No necesito ver su rostro, desde aquí tengo a mi alcance lo que por ahora me interesa de ella; sus piernas duras, las caderas anchas que no sé si inocentemente o no balancea de un lado a otro cuando su peso agota una pierna. Entre el torso y un brazo puedo ver la punta de un pezón asomándose como una lengua tímida en un beso, a ratos veo el seno completo dibujando su sombra sobre el pecho y me parece notar que entre las ondas de cabello castaño un ojo atento vigila mis reacciones, pero no puedo acercarme a ella, al menos no mientras esté rodeada de ese par de viejas, lo único que le quedó de familia.
Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires
19 commentaires:
Je n'ai pas besoin de croiser son visage, car, d'ici j'ai à portée de vue ce qui m'intéresse chez elle pour le moment ; ses jambes rudes, ses larges hanches dont je ne sais si elle ne les balance d'un coté sur l'autre innocemment ou non lorsque son poids épuise l'une de ses jambes. Entre son torse et son bras, je peux distinguer la pointe d'un mamelon se montrant comme une langue timide lors d'un baiser. Par moment, j'aperçois un sein entier dessinant son ombre sur la poitrine et il me semble distinguer, parmi les vagues de cheveux châtains, un œil attentif qui surveille mes réactions, mais je ne peux pas m'approcher d'elle, du moins tant ne qu'elle soit entourée de ce couple de vieilles dames, le peu qu'il lui resta de famille.
Je n'ai pas besoin de croiser [bon, si on ne veut pas tomber dans l'artificilialité totale, il vaut mieux répéter « voir », car manifestement, il va nous en mettre des tonnes ;-)] son visage, car, d'ici [virgule] j'ai à portée de vue ce qui m'intéresse chez elle pour le moment ; ses jambes rudes [?], ses larges hanches dont je ne sais si elle ne [?] les balance d'un coté sur l'autre innocemment ou non [je crois que vous vous emmêlez un peu… Il faut dire que c'est une longue phrase] lorsque son poids épuise l'une de ses jambes.
Reprenez tout cela, pour vous assurer que ça tient bien debout et que c'est clair.
Entre son torse et son bras, je peux distinguer la pointe d'un mamelon se montrant comme une langue timide lors d'un baiser. Par moment, j'aperçois un sein entier dessinant son ombre sur la poitrine et il me semble distinguer, parmi les vagues de cheveux châtains, un œil attentif qui surveille mes réactions, mais je ne peux pas m'approcher d'elle, du moins tant ne qu'elle soit entourée de ce couple de vieilles dames, le peu qu'il lui resta de famille.
Je n'ai pas besoin de voir son visage, car, d'ici, j'ai à portée de vue ce qui m'intéresse chez elle pour le moment. Ses jambes dure, ses larges hanches dont je ne sais si elle les balance d'un coté sur l'autre innocemment ou non lorsque son poids épuise l'une de ses jambes. Entre son torse et son bras, je peux distinguer la pointe d'un mamelon se montrant comme une langue timide lors d'un baiser. Par moment, j'aperçois un sein entier dessinant son ombre sur la poitrine et il me semble distinguer, parmi les vagues de cheveux châtains, un œil attentif qui surveille mes réactions, mais je ne peux pas m'approcher d'elle, du moins tant ne qu'elle soit entourée de ce couple de vieilles dames, le peu qu'il lui resta de famille.
Je n'ai pas besoin de voir son visage, car, d'ici, j'ai à portée de vue ce qui m'intéresse chez elle pour le moment ; ses jambes dures, ses larges hanches qu'elle balance, je ne sais si innocemment ou non, d'un coté à l'autre lorsque son poids épuise l'une de ses jambes. Entre son torse et son bras, je peux distinguer la pointe d'un mamelon se montrant comme une langue timide lors d'un baiser. Par moment, j'aperçois un sein entier dessinant son ombre sur la poitrine et il me semble distinguer, parmi les vagues de cheveux châtains, un œil attentif qui surveille mes réactions, mais je ne peux pas m'approcher d'elle, du moins tant ne qu'elle soit entourée de ce couple de vieilles dames, le peu qu'il lui resta de famille.
