samedi 27 février 2016

Projet Camille / Angélique – phrases 69-78

-Pero es absurdo lo que dices. ¿Qué se te ha metido en la cabeza? Cada cual crea relaciones en la medida de su propia exigencia. Si Ema vive con Leites no será por una imposición divina, por una ley fatal, sino tranquilamente porque no ve más allá de él.
-Te es difícil concebir que no vea más allá de él.
-Por Dios, basta, no seas ridícula.
Hubo otra pausa. El hombre del traje blanco salió del bar...
-No soy ridícula -dijo ella.
Habría querido agregar algo más, decir algo más significativo que echara una luz sobre todas esas frases vagas que cambiaban; pero no dijo nada; volvió a mirar las letras de la palabra Tintorería; el patrón llamó al mozo y le dio una orden en voz baja y el mozo fue y habló con uno de los dos clientes que ocupaban la mesa extrema del salón; ella sorbió la última gota del aguardiente ámbar.

Traduction temporaire :

— C'est absurde. Qu'est-ce que tu t'es mis en tête ? Chacun crée des relations en tenant compte de ses propres exigences. Si Ema vit avec Leites, ce n'est sans doute pas à cause de la volonté divine, d'une loi fatale, mais calmement parce qu'elle ne voit pas au-delà de lui.
— Il t'est difficile de concevoir qu'elle ne voie pas au-delà de lui.
— Mon Dieu, assez, ne sois pas ridicule.
Il y eut une autre pause. L'homme au costume blanc sortit du bar…
— Je ne suis pas ridicule.
Elle aurait voulu ajouter autre chose, rétorquer quelque chose de plus significatif, qui aurait mis en lumière toutes ces phrases vagues qui changeaient ; mais elle se tut ; elle regarda de nouveau les lettres du mot Teinturerie ; le patron appela et donna un ordre à voix basse au garçon, qui s'en alla. Le patron, lui, parla avec un des deux clients qui occupaient la table la plus éloignée de la salle ; elle avala la dernière goutte de l'eau-de-vie ambrée.

8 commentaires:

Unknown a dit…

— Ce que tu dis est absurde. Qu'est-ce que tu t'es mis en tête ? Chacun crée des relations dans la mesure de sa propre existence. Si Ema vit avec Leites ce n'est pas à cause d'une volonté divine, d'une loi fatale, mais calmement parce qu'elle ne voit pas au-delà de lui.
— Il t'es difficile de concevoir qu'elle ne voie pas au-delà de lui.
— Par Dieu, assez, ne sois pas ridicule.
Il y eut une autre pause. L'homme au costume blanc sortit du bar…
— Je ne suis pas ridicule, réfuta-t-elle.

Elle aurait voulu ajouter autre chose encore, rétorquer quelque chose de plus significatif qui aurait fait lumière sur toutes ces phrases vagues qui changeaient ; mais elle ne dit rien ; elle se remettait à regarder les lettres du mot Teinturerie ; le patron appela le garçon, lui donna la commande à voix basse, s'en alla et lui parla avec un de ses clients qui occupait la table la plus éloignée de la salle ; elle avala la dernière goutte de l'eau-de-vie ambrée.

