je pus voir leurs chapardages discrets, entendre leurs conversations discordantes et parfois agressives sur l'état du pays, les guerres, la société et les comportements de leurs compatriotes, à leurs surprises, leurs plans, leurs craintes, leurs inquiétudes, leurs haines et leurs joies.