Disco el número de K. Moneda en mal estado. Deposite cien pesos. Busco. Manos sudadas. Michael se acerca. Pongo una moneda de cincuenta y luego otra. K. no responde. Ningún auto en las calles. Paso firme de Michael. K. contesta. Ruido. No me escucha. Michael a tres metros. Hay música del otro lado. Michael a dos metros. K. grita que no me escucha. Está en una fiesta. Michael veloz a un metro. Calle vacía. Calor. Sudo. Michael se abalanza, mete su mano en un bolsillo. Lo golpeo con el auricular. Su ceja sangra. Mira sorprendido. Lo golpeo otra vez. Lo vuelvo a golpear hasta cansarme. El auricular cuelga. Música y ruido desde la fiesta de K. Michael en el piso. Calor. Sudo. Calle vacía. Fumo. Nunca me agradó este tal Michael.
Traduction temporaire :
Je compose le numéro de K. Monnaie en mauvais état. Introduisez cent pesos. Je cherche. Mains moites. Michael se rapproche. Je glisse une pièce de cinquante dans la fente, puis une autre. K. ne répond pas. Pas une voiture dans les rues. Le pas décidé de Michael. K.répond. Bruit. Il ne m’entend pas. Michael à trois mètres. À l’autre bout du fil, de la musique. Michael à deux mètres. K. crie qu’il ne m’entend pas. Il est à une fête. Michael, rapide, à un mètre. Rue déserte. Chaleur. Je transpire. Michael se jette sur moi, plonge la main dans une poche. Je le frappe avec le combiné. Son arcade sourcilière saigne. Il me regarde, surpris. Je le frappe encore. Je le frappe de plus belle, jusqu'à l’épuisement. Le combiné pend dans le vide. Musique et bruit du côté de la fête de K. Michael, par terre. Chaleur. Je transpire. Rue déserte. Je fume. Je n’ai jamais aimé ce Michael.
Je compose le numéro de K. Monnaie en mauvais état. Introduisez cent pesos. Je cherche. Mains moites. Michael se rapproche. Je glisse une pièce de cinquante dans la fente, puis une autre. K. ne répond pas. Pas une voiture dans les rues. Le pas décidé de Michael. K.répond. Bruit. Il ne m’entend pas. Michael à trois mètres. À l’autre bout du fil, de la musique. Michael à deux mètres. K. crie qu’il ne m’entend pas. Il est à une fête. Michael, rapide, à un mètre. Rue déserte. Chaleur. Je transpire. Michael se jette sur moi, plonge la main dans une poche. Je le frappe avec le combiné. Son arcade sourcilière saigne. Il me regarde, surpris. Je le frappe encore. Je le frappe de plus belle, jusqu'à l’épuisement. Le combiné pend dans le vide. Musique et bruit du côté de la fête de K. Michael, par terre. Chaleur. Je transpire. Rue déserte. Je fume. Je n’ai jamais aimé ce Michael.
11 commentaires:
Attendez qu'on ait terminé les précédentes.
Je compose le numéro de K. Monnaie gaspillée. Introduisez cent pesos. Je cherche. Mains moites. Michael se rapproche. Je glisse une pièce de cinquante pesos dans la fente, puis une autre. K. ne répond pas. Aucune voiture dans les rues. Le pas décidé de Michael. K.répond. Bruit. Il ne m’entend pas. Michael à trois mètres. À l’autre bout du fil, de la musique. Michael à deux mètres. K. crie qu’il ne m’entend pas. Il est à une fête. Michael, véloce, à un mètre. Rue déserte. Chaleur. Je transpire. Michael se jette sur moi, plonge sa main dans une poche. Je le frappe avec le combiné. Son arcade sourcilière saigne. Il me regarde surpris. Je le frappe encore. Je le frappe de plus belle jusqu'à l’épuisement. Le combiné pend dans le vide. Musique et bruit du côté de la fête de K. Michael, par terre. Chaleur. Je transpire. Rue déserte. Je fume. Je n’ai jamais aimé ce Michael.
