Como telas de una cebolla claudicante, Dalila va despellejando la risa, el candor, su adolescencia, la pretensión de convertirse en la mujer más poderosa del país, el desengaño ante el fracaso de imponer su voluntad, los velos de la amargura, del resentimiento, del miedo y del hastío.
Traduction temporaire :
Telles les pelures d'un oignon abîmé, Dalila dépouille petit à petit son rire, sa candeur, son adolescence, son ambition de devenir la femme la plus puissante du pays, sa déception d'avoir échoué à imposer sa volonté, elle lève les voiles de l'amertume, du ressentiment, de la peur et du dégoût.
Telles les pelures d'un oignon abîmé, Dalila dépouille petit à petit son rire, sa candeur, son adolescence, son ambition de devenir la femme la plus puissante du pays, sa déception d'avoir échoué à imposer sa volonté, elle lève les voiles de l'amertume, du ressentiment, de la peur et du dégoût.
18 commentaires:
Telles les membranes d'un oignon abandonné, Dalila dépouille petit à petit le rire, la candeur, son adolescence, sa prétention de devenir la femme la plus puissante du pays, la déception face à l'échec pour imposer sa volonté, les voiles de l'amertume, du ressentiment, de la peur et du dégoût.
Telles les membranes [on ne dit pas « pelures » ?] d'un oignon abandonné [sûre ?], Dalila dépouille petit à petit [pas des tirets ? Vérifie] le rire, la candeur, son adolescence, sa prétention [ou dans le sens de « ambition » ? Vérifie dans l'unilingue] de devenir la femme la plus puissante du pays, la déception face à l'échec pour [?] imposer sa volonté, les voiles de l'amertume, du ressentiment, de la peur et du dégoût.
Telles les pelures d'un oignon pourri, Dalila dépouille petit à petit le rire, la candeur, son adolescence, son ambition de devenir la femme la plus puissante du pays, la déception face à l'échec dans le but d'imposer sa volonté, les voiles de l'amertume, du ressentiment, de la peur et du dégoût.
Telles les pelures d'un oignon pourri [tu as vérifié ? Confirme que ça n'est pas une traduction juste « intuitive »], Dalila dépouille petit à petit le rire, la candeur, son adolescence, son ambition de devenir la femme la plus puissante du pays, la déception face à l'échec dans le but [tout cela n'est pas très clair] d'imposer sa volonté, les voiles de l'amertume, du ressentiment, de la peur et du dégoût.
Telles les pelures d'un oignon abîmé, Dalila dépouille petit à petit le rire, la candeur, son adolescence, son ambition de devenir la femme la plus puissante du pays, sa déception d'avoir échoué pour imposer sa volonté, les voiles de l'amertume, du ressentiment, de la peur et du dégoût.
Telles les pelures d'un oignon abîmé, Dalila dépouille petit à petit le [je me demande s'il faut des possessifs ; qu'en penses-tu ?] rire, la candeur, son adolescence, son ambition de devenir la femme la plus puissante du pays, sa déception d'avoir échoué pour [« à »] imposer sa volonté, les voiles de l'amertume, du [là, tu laisses entendre que ça va avec « voiles » ; est-ce le cas ?] ressentiment, de [idem] la peur et du dégoût.
Telles les pelures d'un oignon abîmé, Dalila dépouille petit à petit son rire, sa candeur, son adolescence, son ambition de devenir la femme la plus puissante du pays, sa déception d'avoir échoué pour à imposer sa volonté, les voiles de l'amertume, du ressentiment, de la peur et du dégoût.
Telles les pelures d'un oignon abîmé, Dalila dépouille petit à petit son rire, sa candeur, son adolescence, son ambition de devenir la femme la plus puissante du pays, sa déception d'avoir échoué pour à [relis-toi ; un petit manque de concentration en ce moment ?] imposer sa volonté, les voiles de l'amertume, du ressentiment, de la peur et du dégoût.
Telles les pelures d'un oignon abîmé, Dalila dépouille petit à petit son rire, sa candeur, son adolescence, son ambition de devenir la femme la plus puissante du pays, sa déception d'avoir échoué à imposer sa volonté, les voiles de l'amertume, du ressentiment, de la peur et du dégoût.
Telles les pelures d'un oignon abîmé, Dalila dépouille petit à petit son rire, sa candeur, son adolescence, son ambition de devenir la femme la plus puissante du pays, sa déception d'avoir échoué à imposer sa volonté, les voiles de l'amertume, du ressentiment, de la peur et du dégoût [je repose ma question : elle a échoué à imposer les voiles de l'amertume… ? Là, c'est ce que tu dis. Est-ce ce que signifie la phrase ?].
Telles les pelures d'un oignon abîmé, Dalila dépouille petit à petit son rire, sa candeur, son adolescence, son ambition de devenir la femme la plus puissante du pays, sa déception d'avoir échoué à imposer sa volonté, les voiles de l'amertume, du ressentiment, de la peur et du dégoût [je repose ma question : elle a échoué à imposer les voiles de l'amertume… ? Là, c'est ce que tu dis. Est-ce ce que signifie la phrase ? // Ce n'est pas ce que je veux dire, je pensais que ça venait dans la continuité de laphrase : le rire, l'adolescence, la candeur, etc..].
Oui, le pb, c'est qu'en le formulant ainsi, c'est ce que tu suggères ; en réalité, ça va avec « en desengaño frente a », non ?
Non, selon moi, ça va avec "va despellejando ..."
Ah… on remonte encore plus haut… Dans ce cas, soit tu modifies la syntaxe, soit tu ajoutes des chevilles – par exemple en répétant. Il vaut mieux privilégier la clarté.
Telles les pelures d'un oignon abîmé, Dalila dépouille petit à petit son rire, sa candeur, son adolescence, son ambition de devenir la femme la plus puissante du pays, sa déception d'avoir échoué à imposer sa volonté, elle dépouille[dénude?] les voiles de l'amertume, du ressentiment, de la peur et du dégoût.
Telles les pelures d'un oignon abîmé, Dalila dépouille petit à petit son rire, sa candeur, son adolescence, son ambition de devenir la femme la plus puissante du pays, sa déception d'avoir échoué à imposer sa volonté, elle dépouille[dénude? // « lève » ?] les voiles de l'amertume, du ressentiment, de la peur et du dégoût.
Telles les pelures d'un oignon abîmé, Dalila dépouille petit à petit son rire, sa candeur, son adolescence, son ambition de devenir la femme la plus puissante du pays, sa déception d'avoir échoué à imposer sa volonté, elle lève les voiles de l'amertume, du ressentiment, de la peur et du dégoût.
Telles les pelures d'un oignon abîmé, Dalila dépouille petit à petit son rire, sa candeur, son adolescence, son ambition de devenir la femme la plus puissante du pays, sa déception d'avoir échoué à imposer sa volonté, elle lève les voiles de l'amertume, du ressentiment, de la peur et du dégoût.
OK.
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