Creo que tú sí me vas a dar calor. ¿Se estaba burlando de mí? ¿Les decía esa clase de cosas a todos los muchachos?... Cerré fuertemente los ojos, avancé dos trancos y, estremecido de pies a cabeza, caí en sus brazos aplastando mi cara entre sus pechos. Eran unos pechos suaves, redondos, sensitivos, que olían a jabón y a talco para niños. Ignoro si le di calor o no, ni si realmente le proporcioné placer, o si, en algún momento, me cuidé, mientras la abrazaba, de fundir mi boca con la suya.
Traduction temporaire :
Je crois que toi, oui, tu vas me réchauffer. Se moquait-elle de moi ? Est-ce qu'elle disait ce genre de choses à tous les garçons ?… Je fermai fort les yeux, avançai de deux pas et, tremblant des pieds à la tête, je tombai dans ses bras en écrasant ma tête contre ses seins. Ils étaient doux, ronds, sensibles, sentaient le savon et le talc pour bébé. J'ignore si je parvins à la réchauffer, si je lui procurai vraiment du plaisir, ou si, à un certain moment, je pris soin de fondre ma bouche avec la sienne pendant que je l'enlaçais.
Je crois que toi, oui, tu vas me réchauffer. Se moquait-elle de moi ? Est-ce qu'elle disait ce genre de choses à tous les garçons ?… Je fermai fort les yeux, avançai de deux pas et, tremblant des pieds à la tête, je tombai dans ses bras en écrasant ma tête contre ses seins. Ils étaient doux, ronds, sensibles, sentaient le savon et le talc pour bébé. J'ignore si je parvins à la réchauffer, si je lui procurai vraiment du plaisir, ou si, à un certain moment, je pris soin de fondre ma bouche avec la sienne pendant que je l'enlaçais.
4 commentaires:
Je crois bien que toi, tu vas me réchauffer.
Se moquait-elle de moi ? Est-ce qu'elle disait ce genre de choses à tous les garçons ?… Je fermai vigoureusement les yeux, avançai de deux pas et, tremblant des pieds à la tête, je tombai dans ses bras en écrasant ma tête contre ses seins. Ils étaient doux, ronds, sensibles, sentaient le savon et le talc pour bébé. J'ignore si je parvins à la réchauffer, si je lui procurai vraiment du plaisir, ou si, à un certain moment, je pris soin de fondre ma bouche avec la sienne pendant que je l'enlaçais.
Je crois bien [ne le fais pas porter là-dessus…] que toi, [« oui » .] tu vas me réchauffer.
Se moquait-elle de moi ? Est-ce qu'elle disait ce genre de choses à tous les garçons ?… Je fermai vigoureusement [« fort » ?] les yeux, avançai de deux pas et, tremblant des pieds à la tête, je tombai dans ses bras en écrasant ma tête contre ses seins. Ils étaient doux, ronds, sensibles, sentaient le savon et le talc pour bébé. J'ignore si je parvins à la réchauffer, si je lui procurai vraiment du plaisir, ou si, à un certain moment, je pris soin de fondre ma bouche avec la sienne pendant que je l'enlaçais.
Je crois que toi, oui, tu vas me réchauffer.
Se moquait-elle de moi ? Est-ce qu'elle disait ce genre de choses à tous les garçons ?… Je fermai fort les yeux, avançai de deux pas et, tremblant des pieds à la tête, je tombai dans ses bras en écrasant ma tête contre ses seins. Ils étaient doux, ronds, sensibles, sentaient le savon et le talc pour bébé. J'ignore si je parvins à la réchauffer, si je lui procurai vraiment du plaisir, ou si, à un certain moment, je pris soin de fondre ma bouche avec la sienne pendant que je l'enlaçais.
Je crois que toi, oui, tu vas me réchauffer.
Se moquait-elle de moi ? Est-ce qu'elle disait ce genre de choses à tous les garçons ?… Je fermai fort les yeux, avançai de deux pas et, tremblant des pieds à la tête, je tombai dans ses bras en écrasant ma tête contre ses seins. Ils étaient doux, ronds, sensibles, sentaient le savon et le talc pour bébé. J'ignore si je parvins à la réchauffer, si je lui procurai vraiment du plaisir, ou si, à un certain moment, je pris soin de fondre ma bouche avec la sienne pendant que je l'enlaçais.
OK.
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