Onel se quedó mirando la puerta de madera con una ternura indescifrable, parecía que se le iban a caer los ojos. No lloraba. No había rencor en su mirada, sólo miraba quizá recordando una imagen o un gesto de su madre. Tal vez le hubiese gustado ver a su padre entrando por la puerta, pero nada. Sólo escuchaba la voz de un desconocido que le estaba repitiendo la misma cosa desde que entró.
—Tuve que vender mis cosas —dijo el hombre.
Traduction temporaire :
Onel resta à regarder la porte en bois avec une tendresse indéchiffrable, ses yeux étaient exorbités. Il ne pleurait pas. Il n’y avait pas d’amertume dans son regard, il regardait juste, en se rappelant une image ou une expression de sa mère. Il aurait peut-être aimé voir son père entrer par la porte, mais rien ne se passa. Il n’écoutait que la voix d’un inconnu qui répétait la même chose depuis son arrivée.
— J’ai dû vendre mes affaires, expliqua l’homme.
Onel resta à regarder la porte en bois avec une tendresse indéchiffrable, ses yeux étaient exorbités. Il ne pleurait pas. Il n’y avait pas d’amertume dans son regard, il regardait juste, en se rappelant une image ou une expression de sa mère. Il aurait peut-être aimé voir son père entrer par la porte, mais rien ne se passa. Il n’écoutait que la voix d’un inconnu qui répétait la même chose depuis son arrivée.
— J’ai dû vendre mes affaires, expliqua l’homme.
16 commentaires:
Onel fixa la porte de bois avec une tendresse indicible, ses yeux semblaient lui en tomber. Il ne pleurait pas. Il n’y avait pas d’amertume dans son regard, il ne regardait peut-être qu’en se rappelant une image ou un geste de sa mère. Il aurait peut-être aimé voir son père entrer par la porte, mais rien. Il n’écoutait que la voix d’un inconnu qui répétait sans cesse la même chose depuis son entrée.
— J’ai dû vendre mes affaires, dit l’homme.
Onel fixa [on ne peut pas rendre un peu le « se quedó »] la porte de bois avec une tendresse indicible [on ne peut pas être plus près de la V.O. ? Ça van hein, mais on s'éloigne légèrement…], ses yeux semblaient lui en tomber [vous le diriez ?]. Il ne pleurait pas. Il n’y avait pas d’amertume dans son regard, il ne regardait peut-être [CS…] qu’en se rappelant une image ou un geste de sa mère.
Faisons déjà cela.
Il aurait peut-être aimé voir son père entrer par la porte, mais rien. Il n’écoutait que la voix d’un inconnu qui répétait sans cesse la même chose depuis son entrée.
— J’ai dû vendre mes affaires, dit l’homme.
Onel s'immobilisa en regardant la porte de bois avec une tendresse indéchiffrable, il semblait en perdre la vue. Il ne pleurait pas. Il n’y avait pas d’amertume dans son regard, il regardait en se rappelant une image ou un geste de sa mère. Il aurait peut-être aimé voir son père entrer par la porte, mais rien. Il n’écoutait que la voix d’un inconnu qui répétait sans cesse la même chose depuis son entrée.
— J’ai dû vendre mes affaires, dit l’homme.
Onel s'immobilisa en regardant [pourquoi pas plus littéral : « resta à » ?] la porte de bois avec une tendresse indéchiffrable, il semblait en perdre la vue [non, je pense qu'on peut laisser plus littéral // en aménageant ce que vous aviez mis au début]. Il ne pleurait pas. Il n’y avait pas d’amertume dans son regard, il regardait [il faut traduire le « sólo »… il a du sens ici] en se rappelant une image ou un geste [en esp. « geste » ou « expression (du visage ) » ; lequel des deux ici, à votre avis ?] de sa mère. Il aurait peut-être aimé voir son père entrer par la porte, mais rien [naturel ?]. Il n’écoutait que la voix d’un inconnu qui répétait sans cesse [nécessaire ?] la même chose depuis son entrée [mal dit].
— J’ai dû vendre mes affaires, dit [« expliqua / déclara » ? Comme vous voulez] l’homme.
Onel resta à regarder la porte de bois avec une tendresse indéchiffrable, il semblait en perdre les yeux. Il ne pleurait pas. Il n’y avait pas d’amertume dans son regard, il regardait seulement en se rappelant une image ou une expression de sa mère. Il aurait peut-être aimé voir son père entrer par la porte, mais rien ne se passa. Il n’écoutait que la voix d’un inconnu qui répétait la même chose depuis son arrivée.
— J’ai dû vendre mes affaires, expliqua l’homme.
