WALTER TOSCANO (Pérou)
ASESINATO
¡Pureza, pureza! El hombre dormido proclamaba la pureza del sueño. La apacible noche, con su imperio lunar, invadía los cadáveres. La muerte había cruzado el puente de los petrificados pechos acostados sobre el río de sangre. La luna dibujaba una fría sonrisa en el oscuro rostro de la parca. Ella se arrodilló y bebió todo el río, y se marchó embriagada de sangre y de luna. El hombre -único sobreviviente- fue tras ella y la asesinó abriendo los ojos.
Traduction temporaire :
Walter Toscano (Pérou)
Assassinat
Pureté, pureté ! L'homme endormi proclamait la pureté du rêve. La paisible nuit, sous son règne lunaire, prenait possession des cadavres. La mort avait franchi le pont des torses pétrifiés, flottants sur le fleuve de sang. La lune dessinait un froid sourire sur le sombre visage de la Parque qui s'agenouilla et but tout le fleuve, puis s'en alla, enivrée de sang et de lune. L'homme - seul survivant - la suivit et l'assassina en ouvrant les yeux.
7 commentaires:
Assassinat
Walter Toscano (Pérou)
Pureté, pureté! L'homme endormi proclamait la pureté du rêve. La paisible nuit, avec son empire lunaire, prenait possession des cadavres. La mort avait franchi le pont des cœurs pétrifiés couchés sur le fleuve de sang. La lune dessinait un froid sourire sur le sombre visage de la Parques. Celle-ci s'agenouilla et bu tout le fleuve, puis s'en alla, enivrée de sang et de lune. L'homme, seul survivant, la suivi et l'assassinat en ouvrant les yeux.
Walter Toscano (Pérou)
Assassinat
Pureté, pureté[espace avant les signes de ponctuation forts]! L'homme endormi proclamait la pureté du rêve. La paisible nuit, avec son empire lunaire, prenait possession des cadavres. La mort avait franchi le pont des cœurs [surtraduit ?] pétrifiés [virgule ?] couchés sur le fleuve de sang. La lune dessinait un froid sourire sur le sombre visage de la Parques [pourquoi le « s » ?]. Celle-ci [supprimez et fusionnez les deux phrases] s'agenouilla et bu [grammaire] tout le fleuve, puis s'en alla, enivrée de sang et de lune. L'homme, seul survivant [pourquoi vous supprimez les tirets de la V.O. ?], la suivi [grammaire ; il va falloir révisez le passé simple] et l'assassinat en ouvrant les yeux.
Walter Toscano (Pérou)
Assassinat
Pureté, pureté ! L'homme endormi proclamait la pureté du rêve. La paisible nuit, avec son empire lunaire, prenait possession des cadavres. La mort avait franchi le pont des torses pétrifiés, couchés sur le fleuve de sang. La lune dessinait un froid sourire sur le sombre visage de la Parque qui s'agenouilla et but tout le fleuve, puis s'en alla, enivrée de sang et de lune. L'homme - seul survivant - la suivit et l'assassina en ouvrant les yeux.
Walter Toscano (Pérou)
Assassinat
Pureté, pureté ! L'homme endormi proclamait la pureté du rêve. La paisible nuit, avec son empire [est-ce que là, c'est dans le sens de « règne » ? J'hésite… Réfléchissez et tranchez] lunaire, prenait possession des cadavres. La mort avait franchi le pont des torses pétrifiés, couchés sur le fleuve de sang. La lune dessinait un froid sourire sur le sombre visage de la Parque qui s'agenouilla et but tout le fleuve, puis s'en alla, enivrée de sang et de lune. L'homme - seul survivant - la suivit et l'assassina en ouvrant les yeux [ou : « les yeux grands ouverts » ?].
Walter Toscano (Pérou)
Assassinat
Pureté, pureté ! L'homme endormi proclamait la pureté du rêve. La paisible nuit, sous son règne lunaire, prenait possession des cadavres. La mort avait franchi le pont des torses pétrifiés, flottants sur le fleuve de sang. La lune dessinait un froid sourire sur le sombre visage de la Parque qui s'agenouilla et but tout le fleuve, puis s'en alla, enivrée de sang et de lune. L'homme - seul survivant - la suivit et l'assassina en ouvrant les yeux.( je trouve que l'on comprend mieux comment il échappe à la mort de cette manière; si moi même j ai bien compris...)
Walter Toscano (Pérou)
Assassinat
Pureté, pureté ! L'homme endormi proclamait la pureté du rêve. La paisible nuit, sous son règne lunaire, prenait possession des cadavres. La mort avait franchi le pont des torses pétrifiés, flottants sur le fleuve de sang. La lune dessinait un froid sourire sur le sombre visage de la Parque qui s'agenouilla et but tout le fleuve, puis s'en alla, enivrée de sang et de lune. L'homme - seul survivant - la suivit et l'assassina en ouvrant les yeux.
OK.
Vous voulez un autre texte ?
oui!merci :)
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