vendredi 13 février 2015

Projet Justine / Coralie – phrases 129-131

Comenzaron a sudarme las manos, el joven escritor seguía con su historia increíble de, bombas, policías y mujeres tuertas; por suerte me quedaba solo una pregunta: ¿Crees en, la literatura de masas? Yo solo pude imaginarme a los investigadores de la Policía y yo sin, poder negar nada. Las huellas, las evidencias, salir esposada de la casa, los vecinos sin entender nada. Sin dudas sería un día diferente,  al menos para mí.

Traduction temporaire :
J'ai commencé à avoir les mains moites. Le jeune écrivain poursuivait son incroyable histoire mêlant bombes, policiers et femmes borgnes ; heureusement, il ne me restait plus qu'une dernière question. Crois-tu en la littérature de masse ? Moi, je me suis juste imaginé les enquêteurs. J'étais incapable de nier quoi que ce soit : les traces, les preuves, le fait de sortir menottée de la maison, les voisins qui n'ont rien entendu. Nul doute que ce serait un jour différent – du moins, pour moi.

8 commentaires:

Justine a dit…

J'ai commencé à avoir les mains moites. Le jeune écrivain continuait à raconter son incroyable histoire mêlant bombes, policiers et femmes borgnes ; heureusement il ne me restait plus qu'une dernière question. Crois-tu en la littérature de masses ? Moi, j'ai juste réussi à m'imaginer les enquêteurs de la police. Pour ma part, impossible de nier quoi que ce soit : les traces, les preuves, le fait de sortir menottée de la maison, les voisins qui n'ont rien entendu. Nul doute que ce serait un jour différent – du moins, pour moi.

Tradabordo a dit…

J'ai commencé à avoir les mains moites. Le jeune écrivain continuait à raconter [« poursuivait » tout court ?] son incroyable histoire mêlant bombes, policiers et femmes borgnes ; heureusement [virgule] il ne me restait plus qu'une dernière question. Crois-tu en la littérature de masses [vérifie, pour le « s »] ? Moi, j'ai juste réussi à [« été capable de » ?] m'imaginer les enquêteurs de la police [naturel ?]. Pour ma part, impossible de nier quoi que ce soit : les traces, les preuves, le fait de sortir menottée de la maison, les voisins qui n'ont rien entendu. Nul doute que ce serait un jour différent – du moins, pour moi.

Justine a dit…

J'ai commencé à avoir les mains moites. Le jeune écrivain poursuivait son incroyable histoire mêlant bombes, policiers et femmes borgnes ; heureusement, il ne me restait plus qu'une dernière question. Crois-tu en la littérature de masse ? Moi, j'ai juste été capable de m'imaginer les enquêteurs. Pour ma part, impossible de nier quoi que ce soit : les traces, les preuves, le fait de sortir menottée de la maison, les voisins qui n'ont rien entendu. Nul doute que ce serait un jour différent – du moins, pour moi.

Tradabordo a dit…

J'ai commencé à avoir les mains moites. Le jeune écrivain poursuivait son incroyable histoire mêlant bombes, policiers et femmes borgnes ; heureusement, il ne me restait plus qu'une dernière question. Crois-tu en la littérature de masse ? Moi, j'ai juste été capable de m'imaginer les enquêteurs. Pour ma part [on a déjà l'insistance dans la phrase d'avant – une solution pour alléger tout ça ?], impossible de nier quoi que ce soit : les traces, les preuves, le fait de sortir menottée de la maison, les voisins qui n'ont rien entendu. Nul doute que ce serait un jour différent – du moins, pour moi.

Justine a dit…

J'ai commencé à avoir les mains moites. Le jeune écrivain poursuivait son incroyable histoire mêlant bombes, policiers et femmes borgnes ; heureusement, il ne me restait plus qu'une dernière question. Crois-tu en la littérature de masse ? Moi, j'ai juste été capable de m'imaginer les enquêteurs. J'étais incapable de nier quoi que ce soit : les traces, les preuves, le fait de sortir menottée de la maison, les voisins qui n'ont rien entendu. Nul doute que ce serait un jour différent – du moins, pour moi.

Tradabordo a dit…

J'ai commencé à avoir les mains moites. Le jeune écrivain poursuivait son incroyable histoire mêlant bombes, policiers et femmes borgnes ; heureusement, il ne me restait plus qu'une dernière question. Crois-tu en la littérature de masse ? Moi, j'ai juste été capable de m'imaginer les enquêteurs. J'étais incapable [pas génial, avec le « capable » de la phrase d'avant] de nier quoi que ce soit : les traces, les preuves, le fait de sortir menottée de la maison, les voisins qui n'ont rien entendu. Nul doute que ce serait un jour différent – du moins, pour moi.

Justine a dit…

J'ai commencé à avoir les mains moites. Le jeune écrivain poursuivait son incroyable histoire mêlant bombes, policiers et femmes borgnes ; heureusement, il ne me restait plus qu'une dernière question. Crois-tu en la littérature de masse ? Moi, je me suis juste imaginé les enquêteurs. J'étais incapable de nier quoi que ce soit : les traces, les preuves, le fait de sortir menottée de la maison, les voisins qui n'ont rien entendu. Nul doute que ce serait un jour différent – du moins, pour moi.

Tradabordo a dit…

J'ai commencé à avoir les mains moites. Le jeune écrivain poursuivait son incroyable histoire mêlant bombes, policiers et femmes borgnes ; heureusement, il ne me restait plus qu'une dernière question. Crois-tu en la littérature de masse ? Moi, je me suis juste imaginé les enquêteurs. J'étais incapable de nier quoi que ce soit : les traces, les preuves, le fait de sortir menottée de la maison, les voisins qui n'ont rien entendu. Nul doute que ce serait un jour différent – du moins, pour moi.

OK.