vendredi 12 septembre 2014

Projet Hélène 3 – phrases 97-106

Un tumulto de gente alrededor de la plaza. “Saquen a los niños del parque de diversiones”, gritó un oficial del Partido. Helicópteros y camiones empezaron a llegar a Pripyat. Nadie recogió ninguna pertenencia. Los soldados no lo hubieran permitido. Tal vez alguien cogió algunas fotos, un peine o alguna carta. Ese día, dirigiéndose a Kiev, en lo único que se podía pensar era en lo que se dejaba atrás. Ropa, fotos, juguetes, los animales, comida, amigos. Sin nada de eso, sólo con lo que llevaban puestos habían partido a otra ciudad sin saber por qué. Natashenka miró fijamente a Zhulka pero ninguna se dijo nada. En la oscuridad, la lluvia era la única que se dejaba escuchar.

Traduction temporaire :
Aux alentours de la place, on percevait le tumulte des gens. “Sortez les enfants de l’aire de jeux”, cria un officier du Parti. Des hélicoptères et des camions commencèrent à arriver à Pripyat. Personne n'emporta d’affaires. Les soldats ne l’auraient pas autorisé. Peut-être quelqu’un avait-il pris quelques photos, un peigne ou une lettre. Ce jour-là, sur la route de Kiev, la seule chose à laquelle ils pensaient, c’était ce qu’ils laissaient derrière eux : vêtements, photos, jouets, animaux, nourriture, amis. Avec ce qu’ils avaient sur le dos pour seul bagage, et sans savoir pourquoi, ils étaient partis vers une autre ville. Natashenka regarda fixement Zhulka, mais aucune n’adressa la parole à l’autre. Dans l’obscurité, on n'entendait que la pluie.

4 commentaires:

Hélène a dit…

Aux alentours de la place, on entendait le tumulte des gens. “Sortez les enfants de l’aire de jeux”, s’écria un officier du Parti. Des hélicoptères et des camions commencèrent à arriver à Pripyat. Personne ne prit d’affaires. Les soldats ne l’auraient pas permis. Peut-être quelqu’un avait-il emmené quelques photos, un peigne ou une lettre. Ce jour-là, sur la route de Kiev, la seule chose à laquelle ils pensaient, c’était ce qu’ils laissaient derrière eux. Vêtements, photos, jouets, animaux, nourriture, amis. Avec ce qu’ils avaient sur le dos pour seul bagage, et sans savoir pourquoi, ils étaient partis vers une autre ville. Natashenka regarda fixement Zhulka, mais aucune n’adressa la parole à l’autre. Dans l’obscurité, seule la pluie se faisait entendre.

Tradabordo a dit…

Aux alentours de la place, on entendait le tumulte des gens. “Sortez les enfants de l’aire de jeux”, s’écria [mal dit] un officier du Parti. Des hélicoptères et des camions commencèrent à arriver à Pripyat. Personne ne prit [« emporter » ?] d’affaires. Les soldats ne l’auraient pas permis [« autorisé ?»]. Peut-être quelqu’un avait-il emmené [« pris » ici] quelques photos, un peigne ou une lettre. Ce jour-là, sur la route de Kiev, la seule chose à laquelle ils pensaient, c’était ce qu’ils laissaient derrière eux. [deux points] Vêtements, photos, jouets, animaux, nourriture, amis. Avec ce qu’ils avaient sur le dos pour seul bagage, et sans savoir pourquoi, ils étaient partis vers une autre ville. Natashenka regarda fixement Zhulka, mais aucune n’adressa la parole à l’autre. Dans l’obscurité, seule la pluie se faisait entendre [peu naturel].

Hélène a dit…

Aux alentours de la place, on percevait le tumulte des gens. “Sortez les enfants de l’aire de jeux”, cria un officier du Parti. Des hélicoptères et des camions commencèrent à arriver à Pripyat. Personne n'emporta d’affaires. Les soldats ne l’auraient pas autorisé. Peut-être quelqu’un avait-il pris quelques photos, un peigne ou une lettre. Ce jour-là, sur la route de Kiev, la seule chose à laquelle ils pensaient, c’était ce qu’ils laissaient derrière eux : vêtements, photos, jouets, animaux, nourriture, amis. Avec ce qu’ils avaient sur le dos pour seul bagage, et sans savoir pourquoi, ils étaient partis vers une autre ville. Natashenka regarda fixement Zhulka, mais aucune n’adressa la parole à l’autre. Dans l’obscurité, on n'entendait que la pluie.

Tradabordo a dit…

Aux alentours de la place, on percevait le tumulte des gens. “Sortez les enfants de l’aire de jeux”, cria un officier du Parti. Des hélicoptères et des camions commencèrent à arriver à Pripyat. Personne n'emporta d’affaires. Les soldats ne l’auraient pas autorisé. Peut-être quelqu’un avait-il pris quelques photos, un peigne ou une lettre. Ce jour-là, sur la route de Kiev, la seule chose à laquelle ils pensaient, c’était ce qu’ils laissaient derrière eux : vêtements, photos, jouets, animaux, nourriture, amis. Avec ce qu’ils avaient sur le dos pour seul bagage, et sans savoir pourquoi, ils étaient partis vers une autre ville. Natashenka regarda fixement Zhulka, mais aucune n’adressa la parole à l’autre. Dans l’obscurité, on n'entendait que la pluie.

OK.