Las puertas de la casa de la querida del Dictador seguirán trancadas en tanto durase su mandato. Nadie entra y nadie sale, salvo él cuando se le antoja poseerla, pero ella recorre las estancias envuelta en una calma inexplicable.
Traduction temporaire :
Les portes de la maison de la belle du Dictateur resteront condamnées le temps de son mandat. Personne n'entre et personne ne sort, sauf lui, quand il a envie de la posséder ; et elle parcourt tout de même les pièces enveloppée dans un calme inexplicable.
Les portes de la maison de la belle du Dictateur resteront condamnées le temps de son mandat. Personne n'entre et personne ne sort, sauf lui, quand il a envie de la posséder ; et elle parcourt tout de même les pièces enveloppée dans un calme inexplicable.
8 commentaires:
Les portes de la maison de la maîtresse du Dictateur resteront condamnées le temps de son mandat. Personne n'entre et personne ne sort, sauf lui quand il a envie de la posséder, mais elle parcourt les pièces enveloppée dans un calme inexplicable.
Les portes de la maison de la maîtresse [pas un peu contourné en V.O. ?] du Dictateur resteront condamnées le temps de son mandat. Personne n'entre et personne ne sort, sauf lui [virgule ?] quand il a envie de la posséder, mais [? Tel que tu le formules, en tout cas, on ne comprend pas bien…] elle parcourt les pièces enveloppée dans un calme inexplicable.
Les portes de la maison de la maîtresse [pas un peu contourné en V.O. ?// dans l'unilingue, le sens que je trouve correspond à celui-là et il n'y a rien de plus] du Dictateur resteront condamnées le temps de son mandat. Personne n'entre et personne ne sort, sauf lui, quand il a envie de la posséder ; et elle parcourt tout de même les pièces enveloppée dans un calme inexplicable.
Les portes de la maison de la maîtresse [pas un peu contourné en V.O. ?// dans l'unilingue, le sens que je trouve correspond à celui-là et il n'y a rien de plus /// Oui, pour le sens, je sais… là, ma question porte sur le ton et le contournement] du Dictateur resteront condamnées le temps de son mandat. Personne n'entre et personne ne sort, sauf lui, quand il a envie de la posséder ; et elle parcourt tout de même les pièces enveloppée dans un calme inexplicable.
Les portes de la maison de la belle du Dictateur resteront condamnées le temps de son mandat. Personne n'entre et personne ne sort, sauf lui, quand il a envie de la posséder ; et elle parcourt tout de même les pièces enveloppée dans un calme inexplicable.
Les portes de la maison de la belle [« bien aimée » ?] du Dictateur resteront condamnées le temps de son mandat. Personne n'entre et personne ne sort, sauf lui, quand il a envie de la posséder ; et elle parcourt tout de même les pièces enveloppée dans un calme inexplicable.
Les portes de la maison de la belle [« bien aimée » ?//Je me demande si "bien aimée" n'implique pas des sentiments] du Dictateur resteront condamnées le temps de son mandat. Personne n'entre et personne ne sort, sauf lui, quand il a envie de la posséder ; et elle parcourt tout de même les pièces enveloppée dans un calme inexplicable.
Les portes de la maison de la belle du Dictateur resteront condamnées le temps de son mandat. Personne n'entre et personne ne sort, sauf lui, quand il a envie de la posséder ; et elle parcourt tout de même les pièces enveloppée dans un calme inexplicable.
OK… Cela dit, en V.O., c'était « querida » ;-)
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