Je marque le numéro de K. Pièce en mauvais état. Introduisez cent pesos. Je cherche. Mains qui transpirent. Michael s'approche. Je mets une pièce de cinquante puis une autre. K. ne répond pas. Aucune voiture dans les rues. Pas ferme de Michael. K. répond. Bruit. Elle ne m'entend pas. Michael à trois mètres. Il y a de la musique de l'autre côté. Michael à deux mètres. K. crie qu'elle ne m'entend pas. Elle est à une fête. Michael rapide à un mètre. Rue vide. Chaleur. Je transpire. Michael bondit, met sa main dans sa poche. Je le frappe avec l'auriculaire. Son sourcil saigne. Il regarde surpris. Je le frappe encore. Je le frappe de nouveau jusqu'à l'épuisement. L'auriculaire pend. Musique et bruit depuis la fête de K. Michael par terre. Chaleur. Je transpire. Rue vide. Je fume. Je n'ai jamais aimé ce tel Michael.
Comme le fragment est long, je prends la première publiée et je ne compare pas. Nous ferons la synthèse ensemble.
Je compose le numéro de K. Monnaie gaspillée [CS]. Introduisez cent pesos. Je cherche. Mains moites. Michael se rapproche. Je glisse une pièce de cinquante pesos [nécessaire ?] dans la fente, puis une autre. K. ne répond pas. Aucune [ou « Pas une »] voiture dans les rues. Le pas décidé de Michael. K.répond. Bruit. Il ne m’entend pas. Michael à trois mètres. À l’autre bout du fil, de la musique. Michael à deux mètres. K. crie qu’il ne m’entend pas. Il est à une fête. Michael, véloce [naturel ?], à un mètre. Rue déserte. Chaleur. Je transpire. Michael se jette sur moi, plonge sa [« la » ?] main dans une poche. Je le frappe avec le combiné. Son arcade sourcilière saigne. Il me regarde surpris [ponctuation à ajouter ou « avec surprise »]. Je le frappe encore. Je le frappe de plus belle [virgule] jusqu'à l’épuisement. Le combiné pend dans le vide. Musique et bruit du côté de la fête de K. Michael, par terre. Chaleur. Je transpire. Rue déserte. Je fume. Je n’ai jamais aimé ce Michael.
Là encore, un problème de genre... K. est un homme ou une femme ? Et le texte ne nous donne pas de piste !
***
Je compose le numéro de K. Pièce en mauvais état. Introduisez cent pesos. Je cherche. Mains moites. Michael se rapproche. Je glisse une pièce de cinquante dans la fente, puis une autre. K. ne répond pas. Pas une voiture dans les rues. Le pas décidé de Michael. K.répond. Bruit. Il ne m’entend pas. Michael à trois mètres. À l’autre bout du fil, de la musique. Michael à deux mètres. K. crie qu’il ne m’entend pas. Il est à une fête. Michael, rapide, à un mètre. Rue déserte. Chaleur. Je transpire. Michael se jette sur moi, plonge la main dans une poche. Je le frappe avec le combiné. Son arcade sourcilière saigne. Il me regarde avec surprise. Je le frappe encore. Je le frappe de plus belle, jusqu'à l’épuisement. Le combiné pend dans le vide. Musique et bruit du côté de la fête de K. Michael, par terre. Chaleur. Je transpire. Rue déserte. Je fume. Je n’ai jamais aimé ce Michael.
Je compose le numéro de K. Monnaie en mauvais état. Introduisez cent pesos. Je cherche. Mains moites. Michael se rapproche. Je glisse une pièce de cinquante dans la fente, puis une autre. K. ne répond pas. Pas une voiture dans les rues. Le pas décidé de Michael. K.répond. Bruit. Il ne m’entend pas. Michael à trois mètres. À l’autre bout du fil, de la musique. Michael à deux mètres. K. crie qu’il ne m’entend pas. Il est à une fête. Michael, rapide, à un mètre. Rue déserte. Chaleur. Je transpire. Michael se jette sur moi, plonge la main dans une poche. Je le frappe avec le combiné. Son arcade sourcilière saigne. Il me regarde, surpris. Je le frappe encore. Je le frappe de plus belle, jusqu'à l’épuisement. Le combiné pend dans le vide. Musique et bruit du côté de la fête de K. Michael, par terre. Chaleur. Je transpire. Rue déserte. Je fume. Je n’ai jamais aimé ce Michael.
