Como en algún momento les sucede a casi todas las personas, experimenté por esa época la extrañeza y la desolación de comprender que la vida no es más que una constante sucesión de extravíos. Vivimos, atesoramos ideas, imágenes y sentimientos, y los perdemos. Perdemos, junto con la inocencia, el rubor de las mejillas. Perdemos lo tangible y lo intangible: la ilusión, los sueños, los viejos juguetes de la infancia. Y también perdemos casas enteras.
Traduction temporaire :
À un moment ou à un autre, ça nous arrive à presque tous ; moi, c'est à cette époque-là que je ressentis de l'étonnement et de la désolation en comprenant que la vie n'est rien qu'une éternelle succession de pertes. On vit, on accumule des idées, des images, des sentiments, puis on les perd. En même temps que notre innocence, le rouge de nos joues s'efface. On perd ce qui est tangible et ce qui ne l'est pas : notre illusion, nos rêves, les vieux jouets de notre enfance. Et nous perdons aussi des maisons entières.
À un moment ou à un autre, ça nous arrive à presque tous ; moi, c'est à cette époque-là que je ressentis de l'étonnement et de la désolation en comprenant que la vie n'est rien qu'une éternelle succession de pertes. On vit, on accumule des idées, des images, des sentiments, puis on les perd. En même temps que notre innocence, le rouge de nos joues s'efface. On perd ce qui est tangible et ce qui ne l'est pas : notre illusion, nos rêves, les vieux jouets de notre enfance. Et nous perdons aussi des maisons entières.
22 commentaires:
Comme ça arrive à presque tout le monde à un moment donné, à l'époque, j'avais ressenti de l'étonnement et du désespoir en comprenant que la vie n'est autre qu'une succession constante de pertes. On vit, on accumule des idées, des images, des sentiments, puis on les perd. En même temps que notre innocence, on perd le rouge sur nos joues. On perd ce qui est tangible et ce qui est intangible : notre illusion, nos rêves, les vieux jouets de notre enfance. Et nous perdons aussi nos maisons entières.
Comme ça arrive à presque tout le monde à un moment donné, à l'époque, j'avais ressenti de l'étonnement et du désespoir en comprenant que la vie n'est autre qu'une constante succession de pertes. On vit, on accumule des idées, des images, des sentiments, puis on les perd. En même temps que notre innocence, on perd le rouge sur nos joues. On perd ce qui est tangible et ce qui est intangible : notre illusion, nos rêves, les vieux jouets de notre enfance. Et nous perdons aussi nos maisons entières.
Comme ça arrive à presque tout le monde à un moment donné [mets ça après le « comme »], à l'époque, j'avais ressenti de l'étonnement et du désespoir en comprenant que la vie n'est autre qu'une constante succession de pertes. On vit, on accumule des idées, des images, des sentiments, puis on les perd. En même temps que notre innocence, on perd le rouge sur nos joues. On perd ce qui est tangible et ce qui est intangible : notre illusion, nos rêves, les vieux jouets de notre enfance. Et nous perdons aussi nos maisons entières.
Comme à un moment donné ça arrive à presque tout le monde, à l'époque, j'avais ressenti de l'étonnement et du désespoir en comprenant que la vie n'est autre qu'une constante succession de pertes. On vit, on accumule des idées, des images, des sentiments, puis on les perd. En même temps que notre innocence, on perd le rouge sur nos joues. On perd ce qui est tangible et ce qui est intangible : notre illusion, nos rêves, les vieux jouets de notre enfance. Et nous perdons aussi nos maisons entières.
Comme à un moment donné ça arrive à presque tout le monde, à l'époque, j'avais ressenti de l'étonnement et du désespoir en comprenant que la vie n'est autre qu'une constante succession de pertes.
Ecoute, c'est super bancal. Mets de deux points et ça devrait te permettre de faire un peu de ménage.
On vit, on accumule des idées, des images, des sentiments, puis on les perd. En même temps que notre innocence, on perd le rouge sur nos joues. On perd ce qui est tangible et ce qui est intangible : notre illusion, nos rêves, les vieux jouets de notre enfance. Et nous perdons aussi nos maisons entières.
Ne comprenant pas vraiment où tu souhaitais que je mette deux points, j'ai tenté quelques aménagements au niveau de la syntaxe et j'ai essayé de clarifier les choses.
