mardi 5 août 2014

Projet Hélène 2 – phrases 91-93

Quise decirle que tal vez no se hubiera vuelto ciego de no haber trabajado con mi padre, pero evité echarle a perder la imagen que tenía de él solo por hacer alarde de un estúpido ejercicio de retórica. Ya no tendría más imágenes nunca, después de todo, y quise respetar eso. Además, era cierto que mi padre lo había ayudado más que ninguna otra persona, tal vez mejor que nadie, y que eso ciertamente tenía valor para alguien que no tenía nada, salvo agradecimiento.

Traduction temporaire :
Je voulus lui dire qu’il ne serait peut-être pas devenu aveugle s’il n’avait pas travaillé avec mon père, mais j’évitai de ternir l’image qu’il en avait juste pour faire valoir un stupide exercice de rhétorique. Après tout, il n’aurait plus jamais aucune autre image de lui, ce que je voulus respecter. De plus, il était vrai que mon père l’avait aidé plus qu’aucune autre personne, peut-être mieux que quiconque, et que ça avait certainement plus de valeur pour quelqu’un qui n’avait rien, si ce n’est de la gratitude.

4 commentaires:

Hélène a dit…

Je voulus lui dire qu’il ne serait peut-être pas devenu aveugle s’il n’avait pas travaillé avec mon père, mais j’évitai de saper l’image qu’il en avait juste pour faire montre d’un stupide exercice de rhétorique. Après tout, il n’aurait plus jamais aucune autre image de lui, ce que je voulus respecter. De plus, c’était vrai que mon père l’avait aidé plus qu’aucune autre personne, peut-être mieux que quiconque, et que ça avait certainement plus de valeur pour quelqu’un qui n’avait rien, si ce n’est de la gratitude.

Tradabordo a dit…

Je voulus lui dire qu’il ne serait peut-être pas devenu aveugle s’il n’avait pas travaillé avec mon père, mais j’évitai de saper [« ternir »] l’image qu’il en avait juste pour faire montre [mal dit ici] d’un stupide exercice de rhétorique. Après tout, il n’aurait plus jamais aucune autre image de lui, ce que je voulus respecter. De plus, c’[économise les « c'est »] était vrai que mon père l’avait aidé plus qu’aucune autre personne, peut-être mieux que quiconque, et que ça avait certainement plus de valeur pour quelqu’un qui n’avait rien, si ce n’est de la gratitude.

Hélène a dit…

Je voulus lui dire qu’il ne serait peut-être pas devenu aveugle s’il n’avait pas travaillé avec mon père, mais j’évitai de ternir l’image qu’il en avait juste pour faire valoir un stupide exercice de rhétorique. Après tout, il n’aurait plus jamais aucune autre image de lui, ce que je voulus respecter. De plus, il était vrai que mon père l’avait aidé plus qu’aucune autre personne, peut-être mieux que quiconque, et que ça avait certainement plus de valeur pour quelqu’un qui n’avait rien, si ce n’est de la gratitude.

Tradabordo a dit…

Je voulus lui dire qu’il ne serait peut-être pas devenu aveugle s’il n’avait pas travaillé avec mon père, mais j’évitai de ternir l’image qu’il en avait juste pour faire valoir un stupide exercice de rhétorique. Après tout, il n’aurait plus jamais aucune autre image de lui, ce que je voulus respecter. De plus, il était vrai que mon père l’avait aidé plus qu’aucune autre personne, peut-être mieux que quiconque, et que ça avait certainement plus de valeur pour quelqu’un qui n’avait rien, si ce n’est de la gratitude.

OK.