vendredi 13 mars 2015

Projet Nathalie 4 – phrases 18-21

Ni modo, dijo doña Silvia, cada pinche centímetro del suelo del Eje Central vale una buena lana. Si estás dispuesto a chingarle, te doy un lugar pero, eso sí, ya sabes en cuánto te va a salir; y otra cosa, yo decido qué mercancía vas a vender. Mientras hablaba, doña Silvia recorría el sendero entre dos filas de puestos. Los vendedores ambulantes la saludaban con respeto, agachando ligeramente la cabeza a su paso.

Traduction temporaire :
Pas question ! dit doña Silvia. Chaque putain de centimètre du sol de l'Axe Central vaut un sacré paquet de pognon ! Si tu es prêt à trimer, je te donne un emplacement, mais, ça par contre, tu sais bien combien ça va te coûter ; et sinon, c'est moi qui décide quelle marchandise tu vendras. Pendant qu'elle parlait, doña Silvia parcourait le sentier entre deux rangées de marchands. Les vendeurs ambulants la saluaient avec respect, baissant légèrement la tête sur son passage.

18 commentaires:

Unknown a dit…

Pas question! dit doña Silvia. Chaque putain de centimètre du sol de l'Axe Central vaut un sacré pognon! Si tu es prêt à le foutre en l'air, je te donne un emplacement, mais, ça oui, tu sais bien combien ça va te coûter; et autre chose, je décide quelle marchandise tu vas vendre. Pendant qu'elle parlait, doña Silvia parcourait le sentier entre deux rangées de marchands. Les vendeurs ambulants la saluaient avec respect, baissant légèrement la tête à son passage.

Tradabordo a dit…

Rétablissez vos espaces.

Unknown a dit…

Pas question ! dit doña Silvia. Chaque putain de centimètre du sol de l'Axe Central vaut un sacré pognon ! Si tu es prêt à le foutre en l'air, je te donne un emplacement, mais, ça oui, tu sais bien combien ça va te coûter ; et autre chose, je décide quelle marchandise tu vas vendre. Pendant qu'elle parlait, doña Silvia parcourait le sentier entre deux rangées de marchands. Les vendeurs ambulants la saluaient avec respect, baissant légèrement la tête à son passage.

Tradabordo a dit…

Pas question ! dit doña Silvia. Chaque putain de centimètre du sol de l'Axe Central vaut un sacré [cheville : « paquet de » ? Comme vous voulez…] pognon ! Si tu es prêt à le [?] foutre en l'air, je te donne un emplacement, mais, ça oui [« par contre »], tu sais bien combien ça va te coûter ; et autre chose [« sinon » ?], je décide [ou avec « c'est moi qui… » ? À vous de voir…] quelle marchandise tu vas vendre. Pendant qu'elle parlait, doña Silvia parcourait le sentier entre deux rangées de marchands. Les vendeurs ambulants la saluaient avec respect, baissant légèrement la tête à [« sur » ? Vérifiez] son passage.

Unknown a dit…

Pas question ! dit doña Silvia. Chaque putain de centimètre du sol de l'Axe Central vaut un sacré paquet de pognon ! Si tu es prêt à le gaspiller, je te donne un emplacement, mais, ça par contre, tu sais bien combien ça va te coûter ; et sinon, c'est moi qui décide quelle marchandise tu vas vendre. Pendant qu'elle parlait, doña Silvia parcourait le sentier entre deux rangées de marchands. Les vendeurs ambulants la saluaient avec respect, baissant légèrement la tête sur son passage.

Tradabordo a dit…

Pas question ! dit doña Silvia. Chaque putain de centimètre du sol de l'Axe Central vaut un sacré paquet de pognon ! Si tu es prêt à le gaspiller [« flinguer » / « niquer » / « bousiller » ? C'est quoi l'idée ?????????], je te donne un emplacement, mais, ça par contre, tu sais bien combien ça va te coûter ; et sinon, c'est moi qui décide quelle marchandise tu vas [on a déjà « va » avant ; un moyen d'en éliminer un des deux ?] vendre. Pendant qu'elle parlait, doña Silvia parcourait le sentier entre deux rangées de marchands. Les vendeurs ambulants la saluaient avec respect, baissant légèrement la tête sur son passage.