Onel resta à regarder la porte de [« en », quand ce sont des matières ordinaires] bois avec une tendresse indéchiffrable, il semblait en perdre les yeux [et si on passait simplement par « exorbités » ?]. Il ne pleurait pas. Il n’y avait pas d’amertume dans son regard, il regardait seulement [ou avec « juste »] [virgule ?] en se rappelant une image ou une expression de sa mère. Il aurait peut-être aimé voir son père entrer par la porte, mais rien ne se passa. Il n’écoutait que la voix d’un inconnu qui répétait la même chose depuis son arrivée.
— J’ai dû vendre mes affaires, expliqua l’homme.
Onel en resta à regarder la porte de bois avec une tendresse indéchiffrable, il semblait en avoir les yeux exorbités. Il ne pleurait pas. Il n’y avait pas d’amertume dans son regard, il regardait juste, en se rappelant une image ou une expression de sa mère. Il aurait peut-être aimé voir son père entrer par la porte, mais rien ne se passa. Il n’écoutait que la voix d’un inconnu qui répétait la même chose depuis son arrivée.
— J’ai dû vendre mes affaires, expliqua l’homme
Onel en [?] resta à regarder la porte de [cf mon commentaire précédent à propos de « de »] bois avec une tendresse indéchiffrable, il semblait en avoir les yeux exorbités [simplifiez la fin… Peu importe « il semblait… »]. Il ne pleurait pas. Il n’y avait pas d’amertume dans son regard, il regardait juste, en se rappelant une image ou une expression de sa mère. Il aurait peut-être aimé voir son père entrer par la porte, mais rien ne se passa. Il n’écoutait que la voix d’un inconnu qui répétait la même chose depuis son arrivée.
— J’ai dû vendre mes affaires, expliqua l’homme [point]
Onel resta à regarder la porte en bois avec une tendresse indéchiffrable, il semblait exorbité. Il ne pleurait pas. Il n’y avait pas d’amertume dans son regard, il regardait juste, en se rappelant une image ou une expression de sa mère. Il aurait peut-être aimé voir son père entrer par la porte, mais rien ne se passa. Il n’écoutait que la voix d’un inconnu qui répétait la même chose depuis son arrivée.
— J’ai dû vendre mes affaires, expliqua l’homme.
Onel resta à regarder la porte en bois avec une tendresse indéchiffrable, il semblait exorbité [mais non, pas lui, ses yeux]. Il ne pleurait pas. Il n’y avait pas d’amertume dans son regard, il regardait juste, en se rappelant une image ou une expression de sa mère. Il aurait peut-être aimé voir son père entrer par la porte, mais rien ne se passa. Il n’écoutait que la voix d’un inconnu qui répétait la même chose depuis son arrivée.
— J’ai dû vendre mes affaires, expliqua l’homme.
Onel resta à regarder la porte en bois avec une tendresse indéchiffrable, ses yeux semblaient exorbités. Il ne pleurait pas. Il n’y avait pas d’amertume dans son regard, il regardait juste, en se rappelant une image ou une expression de sa mère. Il aurait peut-être aimé voir son père entrer par la porte, mais rien ne se passa. Il n’écoutait que la voix d’un inconnu qui répétait la même chose depuis son arrivée.
— J’ai dû vendre mes affaires, expliqua l’homme.
Onel resta à regarder la porte en bois avec une tendresse indéchiffrable, ses yeux semblaient [« étaient » // ils le sont ou ils ne le sont pas ;-)] exorbités. Il ne pleurait pas. Il n’y avait pas d’amertume dans son regard, il regardait juste, en se rappelant une image ou une expression de sa mère. Il aurait peut-être aimé voir son père entrer par la porte, mais rien ne se passa. Il n’écoutait que la voix d’un inconnu qui répétait la même chose depuis son arrivée.
— J’ai dû vendre mes affaires, expliqua l’homme.
Onel resta à regarder la porte en bois avec une tendresse indéchiffrable, ses yeux étaient exorbités. Il ne pleurait pas. Il n’y avait pas d’amertume dans son regard, il regardait juste, en se rappelant une image ou une expression de sa mère. Il aurait peut-être aimé voir son père entrer par la porte, mais rien ne se passa. Il n’écoutait que la voix d’un inconnu qui répétait la même chose depuis son arrivée.
— J’ai dû vendre mes affaires, expliqua l’homme.
Onel resta à regarder la porte en bois avec une tendresse indéchiffrable, ses yeux étaient exorbités. Il ne pleurait pas. Il n’y avait pas d’amertume dans son regard, il regardait juste, en se rappelant une image ou une expression de sa mère. Il aurait peut-être aimé voir son père entrer par la porte, mais rien ne se passa. Il n’écoutait que la voix d’un inconnu qui répétait la même chose depuis son arrivée.
— J’ai dû vendre mes affaires, expliqua l’homme.
OK.
Jordane ?
Ok.
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