mardi 12 août 2014

Projet Hélène 3 – phrases 50-55

Había puesto comida y agua en su mochila para pocos días, tres, tal vez cuatro, hasta que pudiera encontrar algún lugar donde alimentarse.  “A los setenta años no importa”, se dijo, “siempre hay un pueblo cercano”. Aliaksei miró a lo lejos la maleza de la zona, desierta del rostro de los hombres. Kilómetros más, kilómetros menos, pensó. Cuando recogió algunos pedazos de madera, no pudo distinguir el olor húmedo de los árboles. Los guardó en su mochila y siguió caminando.

Traduction temporaire :
Dans son sac, il avait mis de la nourriture et de l’eau pour quelques jours, trois, peut-être quatre, jusqu’à ce qu’il puisse trouver un endroit où s’alimenter. « À soixante-dix ans, ce n’est pas important », se dit-il, « il y a toujours un village à proximité ». Aliaksei regarda au loin, vers les broussailles de la zone contaminée, vide d’un quelconque visage humain. Un kilomètre de plus ou un kilomètre de moins, pensa-t-il. Quand il ramassa quelques bouts de bois, il ne parvint pas à reconnaître l’odeur humide des arbres. Il les glissa dans son sac et poursuivit son chemin.

4 commentaires:

Hélène a dit…

Il avait mis dans son sac de la nourriture et de l’eau pour quelques jours, trois, peut-être quatre, jusqu’à ce qu’il puisse trouver un endroit où s’alimenter. « À soixante ans, ce n’est pas important », se dit-il, « il y a toujours un village à proximité ». Aliaksei regarda au loin les broussailles de la zone, vide d’un quelconque visage humain. Un kilomètre de plus ou un kilomètre de moins, pensa-t-il. Quand il ramassa quelques bouts de bois, il ne parvint pas à reconnaître l’odeur humide des arbres. Il les rangea dans son sac et poursuivit son chemin.

Tradabordo a dit…

Il avait mis dans son sac [ou au début de la phrase ? Essaie] de la nourriture et de l’eau pour quelques jours, trois, peut-être quatre, jusqu’à ce qu’il puisse trouver un endroit où s’alimenter. « À soixante [« seTenta »] ans, ce n’est pas important », se dit-il, « il y a toujours un village à proximité ». Aliaksei regarda au loin [« , vers » ?] les broussailles de la zone [bof], vide d’un quelconque visage humain. Un kilomètre de plus ou un kilomètre de moins, pensa-t-il. Quand il ramassa quelques bouts de bois, il ne parvint pas à reconnaître l’odeur humide des arbres. Il les rangea [« glissa » ?] dans son sac et poursuivit son chemin.

Hélène a dit…

Dans son sac, il avait mis de la nourriture et de l’eau pour quelques jours, trois, peut-être quatre, jusqu’à ce qu’il puisse trouver un endroit où s’alimenter. « À soixante-dix ans, ce n’est pas important », se dit-il, « il y a toujours un village à proximité ». Aliaksei regarda au loin, vers les broussailles de la zone contaminée [Quelques lignes plus haut, apparaît le terme "zona contaminada" ; je crois que c'est un rappel], vide d’un quelconque visage humain. Un kilomètre de plus ou un kilomètre de moins, pensa-t-il. Quand il ramassa quelques bouts de bois, il ne parvint pas à reconnaître l’odeur humide des arbres. Il les glissa dans son sac et poursuivit son chemin.

Tradabordo a dit…

Dans son sac, il avait mis de la nourriture et de l’eau pour quelques jours, trois, peut-être quatre, jusqu’à ce qu’il puisse trouver un endroit où s’alimenter. « À soixante-dix ans, ce n’est pas important », se dit-il, « il y a toujours un village à proximité ». Aliaksei regarda au loin, vers les broussailles de la zone contaminée, vide d’un quelconque visage humain. Un kilomètre de plus ou un kilomètre de moins, pensa-t-il. Quand il ramassa quelques bouts de bois, il ne parvint pas à reconnaître l’odeur humide des arbres. Il les glissa dans son sac et poursuivit son chemin.

OK.