Por enésima vez, García Márquez volvió a quedarse sin palabras ¿Cómo es que "sus obras" no eran "sus obras" sino "regalos"? ¿Acaso él no se había matado por crearlas? Además, ¿de quién demonios podían ser "regalos"?
—Espere un momento —interrumpió el llamado "Gabo" su silencio—. ¿Por qué usted llama "regalos" a mis libros? ¿Quién me los regaló?
—Usted alguna vez afirmó haber leído a Borges ¿No es verdad?
—Pues sí.
—¿Recuerda que Borges alguna vez escribió que era accesorio firmar o no firmar un libro? ¿Que a la hora de la verdad cada escritor sólo era un medio del cual se valía algún ignoto "Espíritu o Conciencia Universal", para escribir libros?
—Sí, recuerdo algo así.
Traduction temporaire :
Pour la énième fois, García Márquez ne put sortir un mot. Comment ça, « ses œuvres » n'étaient pas « ses œuvres », mais « des cadeaux » ? Et lui, est-ce qu'il ne s'était pas tué à la tâche pour les créer ? Et bon sang, dans ce cas, de qui pouvaient-ils venir ?
— Attendez un instant, dit « Gabo », interrompant son propre silence. Pourquoi appelez-vous mes livres des « cadeaux » ? Qui me les aurait offerts ?
— Un jour, vous avez affirmé avoir lu Borges, n'est-ce pas ?
— Certes oui.
— Vous vous rappelez que Borges a écrit qu'il était accessoire de signer ou non un livre ? Qu'à l'heure de vérité, tout écrivain n'était qu'un moyen dont se servait un quelconque « Esprit ou Conscience Universelle » inconnu pour écrire des livres ?
— Oui, je me souviens de quelque chose comme ça.
— Attendez un instant, dit « Gabo », interrompant son propre silence. Pourquoi appelez-vous mes livres des « cadeaux » ? Qui me les aurait offerts ?
— Un jour, vous avez affirmé avoir lu Borges, n'est-ce pas ?
— Certes oui.
— Vous vous rappelez que Borges a écrit qu'il était accessoire de signer ou non un livre ? Qu'à l'heure de vérité, tout écrivain n'était qu'un moyen dont se servait un quelconque « Esprit ou Conscience Universelle » inconnu pour écrire des livres ?
— Oui, je me souviens de quelque chose comme ça.
10 commentaires:
Pour la énième fois, García Márquez resta scotché. Comment ça, « ses œuvres » n'étaient pas « ses œuvres », mais « des cadeaux » ? Et par hasard, il ne s'était pas tué à les créer ? Et puis, de qui, bon sang, pouvaient venir ces « cadeaux » ?
— Attendez un instant, dit « Gabo », interrompant son propre silence. Pourquoi appelez-vous « cadeaux » mes livres ? Qui me les a offerts ?
— Un jour, vous avez affirmé avoir lu Borges, n'est-ce pas ?
— Certes oui.
— Vous vous rappelez que Borges, une fois, a écrit qu'il était accessoire de signer ou non un livre ? Qu'à l'heure de vérité, tout écrivain n'était qu'un moyen dont se servait un quelconque « Esprit ou Conscience Universelle » inconnu pour écrire des livres ?
— Oui, je me souviens de quelque chose comme ça.
Pour la énième fois, García Márquez resta scotché [non, trol familier par rapport à la V.O., assez neurre]. Comment ça, « ses œuvres » n'étaient pas « ses œuvres », mais « des cadeaux » ? Et par hasard [pas naturel ainsi formulé], il ne s'était pas tué à [naturel ?] les créer ? Et puis, de qui, bon sang [syntaxe ou ponctuation à revoir], pouvaient venir ces « cadeaux » ?
— Attendez un instant, dit « Gabo », interrompant son propre silence. Pourquoi appelez-vous « cadeaux » mes livres [inverse] ? Qui me les a [« aurait » ?] offerts ?
— Un jour, vous avez affirmé avoir lu Borges, n'est-ce pas ?
— Certes oui.
— Vous vous rappelez que Borges, une fois, a écrit [idem : ponctuation / syntaxe] qu'il était accessoire de signer ou non un livre ? Qu'à l'heure de vérité, tout écrivain n'était qu'un moyen dont se servait un quelconque « Esprit ou Conscience Universelle » inconnu pour écrire des livres ?
— Oui, je me souviens de quelque chose comme ça.
Pour la énième fois, García Márquez ne put sortir un mot. Comment ça, « ses œuvres » n'étaient pas « ses œuvres », mais « des cadeaux » ? Et lui, il ne s'était pas tué à la tâche pour les créer ? Et quand même, bon sang, de qui pouvaient venir ces « cadeaux » ?
— Attendez un instant, dit « Gabo », interrompant son propre silence. Pourquoi appelez-vous mes livres des « cadeaux » ? Qui me les aurait offerts ?
— Un jour, vous avez affirmé avoir lu Borges, n'est-ce pas ?
— Certes oui.
