Desde aquel entonces, hace ya centurias, el descensorista no desafía más a la gravedad y sigue el rumbo natural de las cosas. Pero, oh destino, siempre cruel, su despiadado descensor lo ha atrapado y ahora la caída es perpetua. No se detiene más, su puerta ya no se abre. El descensor baja y baja y el descensorista llora solo, atrapado entre rejas y botones y una palanca que no sirve para nada más que rascarse la espalda.
El final del descensorista es triste y solitario, pero sobre todo, incierto. Ya nadie sabe por qué subsuelo anda.
Traduction temporaire :
Depuis, il y a des siècles de cela, l’employé du descenseur ne défie plus la gravité et suit le cours naturel des choses. Mais, ô destin, toujours cruel, son impitoyable descenseur l’a pris au piège et, à présent, la chute est perpétuelle. Il ne s’arrête plus, sa porte ne s’ouvre pas. Le descenseur descend, descend, et l’employé pleure, tout seul, piégé entre des grilles, des boutons et un levier qui ne lui sert à rien d’autre qu’à se gratter le dos.
La fin du descendeur est triste et solitaire, mais surtout incertaine. Plus personne ne sait dans quel sous-sol il se trouve.
Depuis, il y a des siècles de cela, l’employé du descenseur ne défie plus la gravité et suit le cours naturel des choses. Mais, ô destin, toujours cruel, son impitoyable descenseur l’a pris au piège et, à présent, la chute est perpétuelle. Il ne s’arrête plus, sa porte ne s’ouvre pas. Le descenseur descend, descend, et l’employé pleure, tout seul, piégé entre des grilles, des boutons et un levier qui ne lui sert à rien d’autre qu’à se gratter le dos.
La fin du descendeur est triste et solitaire, mais surtout incertaine. Plus personne ne sait dans quel sous-sol il se trouve.
6 commentaires:
Depuis lors, et cela remonte à des siècles, l’employé du descenseur ne défie plus la gravité et suit le cours naturel des choses. Mais, ô destin, toujours cruel, son impitoyable descenseur l’a pris au piège et, à présent, la chute est perpétuelle. Il ne s’arrête plus, sa porte ne s’ouvre pas. Le descenseur descend, descend, et l’employé pleure, tout seul, piégé entre des grilles, des boutons et un levier qui ne lui sert à rien d’autre qu’à se gratter le dos.
La fin du descendeur est triste et solitaire, mais surtout incertaine. Plus personne ne sait dans quel sous-sol il se trouve.
Depuis lors [nécessaire ?], et cela remonte à des siècles [tu ne peux pas faire un poil plus synthétique ?], l’employé du descenseur ne défie plus la gravité et suit le cours naturel des choses. Mais, ô destin, toujours cruel, son impitoyable descenseur l’a pris au piège et, à présent, la chute est perpétuelle. Il ne s’arrête plus, sa porte ne s’ouvre pas. Le descenseur descend, descend, et l’employé pleure, tout seul, piégé entre des grilles, des boutons et un levier qui ne lui sert à rien d’autre qu’à se gratter le dos.
La fin du descendeur est triste et solitaire, mais surtout incertaine. Plus personne ne sait dans quel sous-sol il se trouve.
Depuis, il y a de cela des siècles, l’employé du descenseur ne défie plus la gravité et suit le cours naturel des choses. Mais, ô destin, toujours cruel, son impitoyable descenseur l’a pris au piège et, à présent, la chute est perpétuelle. Il ne s’arrête plus, sa porte ne s’ouvre pas. Le descenseur descend, descend, et l’employé pleure, tout seul, piégé entre des grilles, des boutons et un levier qui ne lui sert à rien d’autre qu’à se gratter le dos.
La fin du descendeur est triste et solitaire, mais surtout incertaine. Plus personne ne sait dans quel sous-sol il se trouve.
Depuis, il y a de cela des siècles [ou « il y a des siècles de cela » ? Comme tu préfères], l’employé du descenseur ne défie plus la gravité et suit le cours naturel des choses. Mais, ô destin, toujours cruel, son impitoyable descenseur l’a pris au piège et, à présent, la chute est perpétuelle. Il ne s’arrête plus, sa porte ne s’ouvre pas. Le descenseur descend, descend, et l’employé pleure, tout seul, piégé entre des grilles, des boutons et un levier qui ne lui sert à rien d’autre qu’à se gratter le dos.
La fin du descendeur est triste et solitaire, mais surtout incertaine. Plus personne ne sait dans quel sous-sol il se trouve.
Depuis, il y a des siècles de cela, l’employé du descenseur ne défie plus la gravité et suit le cours naturel des choses. Mais, ô destin, toujours cruel, son impitoyable descenseur l’a pris au piège et, à présent, la chute est perpétuelle. Il ne s’arrête plus, sa porte ne s’ouvre pas. Le descenseur descend, descend, et l’employé pleure, tout seul, piégé entre des grilles, des boutons et un levier qui ne lui sert à rien d’autre qu’à se gratter le dos.
La fin du descendeur est triste et solitaire, mais surtout incertaine. Plus personne ne sait dans quel sous-sol il se trouve.
Depuis, il y a des siècles de cela, l’employé du descenseur ne défie plus la gravité et suit le cours naturel des choses. Mais, ô destin, toujours cruel, son impitoyable descenseur l’a pris au piège et, à présent, la chute est perpétuelle. Il ne s’arrête plus, sa porte ne s’ouvre pas. Le descenseur descend, descend, et l’employé pleure, tout seul, piégé entre des grilles, des boutons et un levier qui ne lui sert à rien d’autre qu’à se gratter le dos.
La fin du descendeur est triste et solitaire, mais surtout incertaine. Plus personne ne sait dans quel sous-sol il se trouve.
OK.
Tu relis et tu m'envoies l'ensemble, stp.
Je te mets un autre texte de cet auteur.
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