–Guilhe... –dijo, instintivamente. Vi que su rostro adquiría una ternura ruda, sutilmente conmovida–: cuánto siento lo de tu padre, niño. Me enteré hoy por la tarde y he venido en cuanto pude...
–Te lo agradezco mucho –lo interrumpí, no quise terminar de escuchar su consuelo–. Sabes que tienes tanto derecho a estar aquí como yo.
Traduction temporaire :
— Guilhe…, répondit-il instinctivement. Je vis que son visage prenait une expression de tendresse rude, subtilement émue. Petit, je suis tellement désolé pour ton père. Je l’ai appris cet après-midi et je suis venu dès que j’ai pu.
— Je te remercie beaucoup, l’interrompis-je, ne voulant pas écouter ses condoléances jusqu’à la fin. Tu sais que tu as autant le droit que moi d’être ici.
— Je te remercie beaucoup, l’interrompis-je, ne voulant pas écouter ses condoléances jusqu’à la fin. Tu sais que tu as autant le droit que moi d’être ici.
6 commentaires:
— Guilhe…, répondit-il instinctivement. Je vis que son visage esquissait une expression de tendresse rude, subtilement émue : petit, je suis vraiment désolé pour ton père. Je l’ai appris cet après-midi et je suis venu dès que j’ai pu.
— Je te remercie beaucoup, l’interrompis-je, ne voulant pas écouter ses condoléances jusqu’à la fin. Tu sais que tu as autant le droit que moi d’être ici.
— Guilhe…, répondit-il instinctivement. Je vis que son visage esquissait [un peu surtraduit] une expression de tendresse rude, subtilement émue : petit, je suis vraiment [« tellement » ?] désolé pour ton père. Je l’ai appris cet après-midi et je suis venu dès que j’ai pu.
— Je te remercie beaucoup, l’interrompis-je, ne voulant pas écouter ses condoléances jusqu’à la fin. Tu sais que tu as autant le droit que moi d’être ici.
— Guilhe…, répondit-il instinctivement. Je vis que son visage prenait une expression de tendresse rude, subtilement émue : petit, je suis tellement désolé pour ton père. Je l’ai appris cet après-midi et je suis venu dès que j’ai pu.
— Je te remercie beaucoup, l’interrompis-je, ne voulant pas écouter ses condoléances jusqu’à la fin. Tu sais que tu as autant le droit que moi d’être ici.
— Guilhe…, répondit-il instinctivement. Je vis que son visage prenait une expression de tendresse rude, subtilement émue : [point] petit, je suis tellement désolé pour ton père. Je l’ai appris cet après-midi et je suis venu dès que j’ai pu.
— Je te remercie beaucoup, l’interrompis-je, ne voulant pas écouter ses condoléances jusqu’à la fin. Tu sais que tu as autant le droit que moi d’être ici.
— Guilhe…, répondit-il instinctivement. Je vis que son visage prenait une expression de tendresse rude, subtilement émue. Petit, je suis tellement désolé pour ton père. Je l’ai appris cet après-midi et je suis venu dès que j’ai pu.
— Je te remercie beaucoup, l’interrompis-je, ne voulant pas écouter ses condoléances jusqu’à la fin. Tu sais que tu as autant le droit que moi d’être ici.
— Guilhe…, répondit-il instinctivement. Je vis que son visage prenait une expression de tendresse rude, subtilement émue. Petit, je suis tellement désolé pour ton père. Je l’ai appris cet après-midi et je suis venu dès que j’ai pu.
— Je te remercie beaucoup, l’interrompis-je, ne voulant pas écouter ses condoléances jusqu’à la fin. Tu sais que tu as autant le droit que moi d’être ici.
OK.
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