lundi 19 janvier 2015

Projet Florian – phrases 102-105

El seguidor del Arsenal ríe con hilaridad, el gordo está completamente congestionado. Se abre la portezuela y entra una mujer menuda vestida completamente de negro, tiene la cara tapada por un verdugo a través del cual aparecen unos ojos azules muy vivos. Lleva una soga en la mano. El cochero hace frenar los caballos, se acerca a la portezuela y con una reverencia nos hace bajar.

Traduction temporaire :
Le supporter d'Arsenal rit, hilare, le gros est au bord de la congestion. On ouvre la portière et une femme menue et tout de noir vêtue entre ; elle a le visage couvert par une cagoule laissant apparaître des yeux bleus très vifs. Elle tient une corde dans sa main. Le cocher fait ralentir les chevaux, s'approche de la portière et, avec une révérence, nous fait descendre.

11 commentaires:

Unknown a dit…

Le supporter d'Arsenal rit avec hilarité, le gros est complétement bloqué. On ouvre la portière et une femme menue et complétement de noir vêtue; elle a le visage couvert par une cagoule sous laquelle apparaît des yeux bleus très vifs. Elle tient une corde dans sa main. Le cocher fait ralentir les chevaux, il s'approche de la portière et, avec une révérence, nous fait descendre.

Unknown a dit…

Le supporter d'Arsenal rit avec hilarité, le gros est complétement bloqué. On ouvre la portière et une femme menue et complétement de noir vêtue entre; elle a le visage couvert par une cagoule sous laquelle apparaît des yeux bleus très vifs. Elle tient une corde dans sa main. Le cocher fait ralentir les chevaux, il s'approche de la portière et, avec une révérence, nous fait descendre.

Tradabordo a dit…

Le supporter d'Arsenal rit avec hilarité [ou : « rit, hilare » ?], le gros est complétement [coquille] bloqué [quelle est l'idée en espagnol ?]. On ouvre la portière et une femme menue et complétement [idem + de toute façon, débrouillez-vous pour ne pas répéter] de noir vêtue [« tout de noir vêtue »] entre[espace]; elle a le visage couvert par une cagoule sous laquelle [pas très logique] apparaît [grammaire] des yeux bleus très vifs. Elle tient une corde dans sa main. Le cocher fait ralentir les chevaux, il [nécessaire ?] s'approche de la portière et, avec une révérence, nous fait descendre.

Unknown a dit…

Le supporter d'Arsenal rit, hilare, le gros est complètement soûl. On ouvre la portière et une femme menue et tout de noir vêtue entre ; elle a le visage couvert par une cagoule derrière laquelle apparaissent des yeux bleus très vifs. Elle tient une corde dans sa main. Le cocher fait ralentir les chevaux, s'approche de la portière et, avec une révérence, nous fait descendre.

Tradabordo a dit…

Le supporter d'Arsenal rit, hilare, le gros est complètement soûl [sûr du sens ?]. On ouvre la portière et une femme menue et tout de noir vêtue entre ; elle a le visage couvert par une cagoule derrière [non, pas logique… Cela suppose que les yeux sont également couverts et dans ce cas, on ne risque pas de les voir] laquelle apparaissent des yeux bleus très vifs. Elle tient une corde dans sa main. Le cocher fait ralentir les chevaux, s'approche de la portière et, avec une révérence, nous fait descendre.

Unknown a dit…

Le supporter d'Arsenal rit, hilare, le gros est complètement congestionné. On ouvre la portière et une femme menue et tout de noir vêtue entre ; elle a le visage couvert par une cagoule à travers de laquelle apparaissent des yeux bleus très vifs. Elle tient une corde dans sa main. Le cocher fait ralentir les chevaux, s'approche de la portière et, avec une révérence, nous fait descendre.

Tradabordo a dit…

Le supporter d'Arsenal rit, hilare, le gros est complètement congestionné [« au bord de la congestion » ?]. On ouvre la portière et une femme menue et tout de noir vêtue entre ; elle a le visage couvert par une cagoule à travers de laquelle [très maladroit] apparaissent des yeux bleus très vifs. Elle tient une corde dans sa main. Le cocher fait ralentir les chevaux, s'approche de la portière et, avec une révérence, nous fait descendre.

Unknown a dit…

Le supporter d'Arsenal rit, hilare, le gros est complètement au bord de la congestion. On ouvre la portière et une femme menue et tout de noir vêtue entre ; elle a le visage couvert par une cagoule à travers de laquelle [très maladroit] apparaissent des yeux bleus très vifs. Elle tient une corde dans sa main. Le cocher fait ralentir les chevaux, s'approche de la portière et, avec une révérence, nous fait descendre.

Tradabordo a dit…

Le supporter d'Arsenal rit, hilare, le gros est complètement [pas nécessaire, du coup] au bord de la congestion. On ouvre la portière et une femme menue et tout de noir vêtue entre ; elle a le visage couvert par une cagoule à travers de laquelle [très maladroit // COMMENTAIRE PRÉCÉDENT] apparaissent des yeux bleus très vifs. Elle tient une corde dans sa main. Le cocher fait ralentir les chevaux, s'approche de la portière et, avec une révérence, nous fait descendre.

Unknown a dit…

Le supporter d'Arsenal rit, hilare, le gros est au bord de la congestion. On ouvre la portière et une femme menue et tout de noir vêtue entre ; elle a le visage couvert par une cagoule laissant apparaître des yeux bleus très vifs. Elle tient une corde dans sa main. Le cocher fait ralentir les chevaux, s'approche de la portière et, avec une révérence, nous fait descendre.

Tradabordo a dit…

Le supporter d'Arsenal rit, hilare, le gros est au bord de la congestion. On ouvre la portière et une femme menue et tout de noir vêtue entre ; elle a le visage couvert par une cagoule laissant apparaître des yeux bleus très vifs. Elle tient une corde dans sa main. Le cocher fait ralentir les chevaux, s'approche de la portière et, avec une révérence, nous fait descendre.

OK.