Esperó a que pasaran las lluvias y en marzo volvió a respirar. Todo continuaba como antes. Las mujeres seguían persiguiéndolo en los vahos aromados y lo paladeaban gota a gota en el regusto de las cosas que saben a gloria. Las manos lo acariciaban en delirio hilarante.
Traduction temporaire :
Il attendit que les pluies cessent et, en mars, il respira de nouveau. Tout demeurait comme avant. Les femmes le pourchassaient toujours dans les vapeurs aromatisées et le savouraient goutte après goutte, avec l’arrière-goût des choses à la saveur divine. Les mains le caressaient dans un délire hilarant.
Il attendit que les pluies cessent et, en mars, il respira de nouveau. Tout demeurait comme avant. Les femmes le pourchassaient toujours dans les vapeurs aromatisées et le savouraient goutte après goutte, avec l’arrière-goût des choses à la saveur divine. Les mains le caressaient dans un délire hilarant.
6 commentaires:
Il attendit que les pluies cessent et, en mars, il respira de nouveau. Tout continuait comme avant. Les femmes le recherchaient toujours dans les vapeurs aromatisées et le savouraient goutte après goutte avec l’arrière-goût des choses ayant la saveur de la gloire. Les mains le caressaient dans un délire hilarant.
Est-ce qu'on ne mettrait pas quelque chose d'un peu plus fort pour "perseguir" ? Sinon, ok (j'ai aussi ajouté une virgule):
Il attendit que les pluies cessent et, en mars, il respira de nouveau. Tout continuait comme avant. Les femmes le pourchassaient toujours dans les vapeurs aromatisées et le savouraient goutte après goutte, avec l’arrière-goût des choses ayant la saveur de la gloire. Les mains le caressaient dans un délire hilarant.
Il attendit que les pluies cessent et, en mars, il respira de nouveau. Tout continuait [ou « demeurait » ? Comme tu veux] comme avant. Les femmes le pourchassaient toujours dans les vapeurs aromatisées et le savouraient goutte après goutte, avec l’arrière-goût des choses ayant la saveur de la gloire [c'est une expression]. Les mains le caressaient dans un délire hilarant.
Il attendit que les pluies cessent et, en mars, il respira de nouveau. Tout demeurait comme avant. Les femmes le pourchassaient toujours dans les vapeurs aromatisées et le savouraient goutte après goutte, avec l’arrière-goût des choses à la saveur divine. Les mains le caressaient dans un délire hilarant.
Il attendit que les pluies cessent et, en mars, il respira de nouveau. Tout demeurait comme avant. Les femmes le pourchassaient toujours dans les vapeurs aromatisées et le savouraient goutte après goutte, avec l’arrière-goût des choses à la saveur divine. Les mains le caressaient dans un délire hilarant.
OK.
Justine ?
Manon, en attendant, je te mets la suite.
Il attendit que les pluies cessent et, en mars, il respira de nouveau. Tout demeurait comme avant. Les femmes le pourchassaient toujours dans les vapeurs aromatisées et le savouraient goutte après goutte, avec l’arrière-goût des choses à la saveur divine. Les mains le caressaient dans un délire hilarant.
OK.
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