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Ese tarde de otoño emprendió el viaje de regreso. Echada sobre la cama, Natashenka sólo atinó a abrazarlo. “Llévate esto por favor”. Aliaksei miró la vieja foto un breve instante y la guardó en su bolsillo. Ese día, Aliaksei Paulikovich tomó el autobús más cercano a uno de los puntos de chequeo a 85 kilómetros de Pripyat. “¿Adónde vas viejo?” Aliaksei los miró pero no respondió. “¿Adónde vas viejo? ¿Acaso no sabes que esta zona está contaminada, que está prohibido el paso?”. Aliaksei no se inmutó. “Déjalo. Si quiere morir, será su problema”. “Pobre viejo”. “Ten cuidado con los monstruos”.
Traduction temporaire :
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En cette après-midi d’automne, il entreprit le voyage de retour. Étendue sur le lit, Natashenka parvint seulement à l’étreindre. « Prends ça, s’il te plaît ». Aliaksei examina la vieille photo un bref instant et la rangea dans sa poche. Ce jour-là, Aliaksei Paulikovich prit le bus le plus proche d’un des points de contrôle, à 85 kilomètres de Pripyat. « Hé, le vieux, où vas-tu ? » Aliaksei les regarda, sans répondre. « Hé, le vieux, où vas-tu ? Tu n’es pas au courant que cette zone est contaminée et que le passage est interdit ? » Aliaksei demeura impassible. « Laisse-le. S’il veut mourir, c’est son problème ». « Pauvre vieux ». « Prends garde aux monstres ».
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En cette après-midi d’automne, il entreprit le voyage de retour. Étendue sur le lit, Natashenka parvint seulement à l’étreindre. « Prends ça, s’il te plaît ». Aliaksei examina la vieille photo un bref instant et la rangea dans sa poche. Ce jour-là, Aliaksei Paulikovich prit le bus le plus proche d’un des points de contrôle, à 85 kilomètres de Pripyat. « Hé, le vieux, où vas-tu ? » Aliaksei les regarda, sans répondre. « Hé, le vieux, où vas-tu ? Tu n’es pas au courant que cette zone est contaminée et que le passage est interdit ? » Aliaksei demeura impassible. « Laisse-le. S’il veut mourir, c’est son problème ». « Pauvre vieux ». « Prends garde aux monstres ».
4 commentaires:
En cette après-midi d’automne, il entreprit le voyage de retour. Étendue sur le lit, Natashenka ne parvint qu’à l’embrasser. « Prends ça, s’il te plaît ». Aliaksei examina la vieille photo un bref instant et la rangea dans sa poche. Ce jour-là, Aliaksei Paulikovich prit le bus le plus proche d’un des points de contrôle, à 85 kilomètres de Pripyat. « Où vas-tu, le vieux ? » Aliaksei les regarda, sans répondre. « Où vas-tu, le vieux ? Tu n’es pas au courant que cette zone est contaminée et que le passage est interdit ? » Aliaksei demeura imperturbable. « Laisse-le. S’il veut mourir, c’est son problème ». « Pauvre vieux ». « Fais attention aux monstres ».
Le 3 ?
En cette après-midi d’automne, il entreprit le voyage de retour. Étendue sur le lit, Natashenka ne parvint qu’à l’embrasser [FS ?]. « Prends ça, s’il te plaît ». Aliaksei examina la vieille photo un bref instant et la rangea dans sa poche. Ce jour-là, Aliaksei Paulikovich prit le bus le plus proche d’un des points de contrôle, à 85 kilomètres de Pripyat. « Où vas-tu, le vieux [« Hé, le vieux, où vas-tu » ?] ? » Aliaksei les regarda, sans répondre. « Où vas-tu, le vieux [idem] ? Tu n’es pas au courant que cette zone est contaminée et que le passage est interdit ? » Aliaksei demeura imperturbable [ou « impassible » ?]. « Laisse-le. S’il veut mourir, c’est son problème ». « Pauvre vieux ». « Fais attention [« Prends garde » ? Comme tu veux] aux monstres ».
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En cette après-midi d’automne, il entreprit le voyage de retour. Étendue sur le lit, Natashenka parvint seulement à l’étreindre. « Prends ça, s’il te plaît ». Aliaksei examina la vieille photo un bref instant et la rangea dans sa poche. Ce jour-là, Aliaksei Paulikovich prit le bus le plus proche d’un des points de contrôle, à 85 kilomètres de Pripyat. « Hé, le vieux, où vas-tu ? » Aliaksei les regarda, sans répondre. « Hé, le vieux, où vas-tu ? Tu n’es pas au courant que cette zone est contaminée et que le passage est interdit ? » Aliaksei demeura impassible. « Laisse-le. S’il veut mourir, c’est son problème ». « Pauvre vieux ». « Prends garde aux monstres ».
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En cette après-midi d’automne, il entreprit le voyage de retour. Étendue sur le lit, Natashenka parvint seulement à l’étreindre. « Prends ça, s’il te plaît ». Aliaksei examina la vieille photo un bref instant et la rangea dans sa poche. Ce jour-là, Aliaksei Paulikovich prit le bus le plus proche d’un des points de contrôle, à 85 kilomètres de Pripyat. « Hé, le vieux, où vas-tu ? » Aliaksei les regarda, sans répondre. « Hé, le vieux, où vas-tu ? Tu n’es pas au courant que cette zone est contaminée et que le passage est interdit ? » Aliaksei demeura impassible. « Laisse-le. S’il veut mourir, c’est son problème ». « Pauvre vieux ». « Prends garde aux monstres ».
OK.
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