Su espalda se apoya a plomo contra el tronco, sus piernas están separadas y sus manos caídas a los lados como si no desease moverlas nunca más luego de lo que exigieron las infinitas horas cargando los restos del pueblo hacía algún lugar donde no llegase la furia del río destructor de su propio cauce como sí la voluntad humana de establecerse a su margen insultase sus méritos de fertilizador de esta tierra que sin él moriría exangüe y olvidada.
Traduction temporaire :
Son dos est appuyé de tout son poids contre le tronc, ses jambes sont écartées et ses mains pendent de chaque côté, comme s'il désirait ne plus jamais les bouger après ce que lui avaient imposé ces heures interminables passées à charger les ruines du village vers un endroit où n'arriverait pas la furie du fleuve, destructeur de son propre lit, comme si la volonté humaine de s'installer sur ses rives insultait les mérites fertilisants de cette terre qui, sans lui, mourrait, exsangue et oubliée.
Son dos est appuyé de tout son poids contre le tronc, ses jambes sont écartées et ses mains pendent de chaque côté, comme s'il désirait ne plus jamais les bouger après ce que lui avaient imposé ces heures interminables passées à charger les ruines du village vers un endroit où n'arriverait pas la furie du fleuve, destructeur de son propre lit, comme si la volonté humaine de s'installer sur ses rives insultait les mérites fertilisants de cette terre qui, sans lui, mourrait, exsangue et oubliée.
13 commentaires:
Son dos est appuyé comme une masse contre le tronc, ses jambes sont écartées et ses mains pendent de chaque côté comme s'il désirait ne plus jamais les bouger après ce que lui avaient imposé ces heures interminables à entasser les ruines du village. Il en faisait un endroit où n'arriverait pas la furie du fleuve, destructeur de son propre lit, comme si la volonté humaine de s'installer sur ses rives insultait les mérites fertilisants de cette terre qui, sans lui, mourrait exténuée et oubliée.
Son dos est appuyé comme une masse [sûre de l'interprétation ?] contre le tronc, ses jambes sont écartées et ses mains pendent de chaque côté comme [2e « comme » dans la même phrase ; embêtant, mais ça dépendra un peu de vos corrections pour le début…] s'il désirait ne plus jamais les bouger après ce que lui avaient imposé ces heures interminables à entasser [FS] les ruines du village.
Faisons déjà cela.
Il en faisait un endroit où n'arriverait pas la furie du fleuve, destructeur de son propre lit, comme si la volonté humaine de s'installer sur ses rives insultait les mérites fertilisants de cette terre qui, sans lui, mourrait exténuée et oubliée.
Son dos est appuyé de tout son poids contre le tronc, ses jambes sont écartées et ses mains pendent de chaque côté comme s'il désirait ne plus jamais les bouger après ce que lui avaient imposé ces heures interminables à charger les ruines du village.
Son dos est appuyé de tout son poids contre le tronc, ses jambes sont écartées et ses mains pendent de chaque côté [virgule ?] comme s'il désirait ne plus jamais les bouger après ce que lui avaient imposé ces heures interminables [cheville : « passées » ?] à charger les ruines du village.
Son dos est appuyé de tout son poids contre le tronc, ses jambes sont écartées et ses mains pendent de chaque côté, comme s'il désirait ne plus jamais les bouger après ce que lui avaient imposé ces heures interminables passées à charger les ruines du village.
Son dos est appuyé de tout son poids contre le tronc, ses jambes sont écartées et ses mains pendent de chaque côté, comme s'il désirait ne plus jamais les bouger après ce que lui avaient imposé ces heures interminables passées à charger les ruines du village.
OK. Vous pouvez mettre la suite, mais en laissant le début, évidemment.
Son dos est appuyé de tout son poids contre le tronc, ses jambes sont écartées et ses mains pendent de chaque côté, comme s'il désirait ne plus jamais les bouger après ce que lui avaient imposé ces heures interminables passées à charger les ruines du village. Il en faisait un endroit où n'arriverait pas la furie du fleuve, destructeur de son propre lit, comme si la volonté humaine de s'installer sur ses rives insultait les mérites fertilisants de cette terre qui, sans lui, mourrait exténuée et oubliée.
Son dos est appuyé de tout son poids contre le tronc, ses jambes sont écartées et ses mains pendent de chaque côté, comme s'il désirait ne plus jamais les bouger après ce que lui avaient imposé ces heures interminables passées à charger les ruines du village.
En fait, là, je crois qu'il y a une coquille en V.O. Pas « hacía », mais « hacia ».
Il en faisait un endroit où n'arriverait pas la furie du fleuve, destructeur de son propre lit, comme si la volonté humaine de s'installer sur ses rives insultait les mérites fertilisants de cette terre qui, sans lui, mourrait exténuée et oubliée.
Son dos est appuyé de tout son poids contre le tronc, ses jambes sont écartées et ses mains pendent de chaque côté, comme s'il désirait ne plus jamais les bouger après ce que lui avaient imposé ces heures interminables passées à charger les ruines du village vers un endroit où n'arriverait pas la furie du fleuve, destructeur de son propre lit, comme si la volonté humaine de s'installer sur ses rives insultait les mérites fertilisants de cette terre qui, sans lui, mourrait exténuée et oubliée.
Son dos est appuyé de tout son poids contre le tronc, ses jambes sont écartées et ses mains pendent de chaque côté, comme s'il désirait ne plus jamais les bouger après ce que lui avaient imposé ces heures interminables passées à charger les ruines du village vers un endroit où n'arriverait pas la furie du fleuve, destructeur de son propre lit, comme si la volonté humaine de s'installer sur ses rives insultait les mérites fertilisants de cette terre qui, sans lui, mourrait [virgule] exténuée [pourquoi pas littéral ?] et oubliée.
Vous vous êtes très bien débrouillée de cette phrase pas facile.
Son dos est appuyé de tout son poids contre le tronc, ses jambes sont écartées et ses mains pendent de chaque côté, comme s'il désirait ne plus jamais les bouger après ce que lui avaient imposé ces heures interminables passées à charger les ruines du village vers un endroit où n'arriverait pas la furie du fleuve, destructeur de son propre lit, comme si la volonté humaine de s'installer sur ses rives insultait les mérites fertilisants de cette terre qui, sans lui, mourrait, exsangue et oubliée.
Son dos est appuyé de tout son poids contre le tronc, ses jambes sont écartées et ses mains pendent de chaque côté, comme s'il désirait ne plus jamais les bouger après ce que lui avaient imposé ces heures interminables passées à charger les ruines du village vers un endroit où n'arriverait pas la furie du fleuve, destructeur de son propre lit, comme si la volonté humaine de s'installer sur ses rives insultait les mérites fertilisants de cette terre qui, sans lui, mourrait, exsangue et oubliée.
OK.
Laura ?
Ok.
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