Unknown a dit…

Pas question ! dit doña Silvia. Chaque putain de centimètre du sol de l'Axe Central vaut un sacré paquet de pognon ! Si tu es prêt à le bousiller, je te donne un emplacement, mais, ça par contre, tu sais bien combien ça va te coûter ; et sinon, c'est moi qui décide quelle marchandise tu vendras. Pendant qu'elle parlait, doña Silvia parcourait le sentier entre deux rangées de marchands. Les vendeurs ambulants la saluaient avec respect, baissant légèrement la tête sur son passage.

Tradabordo a dit…

Pas question ! dit doña Silvia. Chaque putain de centimètre du sol de l'Axe Central vaut un sacré paquet de pognon ! Si tu es prêt à le bousiller [OK, mais en fait, je ne comprends pas pourquoi elle lui dit ça… Dans le sens de « ça va déchirer » ? Demandez quand même à l'une de nos chères hispanophones… C'est un cubanisme, mais bon…], je te donne un emplacement, mais, ça par contre, tu sais bien combien ça va te coûter ; et sinon, c'est moi qui décide quelle marchandise tu vendras. Pendant qu'elle parlait, doña Silvia parcourait le sentier entre deux rangées de marchands. Les vendeurs ambulants la saluaient avec respect, baissant légèrement la tête sur son passage.

Unknown a dit…

J'ai demandé l'avis de Silvia et Tere, elles pensent comme moi. Moi, la question que je me suis posée au départ, c'est : pourquoi a t-on "chingarLE" et non pas "chingarLO". J'ai supposé que c'était un cas de léismo.

Tradabordo a dit…

Attendez, je demande son avis à quelqu'un d'autre. Ça me tracasse et je veux être sûre.

Elena a dit…

Bonjour,
Je pense que "chingar", dans ce cas précis, signifie : "travailler", dans un registre très familier.

Tradabordo a dit…

Merci, Elena.
Nathalie ?

Unknown a dit…

Petit mémo pour que vous retrouviez mes commentaires précédents !

Tradabordo a dit…

Eh bien, Elena vous a répondu ; maintenant, regardez ce qu'elle dit et voyez ce que ça donne dans votre trad – cf commentaires précédents.

Unknown a dit…

J'avais posté un commentaire juste après, je pensais à trimer.

Tradabordo a dit…

Pas vu. Mais de toute façon, pour pouvoir évaluer, j'ai besoin de voir en situation. Mettez dans le fragment.

Unknown a dit…

Pas question ! dit doña Silvia. Chaque putain de centimètre du sol de l'Axe Central vaut un sacré paquet de pognon ! Si tu es prêt à trimer, je te donne un emplacement, mais, ça par contre, tu sais bien combien ça va te coûter ; et sinon, c'est moi qui décide quelle marchandise tu vendras. Pendant qu'elle parlait, doña Silvia parcourait le sentier entre deux rangées de marchands. Les vendeurs ambulants la saluaient avec respect, baissant légèrement la tête sur son passage.

Tradabordo a dit…

Merci, Elena.

Pas question ! dit doña Silvia. Chaque putain de centimètre du sol de l'Axe Central vaut un sacré paquet de pognon ! Si tu es prêt à trimer, je te donne un emplacement, mais, ça par contre, tu sais bien combien ça va te coûter ; et sinon, c'est moi qui décide quelle marchandise tu vendras. Pendant qu'elle parlait, doña Silvia parcourait le sentier entre deux rangées de marchands. Les vendeurs ambulants la saluaient avec respect, baissant légèrement la tête sur son passage.

OK.