À l'époque, en comprenant que la vie n'était qu'une constante succession de pertes, – on en prend tous conscience à un moment – j'avais ressenti de l'étonnement et du désespoir. On vit, on accumule des idées, des images, des sentiments, puis on les perd. En même temps que notre innocence, on perd le rouge sur nos joues. On perd ce qui est tangible et ce qui est intangible : notre illusion, nos rêves, les vieux jouets de notre enfance. Et nous perdons aussi nos maisons entières.
Genre = à un moment ou à un autre, ça nous arrive tous ; moi, c'est à cette époque que…
Merci.
À un moment ou à un autre, ça nous arrive à tous ; moi, c'est à cette époque-là qu'en comprenant que la vie n'était qu'une constante succession de pertes, j'avais ressenti de l'étonnement et du désespoir. On vit, on accumule des idées, des images, des sentiments, puis on les perd. En même temps que notre innocence, on perd le rouge sur nos joues. On perd ce qui est tangible et ce qui est intangible : notre illusion, nos rêves, les vieux jouets de notre enfance. Et nous perdons aussi des maisons entières.
À un moment ou à un autre, ça nous arrive à tous [tu as oublié le « casi » de la V.O.] ; moi, c'est à cette époque-là qu'en comprenant que la vie n'était qu'une constante succession de pertes, j'avais ressenti de l'étonnement et du désespoir [pas ce que dit la V.O.].
On vit, on accumule des idées, des images, des sentiments, puis on les perd. En même temps que notre innocence, on perd le rouge sur nos joues. On perd ce qui est tangible et ce qui est intangible : notre illusion, nos rêves, les vieux jouets de notre enfance. Et nous perdons aussi des maisons entières.
À un moment ou à un autre, ça nous arrive à presque tous ; moi, c'est à cette époque-là qu'en comprenant que la vie n'était qu'une constante succession de pertes, j'avais été surpris et dévasté. On vit, on accumule des idées, des images, des sentiments, puis on les perd. En même temps que notre innocence, on perd le rouge sur nos joues. On perd ce qui est tangible et ce qui ne l'est pas : notre illusion, nos rêves, les vieux jouets de notre enfance. Et nous perdons aussi des maisons entières.
À un moment ou à un autre, ça nous arrive à presque tous ; moi, c'est à cette époque-là qu'en comprenant que [CS / LA V.O.] la vie n'était qu'une constante succession de pertes, j'avais été surpris et dévasté. On vit, on accumule des idées, des images, des sentiments, puis on les perd. En même temps que notre innocence, on perd le rouge sur nos joues. On perd ce qui est tangible et ce qui ne l'est pas : notre illusion, nos rêves, les vieux jouets de notre enfance. Et nous perdons aussi des maisons entières.
À un moment ou à un autre, ça nous arrive à presque tous ; moi, c'est à cette époque-là que j'avais ressenti l'étonnement et la désolation de celui qui comprend que la vie n'était qu'une constante succession de pertes. On vit, on accumule des idées, des images, des sentiments, puis on les perd. En même temps que notre innocence, on perd le rouge sur nos joues. On perd ce qui est tangible et ce qui ne l'est pas : notre illusion, nos rêves, les vieux jouets de notre enfance. Et nous perdons aussi des maisons entières.
À un moment ou à un autre, ça nous arrive à presque tous ; moi, c'est à cette époque-là que j'avais ressenti l'étonnement et la désolation de celui qui comprend [« en comprenant »]
que la vida no es más que una constante sucesión de extravíos. Vivimos, atesoramos ideas, imágenes y sentimientos, y los perdemos. Perdemos, junto con la inocencia, el rubor de las mejillas. Perdemos lo tangible y lo intangible: la ilusión, los sueños, los viejos juguetes de la infancia. Y también perdemos casas enteras.
que la vie n'était [temps ! Bon relis tout en comparant bien avec la V.O.] qu'une constante succession de pertes. On vit, on accumule des idées, des images, des sentiments, puis on les perd. En même temps que notre innocence, on perd le rouge sur nos joues. On perd ce qui est tangible et ce qui ne l'est pas : notre illusion, nos rêves, les vieux jouets de notre enfance. Et nous perdons aussi des maisons entières.
À un moment ou à un autre, ça nous arrive à presque tous ; moi, c'est à cette époque-là que j'avais ressenti de l'étonnement et de la désolation, en comprenant que la vie n'est rien qu'une constante succession de pertes. On vit, on thésaurise des idées, des images, des sentiments, puis on les perd. En même temps que notre innocence, on perd le rouge sur nos joues. On perd ce qui est tangible et ce qui ne l'est pas : notre illusion, nos rêves, les vieux jouets de notre enfance. Et nous perdons aussi des maisons entières.
