Quién le hubiera dicho entonces que el río también estaba cerca. Un río mudo, pura postal. Desde la radio, la voz monocorde del juez desgrana una condena eterna. María hunde sus ojos vacíos en la inmensidad pequeña que se abisma. Levanta la copa y brinda. ¿Podrá dejar de temer?
Traduction temporaire :
Qui lui aurait dit, alors, que la rivière aussi était proche ? Une rivière muette, une pure carte postale. À la radio, la voix monocorde du juge énumère les chefs d’accusation d’une condamnation éternelle. María plonge ses yeux vides dans la petite immensité qui s’ouvre tel un abîme. Elle lève son verre et trinque. Finira-t-elle par ne plus avoir peur ?
Qui lui aurait dit, alors, que la rivière aussi était proche ? Une rivière muette, une pure carte postale. À la radio, la voix monocorde du juge énumère les chefs d’accusation d’une condamnation éternelle. María plonge ses yeux vides dans la petite immensité qui s’ouvre tel un abîme. Elle lève son verre et trinque. Finira-t-elle par ne plus avoir peur ?
9 commentaires:
Qui alors lui aurait dit que la rivière aussi était proche. Une rivière muette, une belle carte postale. De la radio, la voix monocorde du juge énumère les chefs d’accusation d’une condamnation éternelle. María plonge ses yeux vides dans la petite immensité qui se précipite dans un abyme. Elle lève son verre et trinque. Finira-t-elle par ne plus avoir peur ?
Maïté
Qui alors lui aurait dit que la rivière aussi était proche. Une rivière muette, une belle carte postale. De la radio, la voix monocorde du juge énumère les chefs d’accusation d’une condamnation éternelle. María plonge ses yeux vides dans la petite immensité qui se précipite dans un abyme. Elle lève son verre et trinque. Finira-t-elle par ne plus avoir peur ?
Maïté
Qui alors [pas sûre de sa place + ponctuation] lui aurait dit que la rivière aussi était proche. Une rivière muette, une belle [pas exactement comme cela que c'est dit en V.O.] carte postale. De [« À » ?] la radio, la voix monocorde du juge énumère les chefs d’accusation d’une condamnation éternelle. María plonge ses yeux vides dans la petite immensité qui se précipite dans un abyme [on ne peut pas être plus près de la V.O. ? + orthographe]. Elle lève son verre et trinque. Finira-t-elle par ne plus avoir peur ?
Qui alors lui aurait dit que la rivière aussi était proche ? Une rivière muette, une pure carte postale. À la radio, la voix monocorde du juge énumère les chefs d’accusation d’une condamnation éternelle. María plonge ses yeux vides dans la petite immensité qui s’ouvre tel un abîme. Elle lève son verre et trinque. Finira-t-elle par ne plus avoir peur ?
Maïté
Qui alors lui aurait dit que la rivière aussi était proche ?
Cf mon commentaire précédent pour cette phrase.
Une rivière muette, une pure carte postale. À la radio, la voix monocorde du juge énumère les chefs d’accusation d’une condamnation éternelle. María plonge ses yeux vides dans la petite immensité qui s’ouvre tel un abîme. Elle lève son verre et trinque. Finira-t-elle par ne plus avoir peur ?
Qui lui aurait dit alors que la rivière aussi était proche ? Une rivière muette, une pure carte postale. À la radio, la voix monocorde du juge énumère les chefs d’accusation d’une condamnation éternelle. María plonge ses yeux vides dans la petite immensité qui s’ouvre tel un abîme. Elle lève son verre et trinque. Finira-t-elle par ne plus avoir peur ?
Maïté
(j'avais vu le commentaire, mais je trouvais que c'était là qu'il était le mieux, à moins de changer encore plus?)
Tu peux le laisser, mais dans ce cas mets de la ponctuation, comme indiqué dans mon commentaire.
Qui lui aurait dit, alors, que la rivière aussi était proche ? Une rivière muette, une pure carte postale. À la radio, la voix monocorde du juge énumère les chefs d’accusation d’une condamnation éternelle. María plonge ses yeux vides dans la petite immensité qui s’ouvre tel un abîme. Elle lève son verre et trinque. Finira-t-elle par ne plus avoir peur ?
Maïté
Qui lui aurait dit, alors, que la rivière aussi était proche ? Une rivière muette, une pure carte postale. À la radio, la voix monocorde du juge énumère les chefs d’accusation d’une condamnation éternelle. María plonge ses yeux vides dans la petite immensité qui s’ouvre tel un abîme. Elle lève son verre et trinque. Finira-t-elle par ne plus avoir peur ?
OK.
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