Así descubrí que cuando uno camina es cuando menos lo interrumpe la gente. Y si a eso le añades un libro entre manos, pues prácticamente la gente te hace invisible. Y no sólo porque no te interrumpen (quizá sus conciencias les dictan esa conducta al recordar que ellos abandonaron la lectura por desidia, a temprana edad) sino porque literalmente no te ven. Me ha pasado que, entre línea y línea, he levantado la mirada y he estado a punto de estrellarme contra una persona.
Traduction temporaire :
J'ai ainsi découvert que c'est quand on marche que les gens nous interrompent le moins. Et si, en outre, on a un livre à la main, on est presque invisible à leurs yeux. Parce qu'ils ne nous interrompent pas (cette conduite leur est peut-être dictée par leur conscience, quand ils se rappellent avoir abandonné la lecture très tôt, par négligence), mais aussi parce qu'ils ne nous voient littéralement pas. Il m'est déjà arrivé de lever la tête entre deux lignes, et d'être à deux doigts de foncer dans quelqu'un.
J'ai ainsi découvert que c'est quand on marche que les gens nous interrompent le moins. Et si, en outre, on a un livre à la main, on est presque invisible à leurs yeux. Parce qu'ils ne nous interrompent pas (cette conduite leur est peut-être dictée par leur conscience, quand ils se rappellent avoir abandonné la lecture très tôt, par négligence), mais aussi parce qu'ils ne nous voient littéralement pas. Il m'est déjà arrivé de lever la tête entre deux lignes, et d'être à deux doigts de foncer dans quelqu'un.
12 commentaires:
J'ai ainsi découvert que c'est en marchant qu'on se fait le moins intercepté. Et si en plus, on a un livre entre les mains, on est presque invisible aux yeux des gens. Parce qu'ils ne nous interceptent pas (cette conduite leur est peut-être dictée par leur conscience quand ils se rappellent avoir abandonné la lecture très tôt, par négligence), mais aussi parce qu'ils ne nous voient littéralement pas. Il m'est déjà arrivé de lever la tête entre deux lignes, et de me trouver à deux doigts de m'écraser contre quelqu'un.
J'ai ainsi découvert que c'est en marchant qu'on se fait le moins intercepté [beaucoup de changements ; ça perd beaucoup de naturel]. Et si en plus [« en outre » ?], on a un livre entre les mains, on est presque invisible aux yeux des gens. Parce qu'ils ne nous interceptent [changement inutile…]
Reprends…
pas (cette conduite leur est peut-être dictée par leur conscience quand ils se rappellent avoir abandonné la lecture très tôt, par négligence), mais aussi parce qu'ils ne nous voient littéralement pas. Il m'est déjà arrivé de lever la tête entre deux lignes, et de me trouver à deux doigts de m'écraser contre quelqu'un.
J'ai ainsi découvert que c'est quand on marche que les gens nous interrompent le moins. Et si en outre, on a un livre entre les mains, on est presque invisible à leurs yeux. Parce qu'ils ne nous interrompent pas (cette conduite leur est peut-être dictée par leur conscience quand ils se rappellent avoir abandonné la lecture très tôt, par négligence), mais aussi parce qu'ils ne nous voient littéralement pas. Il m'est déjà arrivé de lever la tête entre deux lignes, et d'être à deux doigts de m'écraser contre quelqu'un.
J'ai ainsi découvert que c'est quand on marche que les gens nous interrompent le moins. Et si [virgule] en outre, on a un livre entre les mains [« à la main » ?], on est presque invisible à leurs yeux. Parce qu'ils ne nous interrompent pas (cette conduite leur est peut-être dictée par leur conscience quand ils se rappellent avoir abandonné la lecture très tôt, par négligence), mais aussi parce qu'ils ne nous voient littéralement pas. Il m'est déjà arrivé de lever la tête entre deux lignes, et d'être à deux doigts de m'écraser [« de rentrer dedans » / « foncer dans » ?] contre quelqu'un.
J'ai ainsi découvert que c'est quand on marche que les gens nous interrompent le moins. Et si, en outre, on a un livre à la main, on est presque invisible à leurs yeux. Parce qu'ils ne nous interrompent pas (cette conduite leur est peut-être dictée par leur conscience quand ils se rappellent avoir abandonné la lecture très tôt, par négligence), mais aussi parce qu'ils ne nous voient littéralement pas. Il m'est déjà arrivé de lever la tête entre deux lignes, et d'être à deux doigts de foncer dans quelqu'un.
J'ai ainsi découvert que c'est quand on marche que les gens nous interrompent le moins. Et si, en outre, on a un livre à la main, on est presque invisible à leurs yeux. Parce qu'ils ne nous interrompent pas (cette conduite leur est peut-être dictée par leur conscience [virgule ?] quand ils se rappellent avoir abandonné la lecture très tôt, par négligence), mais aussi parce qu'ils ne nous voient littéralement pas. Il m'est déjà arrivé de lever la tête entre deux lignes, et d'être à deux doigts de foncer dans quelqu'un.
J'ai ainsi découvert que c'est quand on marche que les gens nous interrompent le moins. Et si, en outre, on a un livre à la main, on est presque invisible à leurs yeux. Parce qu'ils ne nous interrompent pas (cette conduite leur est peut-être dictée par leur conscience, quand ils se rappellent avoir abandonné la lecture très tôt, par négligence), mais aussi parce qu'ils ne nous voient littéralement pas. Il m'est déjà arrivé de lever la tête entre deux lignes, et d'être à deux doigts de foncer dans quelqu'un.
J'ai ainsi découvert que c'est quand on marche que les gens nous interrompent le moins. Et si, en outre, on a un livre à la main, on est presque invisible à leurs yeux. Parce qu'ils ne nous [le pb, là, c'est qu'on passe tantôt à un « on » singulier, à un « nous » pluriel // il faut harmoniser] interrompent pas (cette conduite leur est peut-être dictée par leur conscience, quand ils se rappellent avoir abandonné la lecture très tôt, par négligence), mais aussi parce qu'ils ne nous voient littéralement pas. Il m'est déjà arrivé de lever la tête entre deux lignes, et d'être à deux doigts de foncer dans quelqu'un.
J'ai ainsi découvert que c'est quand on marche que les gens nous interrompent le moins. Et si, en outre, on a un livre à la main, on est presque invisible à leurs yeux. Parce qu'ils ne nous [le pb, là, c'est qu'on passe tantôt à un « on » singulier, à un « nous » pluriel // il faut harmoniser/ Mais le "on" fait référence au narrateur et le "ils" aux gens… On est obligées de garder les deux, non ?] interrompent pas (cette conduite leur est peut-être dictée par leur conscience, quand ils se rappellent avoir abandonné la lecture très tôt, par négligence), mais aussi parce qu'ils ne nous voient littéralement pas. Il m'est déjà arrivé de lever la tête entre deux lignes, et d'être à deux doigts de foncer dans quelqu'un.
J'ai ainsi découvert que c'est quand on marche que les gens nous interrompent le moins. Et si, en outre, on a un livre à la main, on est presque invisible à leurs yeux. Parce qu'ils ne nous interrompent pas (cette conduite leur est peut-être dictée par leur conscience, quand ils se rappellent avoir abandonné la lecture très tôt, par négligence), mais aussi parce qu'ils ne nous voient littéralement pas. Il m'est déjà arrivé de lever la tête entre deux lignes, et d'être à deux doigts de foncer dans quelqu'un.
OK.
Je ne vois pas la suite…
Je la mets tout de suite.
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