Tradabordo a dit…

— Ce que tu dis [nécessaire ou on peut s'en tenir à réduire tout ça avec un simple « C'est » ? Je vous laisse évaluer et trancher] est absurde. Qu'est-ce que tu t'es mis en tête ? Chacun crée des relations dans la mesure de sa propre existence [clair et naturel ? Le diriez-vous (bon, en dehors du contenu, un peu………………)]. Si Ema vit avec Leites [virgule] ce n'est [« sans doute », pour rendre quand même l'hypothèse contenu dans le verbe au futur] pas à cause d'une [pas génial…] volonté divine, d'une loi fatale, mais calmement parce qu'elle ne voit pas au-delà de lui.
— Il t'es [ahem…] difficile de concevoir qu'elle ne voie pas au-delà de lui.
— Par Dieu [naturel ?], assez, ne sois pas ridicule.
Il y eut une autre pause. L'homme au costume blanc sortit du bar…
— Je ne suis pas ridicule, réfuta[pas naturel]-t-elle.
Elle aurait voulu ajouter autre chose encore [redondant, avec le « encore » ?], rétorquer quelque chose de plus significatif qui aurait fait lumière [mal dit] sur toutes ces phrases vagues qui changeaient ; mais elle ne dit rien [« se tut » ?] ; elle se remettait [temps ; le passé simple ne se traduit pas par de l'imparfait] à regarder les lettres du mot Teinturerie ; le patron appela le garçon, lui donna la commande [texte] à voix basse, s'en alla [sujet ?] et lui parla [pas clair] avec un de ses [texte] clients qui occupait [texte] la table la plus éloignée de la salle ; elle avala la dernière goutte de l'eau-de-vie ambrée.

Unknown a dit…

— C'est absurde. Qu'est-ce que tu t'es mis en tête ? Chacun créer des relations en tenant compte de sa propre exigence. Si Ema vit avec Leites, ce n'est sans doute pas par rapport à une volonté divine, une loi fatale, mais calmement parce qu'elle ne voit pas au-delà de lui.
— Il t'est difficile de concevoir qu'elle ne voie pas au-delà de lui.
— Mon Dieu, assez, ne sois pas ridicule.
Il y eut une autre pause. L'homme au costume blanc sortit du bar…
— Je ne suis pas ridicule, affirma-t-elle.
Elle aurait voulu ajouter autre chose, rétorquer quelque chose de plus significatif qui aurait donné du sens à toutes ces phrases vagues qui changeaient ; mais elle se tut ; elle se remit à regarder les lettres du mot Teinturerie ; le patron appela le garçon, lui donna un ordre à voix basse, celui-ci s'en alla et parla avec un des clients qui était à la table la plus éloignée de la salle ; elle avala la dernière goutte de l'eau-de-vie ambrée.

Tradabordo a dit…

— C'est [et ce serait trop si on supprimait carrément ?] absurde. Qu'est-ce que tu t'es mis en tête ? Chacun créer [yo comer ?] des relations en tenant compte de sa propre exigence [pluriel ?]. Si Ema vit avec Leites, ce n'est sans doute pas par rapport [« à cause » ? ] à une [« la »] volonté divine, une loi fatale, mais calmement parce qu'elle ne voit pas au-delà de lui.
— Il t'est difficile de concevoir qu'elle ne voie pas au-delà de lui.
— Mon Dieu [est-il nécessaire qu'il y ait Dieu ?], assez, ne sois pas ridicule.
Il y eut une autre pause. L'homme au costume blanc sortit du bar…
— Je ne suis pas ridicule, affirma-t-elle [nécessaire ?].
Elle aurait voulu ajouter autre chose, rétorquer quelque chose de plus significatif qui aurait donné du sens [pas ce que dit la V.O.] à toutes ces phrases vagues qui changeaient ; mais elle se tut ; elle se remit à regarder [pas plus simple .] les lettres du mot Teinturerie ; le patron appela le garçon, lui donna un ordre à voix basse, celui-ci [débrouillez-vous pour ne pas mettre ça ; c'est toujours à éviter : lourd, etc. Recomposez un peu la phrase pour rapprocher « garçon » du verbe…] s'en alla et parla [qui : le patron ou le garçon ? J'hésite…] avec un des [« uno de los DOS »] clients qui était [pluriel + pourquoi changer ?] à la table la plus éloignée de la salle ; elle avala la dernière goutte de l'eau-de-vie ambrée.

