jeudi 21 janvier 2016

Projet Fanny – phrases 216-225

Roslin le miraba incrédula, cabreada, sorprendida.
—No soy yo, ¿no lo entiendes? Ella no soy yo.
—¡Cállate! —gritó él, agarrándola por el brazo con más fuerza de la que era su intención—. Ya me rompiste el corazón una vez. Aguanté a tu lado mientras te consumías poco a poco, sin ánimo y sin esperanzas, alentándote a reír, a vivir el tiempo que yo necesitaba. Y verte así fue el trance más amargo de mi vida, ¡así que cállate de una puta vez!
Roslin se echó hacia atrás con fuerza para soltarse del brazo de él. Había pánico y espanto en su mirada, porque nunca había visto en los ojos de él la desesperación que reflejaban ahora.
—Josef, cálmate y cuéntame de qué estás hablando.

Traduction temporaire :

Roslin le regardait, incrédule, en colère, surprise.
— Non, ça n'est pas moi, tu comprends pas ? Cette fille n'est pas moi.
— Tais-toi ! cria-t-il, l'attrapant par le bras avec plus de force qu'il ne le voulait. Tu m'as déjà brisé le cœur une fois. J'ai enduré tout cela tandis que tu te consumais, petit à petit, sans volonté et sans espoir. Je t'ai encouragé à rire, à vivre le temps dont moi, j'avais besoin. Et te voir comme ça a été le plus dur moment de ma vie. Alors tais-toi, maintenant !
Roslin recula avec force pour libérer son bras. Il y avait de la panique et de la peur dans son regard, parce qu'elle n'avait jamais vu dans ses yeux le désespoir qu'ils reflétaient aujourd'hui.
— Josef, calme-toi et dis-moi de quoi tu parles.

4 commentaires:

Fanny JAY a dit…

Roslin le regardait incrédule, en colère, surprise.
— Non, ça n'est pas moi, tu ne comprends pas ? Elle n'est pas moi.
— Tais-toi ! cria-t-il, l'attrapant par le bras avec plus de force qu'il ne le voulait. Tu m'as déjà brisé le cœur une fois. J'ai enduré tout cela tandis que tu te consumais, petit à petit, sans volonté et sans espoir. Je t'ai encouragé à rire, à vivre le temps dont moi, j'avais besoin. Et te voir comme ça a été le plus dur moment de ma vie. Alors tais-toi, maintenant!
Roslin se jeta en arrière avec force pour libérer son bras. Il y avait de la panique et de la peur dans son regard, parce qu'elle n'avait jamais vu dans ses yeux le désespoir qu'ils reflétaient aujourd'hui.
— Josef, calmes-toi et dis-moi de quoi tu parles.

Tradabordo a dit…

Roslin le regardait [virgule] incrédule, en colère, surprise.
— Non, ça n'est pas moi, tu ne [nécessaire ?] comprends pas ? Elle [« Cette fille » ?] n'est pas moi.
— Tais-toi ! cria-t-il, l'attrapant par le bras avec plus de force qu'il ne le voulait. Tu m'as déjà brisé le cœur une fois. J'ai enduré tout cela tandis que tu te consumais, petit à petit, sans volonté et sans espoir. Je t'ai encouragé à rire, à vivre le temps dont moi, j'avais besoin. Et te voir comme ça a été le plus dur moment de ma vie. Alors tais-toi, maintenant[espace]!
Roslin se jeta en arrière [« recula »] avec force pour libérer son bras. Il y avait de la panique et de la peur dans son regard, parce qu'elle n'avait jamais vu dans ses yeux le désespoir qu'ils reflétaient aujourd'hui.
— Josef, calmes[grammaire !]-toi et dis-moi de quoi tu parles.

Fanny JAY a dit…

Roslin le regardait, incrédule, en colère, surprise.
— Non, ça n'est pas moi, tu comprends pas ? Cette fille n'est pas moi.
— Tais-toi ! cria-t-il, l'attrapant par le bras avec plus de force qu'il ne le voulait. Tu m'as déjà brisé le cœur une fois. J'ai enduré tout cela tandis que tu te consumais, petit à petit, sans volonté et sans espoir. Je t'ai encouragé à rire, à vivre le temps dont moi, j'avais besoin. Et te voir comme ça a été le plus dur moment de ma vie. Alors tais-toi, maintenant !
Roslin recula avec force pour libérer son bras. Il y avait de la panique et de la peur dans son regard, parce qu'elle n'avait jamais vu dans ses yeux le désespoir qu'ils reflétaient aujourd'hui.
— Josef, calme-toi et dis-moi de quoi tu parles.

Tradabordo a dit…

Roslin le regardait, incrédule, en colère, surprise.
— Non, ça n'est pas moi, tu comprends pas ? Cette fille n'est pas moi.
— Tais-toi ! cria-t-il, l'attrapant par le bras avec plus de force qu'il ne le voulait. Tu m'as déjà brisé le cœur une fois. J'ai enduré tout cela tandis que tu te consumais, petit à petit, sans volonté et sans espoir. Je t'ai encouragé à rire, à vivre le temps dont moi, j'avais besoin. Et te voir comme ça a été le plus dur moment de ma vie. Alors tais-toi, maintenant !
Roslin recula avec force pour libérer son bras. Il y avait de la panique et de la peur dans son regard, parce qu'elle n'avait jamais vu dans ses yeux le désespoir qu'ils reflétaient aujourd'hui.
— Josef, calme-toi et dis-moi de quoi tu parles.

OK.