À un moment ou à un autre, ça nous arrive à presque tous ; moi, c'est à cette époque-là que j'avais ressenti de l'étonnement et de la désolation, en comprenant que la vie n'est rien qu'une constante succession de pertes. On vit, on thésaurise [bof] des idées, des images, des sentiments, puis on les perd. En même temps que notre innocence, on perd le rouge sur nos joues [« le rouge de nos joues s'efface » ? Je sais qu'on perd la répétition, peut-être volontaire, mais n'est-ce pas mieux ? Je te laisse voir…]. On perd ce qui est tangible et ce qui ne l'est pas : notre illusion, nos rêves, les vieux jouets de notre enfance. Et nous perdons aussi des maisons entières.
À un moment ou à un autre, ça nous arrive à presque tous ; moi, c'est à cette époque-là que j'avais ressenti de l'étonnement et de la désolation, en comprenant que la vie n'est rien qu'une constante succession de pertes. On vit, on accumule des idées, des images, des sentiments, puis on les perd. En même temps que notre innocence, le rouge de nos joues s'efface. On perd ce qui est tangible et ce qui ne l'est pas : notre illusion, nos rêves, les vieux jouets de notre enfance. Et nous perdons aussi des maisons entières.
À un moment ou à un autre, ça nous arrive à presque tous ; moi, c'est à cette époque-là que j'avais ressenti de l'étonnement et de la désolation, [sans la virgule] en comprenant que la vie n'est rien qu'une constante [« continuelle » ? Comme tu préfères] succession de pertes. On vit, on accumule des idées, des images, des sentiments, puis on les perd. En même temps que notre innocence, le rouge de nos joues s'efface. On perd ce qui est tangible et ce qui ne l'est pas : notre illusion, nos rêves, les vieux jouets de notre enfance. Et nous perdons aussi des maisons entières.
À un moment ou à un autre, ça nous arrive à presque tous ; moi, c'est à cette époque-là que j'avais ressenti de l'étonnement et de la désolation en comprenant que la vie n'est rien qu'une continuelle succession de pertes. On vit, on accumule des idées, des images, des sentiments, puis on les perd. En même temps que notre innocence, le rouge de nos joues s'efface. On perd ce qui est tangible et ce qui ne l'est pas : notre illusion, nos rêves, les vieux jouets de notre enfance. Et nous perdons aussi des maisons entières.
À un moment ou à un autre, ça nous arrive à presque tous ; moi, c'est à cette époque-là que j'avais ressenti de l'étonnement et de la désolation en comprenant que la vie n'est rien qu'une éternelle succession de pertes. On vit, on accumule des idées, des images, des sentiments, puis on les perd. En même temps que notre innocence, le rouge de nos joues s'efface. On perd ce qui est tangible et ce qui ne l'est pas : notre illusion, nos rêves, les vieux jouets de notre enfance. Et nous perdons aussi des maisons entières.
À un moment ou à un autre, ça nous arrive à presque tous ; moi, c'est à cette époque-là que j'avais ressenti [PQP, au fait ?] de l'étonnement et de la désolation en comprenant que la vie n'est rien qu'une éternelle succession de pertes. On vit, on accumule des idées, des images, des sentiments, puis on les perd. En même temps que notre innocence, le rouge de nos joues s'efface. On perd ce qui est tangible et ce qui ne l'est pas : notre illusion, nos rêves, les vieux jouets de notre enfance. Et nous perdons aussi des maisons entières.
À un moment ou à un autre, ça nous arrive à presque tous ; moi, c'est à cette époque-là que je
ressentis de l'étonnement et de la désolation en comprenant que la vie n'est rien qu'une éternelle succession de pertes. On vit, on accumule des idées, des images, des sentiments, puis on les perd. En même temps que notre innocence, le rouge de nos joues s'efface. On perd ce qui est tangible et ce qui ne l'est pas : notre illusion, nos rêves, les vieux jouets de notre enfance. Et nous perdons aussi des maisons entières.
À un moment ou à un autre, ça nous arrive à presque tous ; moi, c'est à cette époque-là que je
ressentis de l'étonnement et de la désolation en comprenant que la vie n'est rien qu'une éternelle succession de pertes. On vit, on accumule des idées, des images, des sentiments, puis on les perd. En même temps que notre innocence, le rouge de nos joues s'efface. On perd ce qui est tangible et ce qui ne l'est pas : notre illusion, nos rêves, les vieux jouets de notre enfance. Et nous perdons aussi des maisons entières.
OK.
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