Y, anclada estoy, porque cuando tenía veinte años las cosas tenían una mezcla de esperanza, nostalgia y seducción y ahora es como si encontrara la vida metida en cajitas y las cajitas en estantes y todo ordenado como muertos en los nichos. Yo sufro mientras hojeo un comentario sobre el cine de Einsenstein y pienso qué hombre con barba y carterita al hombro se va a fijar en una mujer que no ha visto El acorazado Potemkin.
Traduction temporaire :
Et je n'ai toujours pas évolué, parce que quand j'avais vingt ans, les choses offraient un mélange d'espoir, de nostalgie et de séduction, alors que maintenant, c'est comme si la vie était rangée dans des petites boîtes et les petites boîtes empilées sur des étagères, ordonnées de la même façon que les morts dans les niches. Je souffre tandis que je jette un coup d'œil à un commentaire sur le cinéma d'Einsenstein, et je me demande quel homme barbu avec un petit sac sur l'épaule remarquerait une femme qui n'a pas vu Le Cuirassé Potemkin.
Et je n'ai toujours pas évolué, parce que quand j'avais vingt ans, les choses offraient un mélange d'espoir, de nostalgie et de séduction, alors que maintenant, c'est comme si la vie était rangée dans des petites boîtes et les petites boîtes empilées sur des étagères, ordonnées de la même façon que les morts dans les niches. Je souffre tandis que je jette un coup d'œil à un commentaire sur le cinéma d'Einsenstein, et je me demande quel homme barbu avec un petit sac sur l'épaule remarquerait une femme qui n'a pas vu Le Cuirassé Potemkin.
11 commentaires:
Et je n'ai toujours pas évolué, parce que quand j'avais vingt ans, les choses avaient un mélange d'espoir, de nostalgie et de séduction, et maintenant, c'est comme si la vie était rangée dans des petites boîtes et les petites boîtes, sur des étagères, tout en ordre, comme les morts dans les niches. Je souffre tandis que je jette un coup d'œil à un commentaire sur le cinéma de Einsenstein et je me demande quel homme barbu avec un petit sac sur l'épaule va remarquer une femme qui n'a pas vu Le Cuirassé Potemkin.
Et je n'ai toujours pas évolué, parce que quand j'avais vingt ans, les choses avaient [« offraient » / « présentaient » ?] un mélange d'espoir, de nostalgie et de séduction, et [« alors que » ?] maintenant, c'est comme si la vie était rangée dans des petites boîtes et les petites boîtes, [un adjectif à la place de la virgule ?] sur des étagères, tout en ordre [mal dit], comme [vous avez « comme si » avant] les morts dans les niches.
Faites déjà ça.
Je souffre tandis que je jette un coup d'œil à un commentaire sur le cinéma de Einsenstein et je me demande quel homme barbu avec un petit sac sur l'épaule va remarquer une femme qui n'a pas vu Le Cuirassé Potemkin.
Et je n'ai toujours pas évolué, parce que quand j'avais vingt ans, les choses offraient un mélange d'espoir, de nostalgie et de séduction, alors que maintenant, c'est comme si la vie était rangée dans des petites boîtes et les petites boîtes empilées sur des étagères, ordonnées de la même façon que les morts dans les niches.
Et je n'ai toujours pas évolué, parce que quand j'avais vingt ans, les choses offraient un mélange d'espoir, de nostalgie et de séduction, alors que maintenant, c'est comme si la vie était rangée dans des petites boîtes et les petites boîtes empilées sur des étagères, ordonnées de la même façon que les morts dans les niches.
OK. Vous pouvez ajouter la fin.
Je souffre tandis que je jette un coup d'œil à un commentaire sur le cinéma d' Einsenstein, et je me demande quel homme barbu avec un petit sac sur l'épaule va remarquer une femme qui n'a pas vu Le Cuirassé Potemkin.
Je souffre tandis que je jette un coup d'œil à un commentaire sur le cinéma d' Einsenstein, et je me demande quel homme barbu avec un petit sac sur l'épaule va remarquer une femme qui n'a pas vu Le Cuirassé Potemkin.
Il faut remettre le début aussi ; comme vous le savez, à la fin, je fais le bloc entier pour le copier/coller.
Et je n'ai toujours pas évolué, parce que quand j'avais vingt ans, les choses offraient un mélange d'espoir, de nostalgie et de séduction, alors que maintenant, c'est comme si la vie était rangée dans des petites boîtes et les petites boîtes empilées sur des étagères, ordonnées de la même façon que les morts dans les niches. Je souffre tandis que je jette un coup d'œil à un commentaire sur le cinéma d' Einsenstein, et je me demande quel homme barbu avec un petit sac sur l'épaule va remarquer une femme qui n'a pas vu Le Cuirassé Potemkin.
Et je n'ai toujours pas évolué, parce que quand j'avais vingt ans, les choses offraient un mélange d'espoir, de nostalgie et de séduction, alors que maintenant, c'est comme si la vie était rangée dans des petites boîtes et les petites boîtes empilées sur des étagères, ordonnées de la même façon que les morts dans les niches. Je souffre tandis que je jette un coup d'œil à un commentaire sur le cinéma d'Einsenstein, et je me demande quel [bizarre, non ? Je ne vois pas trop comment faire autrement… mais cherchez, au moins ; et sinon, tant pis… laissez] homme barbu avec un petit sac sur l'épaule va remarquer [« remarquerait » ?] une femme qui n'a pas vu Le Cuirassé Potemkin.
Et je n'ai toujours pas évolué, parce que quand j'avais vingt ans, les choses offraient un mélange d'espoir, de nostalgie et de séduction, alors que maintenant, c'est comme si la vie était rangée dans des petites boîtes et les petites boîtes empilées sur des étagères, ordonnées de la même façon que les morts dans les niches. Je souffre tandis que je jette un coup d'œil à un commentaire sur le cinéma d'Einsenstein, et je me demande quel [j'ai cherché et je ne trouve pas d'autre solution...] homme barbu avec un petit sac sur l'épaule remarquerait une femme qui n'a pas vu Le Cuirassé Potemkin.
Et je n'ai toujours pas évolué, parce que quand j'avais vingt ans, les choses offraient un mélange d'espoir, de nostalgie et de séduction, alors que maintenant, c'est comme si la vie était rangée dans des petites boîtes et les petites boîtes empilées sur des étagères, ordonnées de la même façon que les morts dans les niches. Je souffre tandis que je jette un coup d'œil à un commentaire sur le cinéma d'Einsenstein, et je me demande quel homme barbu avec un petit sac sur l'épaule remarquerait une femme qui n'a pas vu Le Cuirassé Potemkin.
OK.
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