Il y a deux versions – je prends la première publiée ; c'est plus simple.
Je n'ai pas besoin de voir son visage, car, d'ici, j'ai à portée de vue ce qui m'intéresse chez elle pour le moment. Ses jambes dure [grammaire + « dures » ou « fermes » ou même « solides » ?], ses larges hanches dont je ne sais si elle les balance d'un coté sur [mal dit] l'autre innocemment ou non lorsque son poids épuise l'une de ses jambes [sans doute pas facile, mais y a-t-il un moyen de ne pas répéter « jambes » ? Sinon, tant pis…]. Entre son torse [pas plus féminin avec « buste » ? Je ne sais pas…] et son bras, je peux distinguer la pointe d'un mamelon se montrant [« pointant » ?] comme une langue timide lors d'un baiser.
Faisons déjà cela.
Je n'ai pas besoin de voir son visage, car, d'ici, j'ai à portée de vue ce qui m'intéresse chez elle pour le moment. Ses jambes fermes, ses larges hanches qu'elle balance, je ne sais si innocemment ou non, d'un coté à l'autre lorsque son poids épuise l'un de ses membres inférieurs. Entre son buste et son bras, je peux distinguer la pointe d'un mamelon pointant comme une langue timide lors d'un baiser.
Je n'ai pas besoin de voir son visage, car d'ici, j'ai à portée de vue ce qui m'intéresse chez elle pour le moment. [deux points ?] Ses jambes fermes, ses larges hanches qu'elle balance, je ne sais si innocemment ou non, d'un coté à l'autre lorsque son poids épuise l'un de ses membres inférieurs [ou « cuisses » à la place de « jambes » plus haut et ici « jambes » ?]. Entre son buste et son bras, je peux distinguer la pointe d'un mamelon pointant [ah zut, je n'avais pas fait attention : « pointe » + « pointant », effectivement pas terrible… Voyez lequel des deux il faut changer] comme une langue timide lors d'un baiser.
Je n'ai pas besoin de voir son visage, car d'ici, j'ai à portée de vue ce qui m'intéresse chez elle pour le moment : ses cuisses fermes, ses larges hanches qu'elle balance, je ne sais si innocemment ou non, d'un coté à l'autre lorsque son poids épuise l'une de ses jambes. Entre son buste et son bras, je peux distinguer le bout d'un mamelon pointant comme une langue timide lors d'un baiser.
Je n'ai pas besoin de voir son visage, car d'ici, j'ai à portée de vue ce qui m'intéresse chez elle pour le moment : ses cuisses fermes, ses larges hanches qu'elle balance, je ne sais si innocemment ou non, d'un coté à l'autre lorsque son poids épuise l'une de ses jambes. Entre son buste et son bras, je peux distinguer le bout d'un mamelon pointant comme une langue timide lors d'un baiser.
OK.
Marie ?
Laura, attendez que Marie ait validé pour finir ce fragment.
Par moment, j'aperçois un sein entier dessinant son ombre sur la poitrine et il me semble distinguer, parmi les vagues de cheveux châtains, un œil attentif qui surveille mes réactions, mais je ne peux pas m'approcher d'elle, du moins tant ne qu'elle soit entourée de ce couple de vieilles dames, le peu qu'il lui resta de famille.
D'accord, mais remettez quand même le début puisqu'il me faudra copier-coller l'ensemble du bloc.
Je n'ai pas besoin de voir son visage, car d'ici, j'ai à portée de vue ce qui m'intéresse chez elle pour le moment : ses cuisses fermes, ses larges hanches qu'elle balance, je ne sais si innocemment ou non, d'un coté à l'autre lorsque son poids épuise l'une de ses jambes. Entre son buste et son bras, je peux distinguer le bout d'un mamelon pointant comme une langue timide lors d'un baiser. Par moment, j'aperçois un sein entier dessinant son ombre sur la poitrine et il me semble distinguer, parmi les vagues de cheveux châtains, un œil attentif qui surveille mes réactions, mais je ne peux pas m'approcher d'elle, du moins tant ne qu'elle soit entourée de ce couple de vieilles dames, le peu qu'il lui resta de famille.
