El sol. Todo es luminoso. La sombra de papi evita que los rayos te caigan directamente al rostro. Arriba otra vez, ¡salta!, y él te levanta de los brazos, arriba, arriba y ¡chapuzón! El agua entra a tus ojos y te arden, pero no importa. A lo lejos ves una lancha de pescadores, ahí donde las olas parecen nacer. En la orilla, mamá descansa y lee una revista. Ojalá que no se aburra de leer y recuerde que ya se acerca la hora del almuerzo…
Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires
11 commentaires:
Le soleil. Tout est inondé par sa lumière. L'ombre de papa empêche qu'il arrive directement sur ton visage. Allez, encore une fois, saute! Il te soulève par les bras : à la une, à la deux, et plongeon! L'eau entre dans tes yeux et te brûlent, mais ce n'est pas grave. Tu vois un bateau de pêcheurs au loin, là où les vagues semblent naître. Sur le bord, maman se repose et lit une revue. Pourvu qu'elle ne se lasse pas de lire et qu'elle se souvienne que l'heure du déjeuner approche...
Le soleil. Tout est inondé par sa lumière. L'ombre de papa empêche que les rayons [je pense qu'il faut davantage se rapprocher de la VO] pleuvent directement sur ton visage. Allez, encore une fois, saute ! Il te soulève [à la ligne précédent, il s'agissait déjà de soulever la petite fille par les bras] : à la une, à la deux, et plongeon ! L'eau entre dans tes yeux qui [?] te brûlent, mais ce n'est pas grave. Au loin, là où les vagues semblent naître, tu vois une barque ["una lancha", c'est une petit embarcation d'après Maria Moliner and Co] de pêcheurs. Sur le bord, maman se repose et lit une revue. Pourvu qu'elle ne se lasse pas de lire et qu'elle se souvienne que l'heure du déjeuner approche...
Le soleil. Tout est inondé par sa lumière [nécessaire de changer ?]. L'ombre de papa empêche qu'il [pourquoi tu changes systématiquement ????] arrive directement sur ton visage.
Reprenons déjà ça… Attention : traduire n'est pas réécrire. Nous intervenons suffisamment parce que nous y sommes obligés… alors quand le littéral est bon, on laisse.
Allez, encore une fois, saute! Il te soulève par les bras : à la une, à la deux, et plongeon! L'eau entre dans tes yeux et te brûlent, mais ce n'est pas grave. Tu vois un bateau de pêcheurs au loin, là où les vagues semblent naître. Sur le bord, maman se repose et lit une revue. Pourvu qu'elle ne se lasse pas de lire et qu'elle se souvienne que l'heure du déjeuner approche...
Hélène, nos commentaires se sont croisés. Je te laisse adapter ta version en fonction de ce que j'ai dit à Chloé.
Le soleil. Tout est lumineux. L'ombre de papa empêche que les rayons pleuvent directement sur ton visage. Allez, encore une fois, saute ! Il te soulève : à la une, à la deux, et plongeon ! L'eau entre dans tes yeux qui te brûlent, mais ce n'est pas grave. Au loin, là où les vagues semblent naître, tu vois une barque de pêcheurs. Sur le bord, maman se repose et lit une revue. Pourvu qu'elle ne se lasse pas de lire et qu'elle se souvienne que l'heure du déjeuner approche...
Le soleil. Tout est lumineux. L'ombre de papa empêche que les rayons pleuvent [ou « les rayons de » ? + pb avec « pleuvoir »… car ce serait une création styliste… dont un sérieux ajout par rapport à la V.O.] directement sur ton visage. Allez, encore une fois, saute ! Il te soulève : à la une, à la deux, et [cheville : « hop, » ? Comme tu veux]plongeon ! L'eau entre dans tes yeux qui te brûlent, mais ce n'est pas grave. Au loin, là où les vagues semblent naître, tu vois une barque de pêcheurs. Sur le bord [on a l'impression que c'est sur le bord de la barque, non ?], maman se repose et lit une revue. Pourvu qu'elle ne se lasse pas de lire et qu'elle se souvienne que l'heure du déjeuner approche... [raccourci clavier des points de suspension]
Le soleil. Tout est lumineux. L'ombre de papa empêche les rayons de tomber directement sur ton visage. Allez, encore une fois, saute ! Il te soulève : à la une, à la deux, et hop, un plongeon ! L'eau entre dans tes yeux qui te brûlent, mais ce n'est pas grave. Au loin, là où les vagues semblent naître, tu vois une barque de pêcheurs. Sur le rivage, maman se repose et lit une revue. Pourvu qu'elle ne se lasse pas de lire et qu'elle se souvienne que l'heure du déjeuner approche…
Caroline, as-tu vu mon dernier commentaire ?
Non, en effet, il m'avait échappé.
Le soleil. Tout est lumineux. L'ombre de papa empêche les rayons de tomber directement sur ton visage. Allez, encore une fois, saute ! Il te soulève : à la une, à la deux, et hop, un plongeon ! L'eau entre dans tes yeux qui te brûlent, mais ce n'est pas grave. Au loin, là où les vagues semblent naître, tu vois une barque de pêcheurs. Sur le rivage, maman se repose et lit une revue. Pourvu qu'elle ne se lasse pas de lire [pas grave, mais un moyen de ne pas répéter « lire » ?] et qu'elle se souvienne que l'heure du déjeuner approche…
Le soleil. Tout est lumineux. L'ombre de papa empêche les rayons de tomber directement sur ton visage. Allez, encore une fois, saute ! Il te soulève : à la une, à la deux, et hop, un plongeon ! L'eau entre dans tes yeux qui te brûlent, mais ce n'est pas grave. Au loin, là où les vagues semblent naître, tu vois une barque de pêcheurs. Sur le rivage, maman se repose et lit une revue. Pourvu qu'elle ne s'en lasse pas et qu'elle se souvienne que l'heure du déjeuner approche…
Le soleil. Tout est lumineux. L'ombre de papa empêche les rayons de tomber directement sur ton visage. Allez, encore une fois, saute ! Il te soulève : à la une, à la deux, et hop, un plongeon ! L'eau entre dans tes yeux qui te brûlent, mais ce n'est pas grave. Au loin, là où les vagues semblent naître, tu vois une barque de pêcheurs. Sur le rivage, maman se repose et lit une revue. Pourvu qu'elle ne s'en lasse pas et qu'elle se souvienne que l'heure du déjeuner approche…
OK.
Chloé ?
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