"Procuraremos tener a nuestros lectores al corriente de cuanto se sepa a propósito de este misterioso hecho." No decía más la crónica roja del Diario de la Tarde. Yo no sé en qué estado de ánimo me encontraba entonces. Lo cierto es que reí a satisfacción. ¡Un hombre muerto a puntapiés! Era lo más gracioso, lo más hilarante de cuanto para mí podía suceder. Esperé hasta el otro día en que hojeé anhelosamente el Diario, pero acerca de mi hombre no había una línea. Al siguiente tampoco. Creo que después de diez días nadie se acordaba de lo ocurrido entre Escobedo y García.
Traduction temporaire :
« Nous essaierons de transmettre à nos lecteurs toute information supplémentaire quant à ce mystérieux événement. » La rubrique des faits divers du Journal du Soir ne disait rien de plus. Je ne sais pas dans quel état d'esprit je me trouvais à ce moment-là. Ce qui est sûr, c'est que j'ai ri aux larmes. Un homme tué à coups de pied ! C'était ce qu'il y avait de plus drôle, de plus hilarant de tout ce que je pouvais imaginer. J'ai attendu jusqu'au lendemain pour feuilleter avidement le Journal, mais pas une ligne sur mon homme. Le surlendemain non plus. Je crois que dix jours plus tard, personne ne se souvenait de ce qu'il s'était passé entre Escobedo et García.
« Nous essaierons de transmettre à nos lecteurs toute information supplémentaire quant à ce mystérieux événement. » La rubrique des faits divers du Journal du Soir ne disait rien de plus. Je ne sais pas dans quel état d'esprit je me trouvais à ce moment-là. Ce qui est sûr, c'est que j'ai ri aux larmes. Un homme tué à coups de pied ! C'était ce qu'il y avait de plus drôle, de plus hilarant de tout ce que je pouvais imaginer. J'ai attendu jusqu'au lendemain pour feuilleter avidement le Journal, mais pas une ligne sur mon homme. Le surlendemain non plus. Je crois que dix jours plus tard, personne ne se souvenait de ce qu'il s'était passé entre Escobedo et García.
4 commentaires:
Annelise L
« Nous essaierons de donner des nouvelles de ce mystérieux événement à nos lecteurs. » La rubrique de faits divers du Journal du Soir ne disait rien de plus. Je ne sais pas dans quel état d'esprit je me trouvais à ce moment-là. Ce qui est sûr, c'est que j'ai ri aux larmes. Un homme tué à coups de pied ! C'était ce qu'il y avait de plus drôle, de plus hilarant de tout ce que je pouvais imaginer. J'ai attendu jusqu'au lendemain pour feuilleter avidement le Journal, mais pas une ligne ne figurait sur mon homme. Le surlendemain non plus. Je crois que dix jours plus tard, personne ne se souvenait de ce qu'il s'était passé entre Escobedo et García.
(J'ai l'impression que le collage de la phrase précédente n'a pas fonctionné dans "textes en cours".)
OK. Je m'en occupe.
Nous essaierons de donner des nouvelles [bof ; pas très adapté ici] de ce mystérieux événement à nos lecteurs. » La rubrique de [« des » ?] faits divers du Journal du Soir ne disait rien de plus. Je ne sais pas dans quel état d'esprit je me trouvais à ce moment-là. Ce qui est sûr, c'est que j'ai ri aux larmes. Un homme tué à coups de pied ! C'était ce qu'il y avait de plus drôle, de plus hilarant de tout ce que je pouvais imaginer. J'ai attendu jusqu'au lendemain pour feuilleter avidement le Journal, mais pas une ligne ne figurait [nécessaire ?] sur mon homme. Le surlendemain non plus. Je crois que dix jours plus tard, personne ne se souvenait de ce qu'il s'était passé entre Escobedo et García.
Annelise L
« Nous essaierons de transmettre à nos lecteurs toute information supplémentaire quant à ce mystérieux événement. » La rubrique des faits divers du Journal du Soir ne disait rien de plus. Je ne sais pas dans quel état d'esprit je me trouvais à ce moment-là. Ce qui est sûr, c'est que j'ai ri aux larmes. Un homme tué à coups de pied ! C'était ce qu'il y avait de plus drôle, de plus hilarant de tout ce que je pouvais imaginer. J'ai attendu jusqu'au lendemain pour feuilleter avidement le Journal, mais pas une ligne sur mon homme. Le surlendemain non plus. Je crois que dix jours plus tard, personne ne se souvenait de ce qu'il s'était passé entre Escobedo et García.
« Nous essaierons de transmettre à nos lecteurs toute information supplémentaire quant à ce mystérieux événement. » La rubrique des faits divers du Journal du Soir ne disait rien de plus. Je ne sais pas dans quel état d'esprit je me trouvais à ce moment-là. Ce qui est sûr, c'est que j'ai ri aux larmes. Un homme tué à coups de pied ! C'était ce qu'il y avait de plus drôle, de plus hilarant de tout ce que je pouvais imaginer. J'ai attendu jusqu'au lendemain pour feuilleter avidement le Journal, mais pas une ligne sur mon homme. Le surlendemain non plus. Je crois que dix jours plus tard, personne ne se souvenait de ce qu'il s'était passé entre Escobedo et García.
OK.
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