— Vous vous rappelez qu'une fois, Borges a écrit qu'il était accessoire de signer ou non un livre ? Qu'à l'heure de vérité, tout écrivain n'était qu'un moyen dont se servait un quelconque « Esprit ou Conscience Universelle » inconnu pour écrire des livres ?
— Oui, je me souviens de quelque chose comme ça.
Oubli ? ;)
?
Pour la énième fois, García Márquez ne put sortir un mot. Comment ça, « ses œuvres » n'étaient pas « ses œuvres », mais « des cadeaux » ? Et lui, il [« Est-ce qu'il » ?] ne s'était pas tué à la tâche pour les créer ? Et quand même [?], bon sang, de qui pouvaient venir ces « cadeaux » ?
— Attendez un instant, dit « Gabo », interrompant son propre silence. Pourquoi appelez-vous mes livres des « cadeaux » ? Qui me les aurait offerts ?
— Un jour, vous avez affirmé avoir lu Borges, n'est-ce pas ?
— Certes oui.
— Vous vous rappelez qu'une fois, Borges a écrit qu'il était accessoire de signer ou non un livre ? Qu'à l'heure de vérité, tout écrivain n'était qu'un moyen dont se servait un quelconque « Esprit ou Conscience Universelle » inconnu pour écrire des livres ?
— Oui, je me souviens de quelque chose comme ça.
Pour la énième fois, García Márquez ne put sortir un mot. Comment ça, « ses œuvres » n'étaient pas « ses œuvres », mais « des cadeaux » ? Et lui, est-ce qu'il ne s'était pas tué à la tâche pour les créer ? Et bon sang, de qui pouvaient venir ces « cadeaux » ?
— Attendez un instant, dit « Gabo », interrompant son propre silence. Pourquoi appelez-vous mes livres des « cadeaux » ? Qui me les aurait offerts ?
— Un jour, vous avez affirmé avoir lu Borges, n'est-ce pas ?
— Certes oui.
— Vous vous rappelez qu'une fois, Borges a écrit qu'il était accessoire de signer ou non un livre ? Qu'à l'heure de vérité, tout écrivain n'était qu'un moyen dont se servait un quelconque « Esprit ou Conscience Universelle » inconnu pour écrire des livres ?
— Oui, je me souviens de quelque chose comme ça.
Pour la énième fois, García Márquez ne put sortir un mot. Comment ça, « ses œuvres » n'étaient pas « ses œuvres », mais « des cadeaux » ? Et lui, est-ce qu'il ne s'était pas tué à la tâche pour les créer ? Et bon sang, [cheville : « dans ce cas »] de qui pouvaient venir ces « cadeaux » [nécessaire de répéter le mot ?] ?
— Attendez un instant, dit « Gabo », interrompant son propre silence. Pourquoi appelez-vous mes livres des « cadeaux » ? Qui me les aurait offerts ?
— Un jour, vous avez affirmé avoir lu Borges, n'est-ce pas ?
— Certes oui.
— Vous vous rappelez qu'une fois [supprime ; c'est lourd], Borges a écrit qu'il était accessoire de signer ou non un livre ? Qu'à l'heure de vérité, tout écrivain n'était qu'un moyen dont se servait un quelconque « Esprit ou Conscience Universelle » inconnu pour écrire des livres ?
— Oui, je me souviens de quelque chose comme ça.
Pour la énième fois, García Márquez ne put sortir un mot. Comment ça, « ses œuvres » n'étaient pas « ses œuvres », mais « des cadeaux » ? Et lui, est-ce qu'il ne s'était pas tué à la tâche pour les créer ? Et bon sang, dans ce cas, de qui pouvaient-ils venir ?
— Attendez un instant, dit « Gabo », interrompant son propre silence. Pourquoi appelez-vous mes livres des « cadeaux » ? Qui me les aurait offerts ?
— Un jour, vous avez affirmé avoir lu Borges, n'est-ce pas ?
— Certes oui.
— Vous vous rappelez que Borges a écrit qu'il était accessoire de signer ou non un livre ? Qu'à l'heure de vérité, tout écrivain n'était qu'un moyen dont se servait un quelconque « Esprit ou Conscience Universelle » inconnu pour écrire des livres ?
— Oui, je me souviens de quelque chose comme ça.
Pour la énième fois, García Márquez ne put sortir un mot. Comment ça, « ses œuvres » n'étaient pas « ses œuvres », mais « des cadeaux » ? Et lui, est-ce qu'il ne s'était pas tué à la tâche pour les créer ? Et bon sang, dans ce cas, de qui pouvaient-ils venir ?
— Attendez un instant, dit « Gabo », interrompant son propre silence. Pourquoi appelez-vous mes livres des « cadeaux » ? Qui me les aurait offerts ?
— Un jour, vous avez affirmé avoir lu Borges, n'est-ce pas ?
— Certes oui.
— Vous vous rappelez que Borges a écrit qu'il était accessoire de signer ou non un livre ? Qu'à l'heure de vérité, tout écrivain n'était qu'un moyen dont se servait un quelconque « Esprit ou Conscience Universelle » inconnu pour écrire des livres ?
— Oui, je me souviens de quelque chose comme ça.
OK.
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