Entonces desliza su espalda contra el pecho que la acoge, lentamente al principio y luego sin timidez hasta dejar su cabeza recostada contra la ingle de su dulce amigo. El dirige las manos hacia sus sienes, las masajea con movimientos largos, intensos.
Traduction temporaire :
Alors, elle glisse son dos contre le torse qui l’accueille, lentement au début, puis sans timidité, jusqu'à laisser sa tête reposer sur l'aine de son tendre ami. Il dirige ses mains vers les siennes, les masse avec des mouvements amples, intenses.
Alors, elle glisse son dos contre le torse qui l’accueille, lentement au début, puis sans timidité, jusqu'à laisser sa tête reposer sur l'aine de son tendre ami. Il dirige ses mains vers les siennes, les masse avec des mouvements amples, intenses.
6 commentaires:
Alors elle glisse son dos contre le torse qu'il l’accueille, lentement au début puis sans timidité, jusqu'à laisser sa tête s'appuyer sur l'aine de son tendre ami. Il oriente ses mains vers les siennes, les masse d'un mouvement ample, intense.
Alors [virgule] elle glisse son dos contre le torse qu'il [incorrect] l’accueille, lentement au début [virgule] puis sans timidité, jusqu'à laisser sa tête s'appuyer [« reposer » ?] sur l'aine de son tendre ami. Il oriente [mal dit] ses mains vers les siennes, les masse d'un mouvement [au pluriel en V.O.] ample, intense.
Alors, elle glisse son dos contre le torse qui l’accueille, lentement au début, puis sans timidité, jusqu'à laisser sa tête se reposer sur l'aine de son tendre ami. Il dirige ses mains vers les siennes, les masse par des mouvements amples, intenses.
Alors, elle glisse son dos contre le torse qui l’accueille, lentement au début, puis sans timidité, jusqu'à laisser sa tête se [non] reposer sur l'aine de son tendre ami. Il dirige ses mains vers les siennes, les masse par [« avec » ?] des mouvements amples, intenses.
Alors, elle glisse son dos contre le torse qui l’accueille, lentement au début, puis sans timidité, jusqu'à laisser sa tête reposer sur l'aine de son tendre ami. Il dirige ses mains vers les siennes, les masse avec des mouvements amples, intenses.
Alors, elle glisse son dos contre le torse qui l’accueille, lentement au début, puis sans timidité, jusqu'à laisser sa tête reposer sur l'aine de son tendre ami. Il dirige ses mains vers les siennes, les masse avec des mouvements amples, intenses.
OK.
Marie ?
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