Nada de lo que había le hacía recordar algo a Onel; sólo los muros, las ventanas y la puerta que no habían cambiado mucho. El rincón donde su padre se sentaba a leer el periódico, estaba allí; sin embargo él miraba un vacío inmenso, y en ese rincón parecía concentrarse la infinitud, el principio y el fin de todo.
—No me regalaron nada —dijo el hombre.
Traduction temporaire :
Rien de ce qu’il y avait ne rappelait quoique ce soit à Onel ; seuls les murs, les fenêtres et la porte n’avaient guère changé. Le coin où son père s’asseyait pour lire le journal, il était toujours là. Cependant il voyait un immense vide, où semblait se concentrer l’infini, le début et la fin de tout.
— Ils ne m’ont rien offert, dit l’homme.
Rien de ce qu’il y avait ne rappelait quoique ce soit à Onel ; seuls les murs, les fenêtres et la porte n’avaient guère changé. Le coin où son père s’asseyait pour lire le journal, il était toujours là. Cependant il voyait un immense vide, où semblait se concentrer l’infini, le début et la fin de tout.
— Ils ne m’ont rien offert, dit l’homme.
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Rien de ce qu’il y avait rappelé quoique ce soit à Onel; juste les murs, les fenêtres et la porte qui n’avaient pas vraiment changé. Le coin où son père s’asseyait pour lire le journal, c’était ici. Cependant il regardait un immense vide, et dans ce coin semblait se concentrer l’infini, le début et la fin de tout.
— Ils ne m’ont rien offert, dit l’homme.
Rien de ce qu’il y avait rappelé quoique ce soit à Onel[espace + charabia // reprenez et du coup, relisez la suite]; juste les murs, les fenêtres et la porte qui n’avaient pas vraiment changé. Le coin où son père s’asseyait pour lire le journal, c’était ici. Cependant il regardait un immense vide, et dans ce coin semblait se concentrer l’infini, le début et la fin de tout.
— Ils ne m’ont rien offert, dit l’homme.
Rien de ce qu’il y avait ne rappelé quoique ce soit à Onel ; seul les murs, les fenêtres et la porte n’avaient pas vraiment changé. Le coin où son père s’asseyait pour lire le journal, c’était ici. Cependant il regardait un immense vide, et dans ce coin semblait se concentrer l’infini, le début et la fin de tout.
— Ils ne m’ont rien offert, dit l’homme.
Rien de ce qu’il y avait ne rappelé [grammaire !] quoique ce soit à Onel ; seul les murs, les fenêtres et la porte n’avaient pas vraiment changé. Le coin où son père s’asseyait pour lire le journal, c’était ici. Cependant il regardait un immense vide, et dans ce coin semblait se concentrer l’infini, le début et la fin de tout.
— Ils ne m’ont rien offert, dit l’homme.
Rien de ce qu’il y avait ne rappelait quoique ce soit à Onel ; seul les murs, les fenêtres et la porte n’avaient pas vraiment changé. Le coin où son père s’asseyait pour lire le journal, c’était ici. Cependant il regardait un immense vide, et dans ce coin semblait se concentrer l’infini, le début et la fin de tout.
— Ils ne m’ont rien offert, dit l’homme.
Rien de ce qu’il y avait ne rappelait quoique ce soit à Onel ; seul [grammaire] les murs, les fenêtres et la porte n’avaient pas vraiment [« guère » ?] changé. Le coin où son père s’asseyait pour lire le journal, c’était [mal dit // est-ce qu'on désigne le lieu ou est-ce qu'on dit que c'est toujours là ?] ici. Cependant il regardait [ou « voir » ?] un immense vide, et dans ce coin [obligé de répéter ?] semblait se concentrer l’infini, le début et la fin de tout.
— Ils ne m’ont rien offert, dit l’homme.
Rien de ce qu’il y avait ne rappelait quoique ce soit à Onel ; seuls les murs, les fenêtres et la porte n’avaient guère changé. Le coin où son père s’asseyait pour lire le journal, c’était toujours là. Cependant il voyait un immense vide, où semblait se concentrer l’infini, le début et la fin de tout.
— Ils ne m’ont rien offert, dit l’homme.
Rien de ce qu’il y avait ne rappelait quoique ce soit à Onel ; seuls les murs, les fenêtres et la porte n’avaient guère changé. Le coin où son père s’asseyait pour lire le journal, c’[?]était toujours là. Cependant il voyait un immense vide, où semblait se concentrer l’infini, le début et la fin de tout.
— Ils ne m’ont rien offert, dit l’homme.
Rien de ce qu’il y avait ne rappelait quoique ce soit à Onel ; seuls les murs, les fenêtres et la porte n’avaient guère changé. Le coin où son père s’asseyait pour lire le journal, il était toujours là. Cependant il voyait un immense vide, où semblait se concentrer l’infini, le début et la fin de tout.
— Ils ne m’ont rien offert, dit l’homme.
Rien de ce qu’il y avait ne rappelait quoique ce soit à Onel ; seuls les murs, les fenêtres et la porte n’avaient guère changé. Le coin où son père s’asseyait pour lire le journal, il était toujours là. Cependant il voyait un immense vide, où semblait se concentrer l’infini, le début et la fin de tout.
— Ils ne m’ont rien offert, dit l’homme.
OK.
Jordane ?
Ok.
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