Unknown a dit…

— C'est absurde. Qu'est-ce que tu t'es mis en tête ? Chacun crée des relations en tenant compte de ses propres exigences. Si Ema vit avec Leites, ce n'est sans doute pas à cause de la volonté divine, d'une loi fatale, mais calmement parce qu'elle ne voit pas au-delà de lui.
— Il t'est difficile de concevoir qu'elle ne voie pas au-delà de lui.
— Mon Dieu, assez, ne sois pas ridicule.
Il y eut une autre pause. L'homme au costume blanc sortit du bar…
— Je ne suis pas ridicule.
Elle aurait voulu ajouter autre chose, rétorquer quelque chose de plus significatif qui aurait éclairé toutes ces phrases vagues qui changeaient ; mais elle se tut ; elle regarda à nouveau les lettres du mot Teinturerie ; le patron appela le garçon, lui donna un ordre à voix basse puis s'en alla. Le patron, lui, parla avec un des deux clients qui occupaient la table la plus éloignée de la salle ; elle avala la dernière goutte de l'eau-de-vie ambrée.

Tradabordo a dit…

— C'est absurde. Qu'est-ce que tu t'es mis en tête ? Chacun crée des relations en tenant compte de ses propres exigences. Si Ema vit avec Leites, ce n'est sans doute pas à cause de la volonté divine, d'une loi fatale, mais calmement parce qu'elle ne voit pas au-delà de lui.
— Il t'est difficile de concevoir qu'elle ne voie pas au-delà de lui.
— Mon Dieu, assez, ne sois pas ridicule.
Il y eut une autre pause. L'homme au costume blanc sortit du bar…
— Je ne suis pas ridicule.
Elle aurait voulu ajouter autre chose, rétorquer quelque chose de plus significatif, qui aurait éclairé [« mettre en lumière » ? Comme vous préférez] toutes ces phrases vagues qui changeaient ; mais elle se tut ; elle regarda à [« de »] nouveau les lettres du mot Teinturerie ; le patron appela le garçon, lui donna un ordre à voix basse puis s'en alla [là, vous laissez entendre que c'est le patron qui s'en va]. Le patron, lui, parla avec un des deux clients qui occupaient la table la plus éloignée de la salle ; elle avala la dernière goutte de l'eau-de-vie ambrée.

Unknown a dit…

— C'est absurde. Qu'est-ce que tu t'es mis en tête ? Chacun crée des relations en tenant compte de ses propres exigences. Si Ema vit avec Leites, ce n'est sans doute pas à cause de la volonté divine, d'une loi fatale, mais calmement parce qu'elle ne voit pas au-delà de lui.
— Il t'est difficile de concevoir qu'elle ne voie pas au-delà de lui.
— Mon Dieu, assez, ne sois pas ridicule.
Il y eut une autre pause. L'homme au costume blanc sortit du bar…
— Je ne suis pas ridicule.
Elle aurait voulu ajouter autre chose, rétorquer quelque chose de plus significatif, qui aurait mis en lumière toutes ces phrases vagues qui changeaient ; mais elle se tut ; elle regarda de nouveau les lettres du mot Teinturerie ; le patron appela et donna un ordre à voix basse au garçon, qui s'en alla. Le patron, lui, parla avec un des deux clients qui occupaient la table la plus éloignée de la salle ; elle avala la dernière goutte de l'eau-de-vie ambrée.

Tradabordo a dit…

— C'est absurde. Qu'est-ce que tu t'es mis en tête ? Chacun crée des relations en tenant compte de ses propres exigences. Si Ema vit avec Leites, ce n'est sans doute pas à cause de la volonté divine, d'une loi fatale, mais calmement parce qu'elle ne voit pas au-delà de lui.
— Il t'est difficile de concevoir qu'elle ne voie pas au-delà de lui.
— Mon Dieu, assez, ne sois pas ridicule.
Il y eut une autre pause. L'homme au costume blanc sortit du bar…
— Je ne suis pas ridicule.
Elle aurait voulu ajouter autre chose, rétorquer quelque chose de plus significatif, qui aurait mis en lumière toutes ces phrases vagues qui changeaient ; mais elle se tut ; elle regarda de nouveau les lettres du mot Teinturerie ; le patron appela et donna un ordre à voix basse au garçon, qui s'en alla. Le patron, lui, parla avec un des deux clients qui occupaient la table la plus éloignée de la salle ; elle avala la dernière goutte de l'eau-de-vie ambrée.

OK.