Je n'ai pas besoin de voir son visage, car d'ici, j'ai à portée de vue ce qui m'intéresse chez elle pour le moment : ses cuisses fermes, ses larges hanches qu'elle balance, je ne sais si innocemment ou non, d'un coté à l'autre lorsque son poids épuise l'une de ses jambes. Entre son buste et son bras, je peux distinguer le bout d'un mamelon pointant comme une langue timide lors d'un baiser. Par moment, j'aperçois un sein entier [virgule ?] dessinant son ombre sur la poitrine et il me semble distinguer, parmi les vagues de cheveux châtains, un œil attentif qui surveille mes réactions, mais je ne peux pas m'approcher d'elle, du moins tant ne qu'elle soit entourée [?????] de ce couple [il s'agit d'un couple ?] de vieilles dames, le peu qu'il lui resta [pas très naturel] de famille.
Je n'ai pas besoin de voir son visage, car d'ici, j'ai à portée de vue ce qui m'intéresse chez elle pour le moment : ses cuisses fermes, ses larges hanches qu'elle balance, je ne sais si innocemment ou non, d'un coté à l'autre lorsque son poids épuise l'une de ses jambes. Entre son buste et son bras, je peux distinguer le bout d'un mamelon pointant comme une langue timide lors d'un baiser. Par moment, j'aperçois un sein entier, dessinant son ombre sur la poitrine et il me semble distinguer, parmi les vagues de cheveux châtains, un œil attentif qui surveille mes réactions, mais je ne peux pas m'approcher d'elle, du moins tant qu'elle ne soit entourée de ce duo de vieilles dames, la seule famille qu'il lui resta.
Je n'ai pas besoin de voir son visage, car d'ici, j'ai à portée de vue ce qui m'intéresse chez elle pour le moment : ses cuisses fermes, ses larges hanches qu'elle balance, je ne sais si innocemment ou non, d'un coté à l'autre lorsque son poids épuise l'une de ses jambes. Entre son buste et son bras, je peux distinguer le bout d'un mamelon pointant comme une langue timide lors d'un baiser. Par moment, j'aperçois un sein entier, dessinant son ombre sur la poitrine et il me semble distinguer, parmi les vagues de [cheville : « ses » ou inutile ? Comme vous voulez…] cheveux châtains, un œil attentif qui surveille mes réactions, mais je ne peux pas m'approcher d'elle, du moins tant qu'elle ne soit [grammaire !] entourée de ce duo de vieilles dames, la seule famille qu'il lui resta [mettez-le au présent].
Je n'ai pas besoin de voir son visage, car d'ici, j'ai à portée de vue ce qui m'intéresse chez elle pour le moment : ses cuisses fermes, ses larges hanches qu'elle balance, je ne sais si innocemment ou non, d'un coté à l'autre lorsque son poids épuise l'une de ses jambes. Entre son buste et son bras, je peux distinguer le bout d'un mamelon pointant comme une langue timide lors d'un baiser. Par moment, j'aperçois un sein entier, dessinant son ombre sur la poitrine et il me semble distinguer, parmi les vagues de cheveux châtains, un œil attentif qui surveille mes réactions, mais je ne peux pas m'approcher d'elle, du moins tant qu'elle est entourée de ce duo de vieilles dames, la seule famille qu'il lui reste.
Je n'ai pas besoin de voir son visage, car d'ici, j'ai à portée de vue ce qui m'intéresse chez elle pour le moment : ses cuisses fermes, ses larges hanches qu'elle balance, je ne sais si innocemment ou non, d'un coté à l'autre lorsque son poids épuise l'une de ses jambes. Entre son buste et son bras, je peux distinguer le bout d'un mamelon pointant comme une langue timide lors d'un baiser. Par moment, j'aperçois un sein entier, dessinant son ombre sur la poitrine et il me semble distinguer, parmi les vagues de cheveux châtains, un œil attentif qui surveille mes réactions, mais je ne peux pas m'approcher d'elle, du moins tant qu'elle est entourée de ce duo de vieilles dames, la seule famille qu'il lui reste.
OK.
Laura ?
OK.
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