—Ayer vi a mi doble —dijo una tarde.
Durante tres días no lo vi. Era otra persona. Se me acercó y me contó la historia del hombre que cortó su pie para no caminar más. Decía que le dolía la mano derecha. Días después se la cortaría. “No quiero estar repetido”, me dijo cuando llegué a visitarlo.
Traduction temporaire :
— Hier j'ai aperçu mon double, dit-il un soir.
Je ne le revis plus pendant trois jours. Il était devenu quelqu'un d'autre. Il s'approcha de moi et me raconta l'histoire de l'homme qui s'était coupé le pied pour ne plus avoir à marcher. Il répétait que sa main droite lui faisait mal. Quelques temps après, il se l'était coupée. « Je ne veux pas être reproduit », me confia-t-il alors que j'arrivais pour lui rendre visite.
— Hier j'ai aperçu mon double, dit-il un soir.
Je ne le revis plus pendant trois jours. Il était devenu quelqu'un d'autre. Il s'approcha de moi et me raconta l'histoire de l'homme qui s'était coupé le pied pour ne plus avoir à marcher. Il répétait que sa main droite lui faisait mal. Quelques temps après, il se l'était coupée. « Je ne veux pas être reproduit », me confia-t-il alors que j'arrivais pour lui rendre visite.
6 commentaires:
Annelise L
— Hier j'ai vu mon double — a-t-il dit, un soir.
Je ne l'ai plus revu pendant trois jours. Il était devenu quelqu'un d'autre. Il s'est approché de moi et m'a raconté l'histoire de l'homme qui se coupa le pied pour ne plus avoir à marcher. Il disait que sa main droite lui faisait mal. Quelques jours après, il se l'est coupée. « Je ne veux pas être reproduit », m'a t-il dit alors que j'arrivais pour lui rendre visite.
— Hier j'ai vu mon double — [non, on n'utilise pas le système des tirets, mais une simple virgule // à retenir et appliquer systématiquement] a-t-il dit, un soir.
Je ne l'ai plus revu pendant trois jours. Il était devenu quelqu'un d'autre. Il s'est approché de moi et m'a raconté l'histoire de l'homme qui se coupa le pied pour ne plus avoir à marcher. Il disait [tu as déjà « dire » avant ; trouve une autre solution ici] que sa main droite lui faisait mal. Quelques jours [essaie de ne pas répéter « jours » ; comme ici, ça n'est pas quantifié, ça ne devrait pas poser de pb de changer] après, il se l'est coupée [temps ! Je me rends compte que tu mélanges le passé composé et le passé simple // souviens-toi, c'est l'un ou l'autre ; une décision que tu prends au début et à laquelle tu dois te tenir… Les temps, c'est le nerf de la guerre]. « Je ne veux pas être reproduit », m'a t-il dit [X 3 rien que dans ce fragment // imagine les relectures que tu te prépares ;-)] alors que j'arrivais pour lui rendre visite.
Annelise L
— Hier j'ai vu mon double, dit-il un soir.
Je ne le revis plus pendant trois jours. Il était devenu quelqu'un d'autre. Il s'approcha de moi et me raconta l'histoire de l'homme qui se coupa le pied pour ne plus avoir à marcher. Il répétait que sa main droite lui faisait mal. Quelques temps après, il se la coupa. « Je ne veux pas être reproduit », me confia-t-il alors que j'arrivais pour lui rendre visite.
— Hier j'ai vu mon double, dit-il un soir.
Je ne le revis [un moyen de ne pas répéter « voir » ? Si tu ne trouves pas ou que c'est artificiel, laisse tomber…] plus pendant trois jours. Il était devenu quelqu'un d'autre. Il s'approcha de moi et me raconta l'histoire de l'homme qui se coupa [PQP ?] le pied pour ne plus avoir à marcher. Il répétait que sa main droite lui faisait mal. Quelques temps après, il se la coupa [idem ?]. « Je ne veux pas être reproduit », me confia-t-il alors que j'arrivais pour lui rendre visite.
Annelise L
— Hier j'ai aperçu mon double, dit-il un soir.
Je ne le revis plus pendant trois jours. Il était devenu quelqu'un d'autre. Il s'approcha de moi et me raconta l'histoire de l'homme qui s'était coupé le pied pour ne plus avoir à marcher. Il répétait que sa main droite lui faisait mal. Quelques temps après, il se l'était coupée. « Je ne veux pas être reproduit », me confia-t-il alors que j'arrivais pour lui rendre visite.
— Hier j'ai aperçu mon double, dit-il un soir.
Je ne le revis plus pendant trois jours. Il était devenu quelqu'un d'autre. Il s'approcha de moi et me raconta l'histoire de l'homme qui s'était coupé le pied pour ne plus avoir à marcher. Il répétait que sa main droite lui faisait mal. Quelques temps après, il se l'était coupée. « Je ne veux pas être reproduit », me confia-t-il alors que j'arrivais pour lui rendre visite.
OK.
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