dimanche 10 janvier 2016

Projet Fanny – phrases 203-215

¿Pero qué te pasa? —gritó ella sin poder contenerse ya—. ¡Claro que no soy yo, Josef! ¿Quieres volver a mirar la foto? ¡Jamás en mi vida he estado ingresada en un hospital, mucho menos en ese estado! ¿Quieres dejar de decir gilipolleces?
—Hicimos muchas fotos de esos meses, pero un día me pediste que las rompiese todas, que no querías que te recordase así —continuó él sin escucharle—. Querías que te recordase siempre como en la universidad, como cuando nos conocimos. Y casi cumplí tu deseo, pero ésta… —Josef empezó a levantar el tono, indignado—. ¿Cómo pensabas que iba a poder romperlas todas? Por mucho que ya hubiese decidido pasar página, ¡que ya supiese lo que había que hacer, lo que yo tenía que hacer! ¡No quería olvidarlo, no quería olvidarme de ti!

Traduction temporaire :
— Mais qu'est-ce qui te prend ? cria-t-elle sans pouvoir se contenir plus longtemps. Évidemment que c'est pas moi, Josef ! Tu veux bien regarder la photo à nouveau ? Je n'ai jamais été admise dans un hôpital de toute ma vie, encore moins dans cet état ! Arrête de dire toutes ces bêtises ?

— Nous avons pris plein de photos pendant cette période-là, mais un jour, tu m'as demandé de toutes les déchirer, parce que tu refusais que je me souvienne de toi ainsi, continua-t-il sans l'écouter. Tu exigeais que je me souvienne de toi comme tu étais à l'université, comme quand on s'était rencontrés. Et j'ai presque respecté ta volonté, mais celle-là… Josef commença à hausser le ton, indigné. Comment as-tu pu croire que j'allais m'exécuter ? J'avais beau avoir déjà décidé de tourner la page, je ne savais pas ce qu'il fallait faire, ce que moi je devais faire ! Il était hors de question que je l'oublie, que je t'oublie !

9 commentaires:

anagranada a dit…

-Mais qu'est-ce qui te prend?-cria-t'elle sans maintenant pouvoir se contenir. Bien sûr que non que ce n'est pas moi, Joseph! Tu veux bien regarder à nouveau la photo? Je n'ai jamais été hospitalisée de ma vie et encore moins dans cet état-là! Tu veux bien arrêter de dire des bêtises!
-Nous avions pris beaucoup de photos ces mois-là mais un jour tu m'as demandé de toutes les déchirer, tu ne voulais pas que je me souvienne de toi ainsi-continua-t'il sans l'écouter. Tu voulais que je me souvienne toujours de toi comme à l'université, comme quand on s'est rencontré. Et j'ai presque respecté ta volonté, mais celle-là...
Joseph,indigné,commença à lever le ton.-Comment as-tu pu penser que j'allais toutes les déchirer? J'aurais eu beau décider de tourner la page, est-ce que j'aurai su ce qu'il fallait faire, ce que je devais faire? Je ne voulais pas l'oublier, je ne voulais pas t'oublier!

Tradabordo a dit…

Fanny, est-ce vous ?

Fanny JAY a dit…

Ah non, ça n'est pas moi...

Je suis en période d'examens en ce moment, je ne prends pas le temps de traduire. Je m'y remets très très très bientôt!!

Désolée.

Fanny

Fanny JAY a dit…

— Mais qu'est-ce qui te prend ? cria-t-elle sans pouvoir se contenir plus longtemps. Bien sûr que ça n'est pas moi, Josef ! Tu veux bien regarder la photo à nouveau ? Je n'ai jamais été admise dans un hôpital de toute ma vie, encore moins dans cet état ! Tu peux arrêter de dire des conneries ?
— Nous avons pris plein de photos de ces mois-là, mais un jour tu m'as demandé de toutes les déchirer, parce que tu ne voulais pas je me souvienne de toi ainsi, continua-t-il sans l'écouter. Tu voulais que je me souvienne de toi comme tu étais à l'université, comme quand on s'était rencontrés. Et j'ai presque respecté ta volonté, mais celle-là… Josef commença à hausser le ton, indigné. Comment croyais-tu que j'allais pouvoir toutes les déchirer ? Même si j'avais décidé de tourner la page, je ne savais pas ce qu'il fallait faire, ce que moi je devais faire ! Je ne voulais pas l'oublier, je ne voulais pas t'oublier !

Tradabordo a dit…

Ne vous inquiétez pas ; j'ai été moi-même très occupée…

— Mais qu'est-ce qui te prend ? cria-t-elle sans pouvoir se contenir plus longtemps. Bien sûr que [le début n'est pas très naturel ; n'oubliez pas qu'avec les dialogues, il faut les prononcer à voix haute pour être sûre que ça passe…] ça n'est pas moi, Josef ! Tu veux bien regarder la photo à nouveau ? Je n'ai jamais été admise dans un hôpital de toute ma vie, encore moins dans cet état ! Tu peux arrêter de dire des conneries [trop fort] + je me demande s'il ne manque pas une petite cheville pour équilibrer la phrase ?
— Nous avons pris plein de photos de [?] ces mois-là, mais un jour [virgule] tu m'as demandé de toutes les déchirer, parce que tu ne voulais [il y en a déjà un plus haut] pas je me souvienne de toi ainsi, continua-t-il sans l'écouter. Tu voulais que je me souvienne de toi comme tu étais à l'université, comme quand on s'était rencontrés. Et j'ai presque respecté ta volonté, mais celle-là… Josef commença à hausser le ton, indigné. Comment croyais-tu que j'allais pouvoir toutes les déchirer [manque de naturel] ? Même si j'avais [vous n'avez pas traduit ce que dit la V.O.] décidé de tourner la page, je ne savais pas ce qu'il fallait faire, ce que moi je devais faire ! Je ne voulais pas l'oublier, je ne voulais pas t'oublier !