Bon… avant qu'on boucle cette phrase, envoyez le texte en entier à Elena et demandez-lui si, à son avis, c'est une coquille ou si la confusion est volontaire. Si elle doute également, on demandera à l'auteur.
OK, je vais le lui envoyer ;)
Elena nous répond :
Voici ce que je comprends :
Le narrateur rencontre une fille, il l'invite dans un bar, elle lui parle de quelqu'un qui s'appelle "Michael" et lui, à ce moment-là, pense qu'il s'agit d'une copine à elle ; or, le tel Michael est un mec baraqué qui se pointe et n'est pas très content qu'il ait voulu se taper sa copine ou quelque chose de la sorte, on ne connaît pas bien ses intentions. Lorsqu'il est à la cabine téléphonique, il sent venir le danger et avant que l'autre ne l'attaque, il prend les devants et l'assomme.
K, on ne sait qui c'est. En espagnol c'est ambigüe et vous pouvez le laisser comme ça.
***
Je compose le numéro de K. Monnaie en mauvais état. Introduisez cent pesos. Je cherche. Mains moites. Michael se rapproche. Je glisse une pièce de cinquante dans la fente, puis une autre. K. ne répond pas. Pas une voiture dans les rues. Le pas décidé de Michael. K.répond. Bruit. Il ne m’entend pas. Michael à trois mètres. À l’autre bout du fil, de la musique. Michael à deux mètres. K. crie qu’il ne m’entend pas. Il est à une fête. Michael, rapide, à un mètre. Rue déserte. Chaleur. Je transpire. Michael se jette sur moi, plonge la main dans une poche. Je le frappe avec le combiné. Son arcade sourcilière saigne. Il me regarde, surpris. Je le frappe encore. Je le frappe de plus belle, jusqu'à l’épuisement. Le combiné pend dans le vide. Musique et bruit du côté de la fête de K. Michael, par terre. Chaleur. Je transpire. Rue déserte. Je fume. Je n’ai jamais aimé ce Michael.
Je compose le numéro de K. Monnaie en mauvais état. Introduisez cent pesos. Je cherche. Mains moites. Michael se rapproche. Je glisse une pièce de cinquante dans la fente, puis une autre. K. ne répond pas. Pas une voiture dans les rues. Le pas décidé de Michael. K.répond. Bruit. Il ne m’entend pas. Michael à trois mètres. À l’autre bout du fil, de la musique. Michael à deux mètres. K. crie qu’il ne m’entend pas. Il est à une fête. Michael, rapide, à un mètre. Rue déserte. Chaleur. Je transpire. Michael se jette sur moi, plonge la main dans une poche. Je le frappe avec le combiné. Son arcade sourcilière saigne. Il me regarde, surpris. Je le frappe encore. Je le frappe de plus belle, jusqu'à l’épuisement. Le combiné pend dans le vide. Musique et bruit du côté de la fête de K. Michael, par terre. Chaleur. Je transpire. Rue déserte. Je fume. Je n’ai jamais aimé ce Michael.
OK.
Justine ?
Je compose le numéro de K. Monnaie en mauvais état. Introduisez cent pesos. Je cherche. Mains moites. Michael se rapproche. Je glisse une pièce de cinquante dans la fente, puis une autre. K. ne répond pas. Pas une voiture dans les rues. Le pas décidé de Michael. K.répond. Bruit. Il ne m’entend pas. Michael à trois mètres. À l’autre bout du fil, de la musique. Michael à deux mètres. K. crie qu’il ne m’entend pas. Il est à une fête. Michael, rapide, à un mètre. Rue déserte. Chaleur. Je transpire. Michael se jette sur moi, plonge la main dans une poche. Je le frappe avec le combiné. Son arcade sourcilière saigne. Il me regarde, surpris. Je le frappe encore. Je le frappe de plus belle, jusqu'à l’épuisement. Le combiné pend dans le vide. Musique et bruit du côté de la fête de K. Michael, par terre. Chaleur. Je transpire. Rue déserte. Je fume. Je n’ai jamais aimé ce Michael.
OK.
Enregistrer un commentaire