jeudi 10 juillet 2014

Projet Manon 3 – phrases 55-56

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García Márquez entró a un cuarto desolado de paredes intactas donde sólo había dos sillones, y en uno de los cuales estaba un hombre que, si él hubiera podido describirlo, habría dicho que era "aún más bello que el ahogado más hermoso del mundo". Era un hombre perfecto, de rostro severo pero gentil, de mirada aguda.

Traduction temporaire :
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García Márquez pénétra dans une pièce désolée, aux murs dénudés, où il n'y avait que deux fauteuils ; dans l'un deux était assis un homme qui, s'il avait pu le décrire, aurait été « plus beau encore que le noyé le plus beau du monde ». Un homme parfait, au visage grave, mais gentil, et au regard perçant.


6 commentaires:

Unknown a dit…

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García Márquez pénétra dans une pièce désolée, aux murs intacts, où il y avait seulement deux fauteuils ; sur l'un deux était assis un homme qui, s'il avait pu le décrire, aurait été « plus beau encore que le noyé le plus beau du monde ». Un homme parfait, au visage grave, mais gentil et au regard perçant.

Tradabordo a dit…

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García Márquez pénétra dans une pièce désolée, aux murs intacts [ou dans le sens de « nus » ?], où il y avait seulement [ou avec « que » ? Comme tu veux] deux fauteuils ; sur l'un deux était assis un homme qui, s'il avait pu le décrire, aurait été « plus beau encore que le noyé le plus beau du monde ». Un homme parfait, au visage grave, mais gentil [virgule] et au regard perçant.

Unknown a dit…

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García Márquez pénétra dans une pièce désolée, aux murs dénudés, où il n'y avait que deux fauteuils ; sur l'un deux était assis un homme qui, s'il avait pu le décrire, aurait été « plus beau encore que le noyé le plus beau du monde ». Un homme parfait, au visage grave, mais gentil, et au regard perçant.

Tradabordo a dit…

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García Márquez pénétra dans une pièce désolée, aux murs dénudés, où il n'y avait que deux fauteuils ; sur [plutôt « dans » pour un fauteuil, non ? Je te laisse trancher…] l'un deux était assis un homme qui, s'il avait pu le décrire, aurait été « plus beau encore que le noyé le plus beau du monde ». Un homme parfait, au visage grave, mais gentil, et au regard perçant.

Unknown a dit…

3
García Márquez pénétra dans une pièce désolée, aux murs dénudés, où il n'y avait que deux fauteuils ; dans l'un deux était assis un homme qui, s'il avait pu le décrire, aurait été « plus beau encore que le noyé le plus beau du monde ». Un homme parfait, au visage grave, mais gentil, et au regard perçant.

Tradabordo a dit…

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García Márquez pénétra dans une pièce désolée, aux murs dénudés, où il n'y avait que deux fauteuils ; dans l'un deux était assis un homme qui, s'il avait pu le décrire, aurait été « plus beau encore que le noyé le plus beau du monde ». Un homme parfait, au visage grave, mais gentil, et au regard perçant.

OK.