Fanny JAY a dit…

— Mais qu'est-ce qui te prend ? cria-t-elle sans pouvoir se contenir plus longtemps. C'est évident que ça n'est pas moi, Josef ! Tu veux bien regarder la photo à nouveau ? Je n'ai jamais été admise dans un hôpital de toute ma vie, encore moins dans cet état ! Tu peux arrêter de dire toutes ces bêtises ?
— Nous avons pris plein de photos ces mois-là, mais un jour, tu m'as demandé de toutes les déchirer, parce que tu ne souhaitais pas je me souvienne de toi ainsi, continua-t-il sans l'écouter. Tu voulais que je me souvienne de toi comme tu étais à l'université, comme quand on s'était rencontrés. Et j'ai presque respecté ta volonté, mais celle-là… Josef commença à hausser le ton, indigné. Comment as-tu pu croire que j'allais toutes les déchirer ? Même si j'avais déjà décidé de tourner la page, je ne savais pas ce qu'il fallait faire, ce que moi je devais faire ! Je ne voulais pas l'oublier, je ne voulais pas t'oublier !

Tradabordo a dit…

— Mais qu'est-ce qui te prend ? cria-t-elle sans pouvoir se contenir plus longtemps. C'est évident que ça n'est pas moi [« Évidemment que c'est pas moi » ?], Josef ! Tu veux bien regarder la photo à nouveau ? Je n'ai jamais été admise dans un hôpital de toute ma vie, encore moins dans cet état ! Tu peux [nécessaire ?] arrêter de dire toutes ces bêtises ?
— Nous avons pris plein de photos [« pendant »] ces mois-là [« cette période-là » ?], mais un jour, tu m'as demandé de toutes les déchirer, parce que tu ne souhaitais pas [pas plus naturel avec « refusais » ?] je me souvienne de toi ainsi, continua-t-il sans l'écouter. Tu voulais [« Tu exigeais » ?] que je me souvienne de toi comme tu étais à l'université, comme quand on s'était rencontrés. Et j'ai presque respecté ta volonté, mais celle-là… Josef commença à hausser le ton, indigné. Comment as-tu pu croire que j'allais toutes les déchirer [un moyen de ne pas répéter ?] ? Même si [pas le sens de la V.O.] j'avais déjà décidé de tourner la page, je ne savais pas ce qu'il fallait faire, ce que moi je devais faire ! Je ne voulais avec [« hors de question » ?] pas l'oublier, je ne voulais pas t'oublier !

Fanny JAY a dit…

— Mais qu'est-ce qui te prend ? cria-t-elle sans pouvoir se contenir plus longtemps. Évidemment que c'est pas moi, Josef ! Tu veux bien regarder la photo à nouveau ? Je n'ai jamais été admise dans un hôpital de toute ma vie, encore moins dans cet état ! Arrête de dire toutes ces bêtises ?
— Nous avons pris plein de photos pendant cette période-là, mais un jour, tu m'as demandé de toutes les déchirer, parce que tu refusais que je me souvienne de toi ainsi, continua-t-il sans l'écouter. Tu exigeais que je me souvienne de toi comme tu étais à l'université, comme quand on s'était rencontrés. Et j'ai presque respecté ta volonté, mais celle-là… Josef commença à hausser le ton, indigné. Comment as-tu pu croire que j'allais m'exécuter ? J'avais beau avoir déjà décidé de tourner la page, je ne savais pas ce qu'il fallait faire, ce que moi je devais faire ! Il était hors de question que je l'oublie, que je t'oublie !

Tradabordo a dit…

— Mais qu'est-ce qui te prend ? cria-t-elle sans pouvoir se contenir plus longtemps. Évidemment que c'est pas moi, Josef ! Tu veux bien regarder la photo à nouveau ? Je n'ai jamais été admise dans un hôpital de toute ma vie, encore moins dans cet état ! Arrête de dire toutes ces bêtises ?
— Nous avons pris plein de photos pendant cette période-là, mais un jour, tu m'as demandé de toutes les déchirer, parce que tu refusais que je me souvienne de toi ainsi, continua-t-il sans l'écouter. Tu exigeais que je me souvienne de toi comme tu étais à l'université, comme quand on s'était rencontrés. Et j'ai presque respecté ta volonté, mais celle-là… Josef commença à hausser le ton, indigné. Comment as-tu pu croire que j'allais m'exécuter ? J'avais beau avoir déjà décidé de tourner la page, je ne savais pas ce qu'il fallait faire, ce que moi je devais faire ! Il était hors de question que je l'oublie, que je t'oublie !

OK.