Veronica Villanueva (Pérou)
El Restaurante Haití
Cuando abro el periódico tiendo a perderme en sus palabras, como siempre, a la misma hora, cuando la calle sucumbe a la multitud, cuando todo se llena de caras, de rostros y cuando vuelvo a darme cuenta de mi alrededor el tiempo ha pasado volando y el plato que el mesero puso frente a mi está frio y me quedo nuevamente absorto en el gentío.
Traduction temporaire :
Veronica Villanueva (Pérou)
« Le Restaurant Haïti »
Lorsque j'ouvre le journal, j'ai tendance à me perdre dans ses mots, comme toujours, à la même heure, alors que la rue succombe au monde et que tout s'emplit de têtes, de visages. Puis, quand je reviens à ce qui se passe autour de moi, le temps s'est envolé, l'assiette que le serveur a posée devant moi est froide, et je me retrouve de nouveau absorbé par la foule.
4 commentaires:
Veronica Villanueva (Pérou)
« Le Restaurant Haïti »
Lorsque j'ouvre le journal, je tends à me perdre dans ses mots, comme toujours, à la même heure, quand la rue succombe au monde et que tout s'emplit de têtes, de visages. Puis, quand je reviens à ce qui se passe autour de moi, le temps s'est envolé, l'assiette que le serveur a posée devant moi est froide, et je me retrouve à nouveau absorbé par la foule.
Veronica Villanueva (Pérou)
« Le Restaurant Haïti »
Lorsque j'ouvre le journal, je tends [pas un truc plus naturel ; assez proche… Je t'aide : « j'ai……… »] à me perdre dans ses mots, comme toujours, à la même heure, quand [« alors que » / « à l'heure où », pour éviter le « lorsque » + « quand » – surtout que tu l'as encore après ?] la rue succombe au monde et que tout s'emplit de têtes, de visages. Puis, quand je reviens à ce qui se passe autour de moi, le temps s'est envolé, l'assiette que le serveur a posée devant moi est froide, et je me retrouve à nouveau absorbé par la foule.
Veronica Villanueva (Pérou)
« Le Restaurant Haïti »
Lorsque j'ouvre le journal, j'ai tendance à me perdre dans ses mots, comme toujours, à la même heure, alors que la rue succombe au monde et que tout s'emplit de têtes, de visages. Puis, quand je reviens à ce qui se passe autour de moi, le temps s'est envolé, l'assiette que le serveur a posée devant moi est froide, et je me retrouve à nouveau absorbé par la foule.
Veronica Villanueva (Pérou)
« Le Restaurant Haïti »
Lorsque j'ouvre le journal, j'ai tendance à me perdre dans ses mots, comme toujours, à la même heure, alors que la rue succombe au monde et que tout s'emplit de têtes, de visages. Puis, quand je reviens à ce qui se passe autour de moi, le temps s'est envolé, l'assiette que le serveur a posée devant moi est froide, et je me retrouve de nouveau absorbé par la foule.
Avec une petite modif à la fin, c'est OK.
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