jeudi 17 juillet 2014

Projet Caroline 2 – phrases 92-94

Cuando acabó de hablar, un silencio sepulcral invadió la sala. Todos se miraban entre sí, con los rostros serios y apesadumbrados; como pidiendo una explicación a lo que allí se había dicho; como diciendo: “Esto no puede estar sucediendo”. Sobre todo la última frase, que sonó especialmente trágica, pues hacía una clara y funesta referencia al destino del imperio de Satán, del que habían formado parte con orgullo desde hacía siglos.

Traduction temporaire :
Quand il acheva son discours, un silence sépulcral envahit la salle. Tous s'entre-regardaient, les visages sérieux et accablés, comme s'ils demandaient une explication sur ce qui venait d'être proféré, l'air de dire : « Cela ne peut pas être la réalité. » La dernière phrase, surtout, sonnait de manière particulièrement tragique, puisqu'elle faisait clairement et funestement référence au destin de l'empire de Satan, dont ils avaient fièrement fait partie depuis des siècles. 

4 commentaires:

Caroline a dit…

Quand il acheva de parler, un silence sépulcral envahit la salle. Tous s'entre-regardaient, les visages sérieux et accablés, comme s'ils demandaient une explication sur ce qui s'était dit là, l'air de dire : « Cela ne peut pas être la réalité. » La dernière phrase, surtout, sonnait de manière particulièrement tragique, puisqu'elle faisait clairement et funestement référence au destin de l'empire de Satan, dont ils avaient fièrement fait partie depuis des siècles.

Tradabordo a dit…

Quand il acheva [ce sera certainement plus naturel avec « finir » ou alors vous pouvez passer par « se tut » ou « acheva son discours » ; évaluez tout ça et tranchez] de parler, un silence sépulcral envahit la salle. Tous s'entre-regardaient [vérifiez dans Le Robert que le verbe est bien validé], les visages sérieux et accablés, comme s'ils demandaient une explication sur ce qui s'était dit là [ou avec « venir de se dire » ?], l'air de dire : « Cela ne peut pas être la réalité. » La dernière phrase, surtout, sonnait [n'est-ce pas un hispanisme ? J'hésite… À force, il y a des choses qu'on ne sait plus ;-) Vérifiez quand même qu'on l'utilise bien dans ce sens aussi en français] de manière particulièrement tragique, puisqu'elle faisait clairement et funestement référence au destin de l'empire de Satan, dont ils avaient fièrement fait partie depuis des siècles.

Caroline a dit…

Quand il acheva son discours, un silence sépulcral envahit la salle. Tous s'entre-regardaient, les visages sérieux et accablés, comme s'ils demandaient une explication sur ce qui venait d'être proféré, l'air de dire : « Cela ne peut pas être la réalité. » La dernière phrase, surtout, sonnait de manière particulièrement tragique, puisqu'elle faisait clairement et funestement référence au destin de l'empire de Satan, dont ils avaient fièrement fait partie depuis des siècles.

N'ayant pas Le Robert comme dictionnaire, j'ai consulté le TLFI ; si c'est une référence sérieuse, alors c'est bon pour "s'entre-regarder" et "sonner".

Tradabordo a dit…

Quand il acheva son discours, un silence sépulcral envahit la salle. Tous s'entre-regardaient, les visages sérieux et accablés, comme s'ils demandaient une explication sur ce qui venait d'être proféré, l'air de dire : « Cela ne peut pas être la réalité. » La dernière phrase, surtout, sonnait de manière particulièrement tragique, puisqu'elle faisait clairement et funestement référence au destin de l'empire de Satan, dont ils avaient fièrement fait partie depuis des siècles.

OK.