—Si lo viéramos en la calle, creo que seríamos incapaces de identificarlo —dije yo.
—Habría que mirarlo bien a los ojos —comentó Aníbal.
—¿A qué te refieres?
—Yo examiné detenidamente a Ramón, y después de lo que me dijo la Zurda de su enamoramiento, recordé que Ramón tenía esa mirada de indolencia y hastío insondable que a veces ponía el bueno de Brando en sus películas.
(Mi abuelo materno hablaba siempre de las miradas que lo decían todo; él pensaba, y somos de la misma opinión, que las más íntimas manifestaciones del alma no están hechas de frases profundas o de hallazgos geniales, sino de miradas secretas, frases truncas, sonrisas contenidas y polvo de estrellas).
A la sexta o sétima reunión de café en la alegre terraza del D’Onofrio, mi amigo y yo llegamos a una conclusión, o algo que, a modo de consuelo, queríamos tomar por el posible final de este gran misterio que, decidimos, nos incumbía.
Traduction temporaire :
— Si on le croisait dans la rue, je crois qu'on serait incapables de le reconnaître, déclarai-je
— Il faudrait le regarder bien dans les yeux.
— Qu'est-ce que tu veux dire ?
— J'ai observé attentivement Ramón, et après ce que la Gauchère m'a avoué à propos de son béguin, je me suis souvenu qu'il avait ce regard, ou se mêlait indolence et insondable lassitude, le même que celui du beau Brando dans certains de ses films.
(Mon grand-père paternel parlait toujours des regards qui en disaient long ; il pensait – et nous sommes du même avis – que les plus intimes manifestations de l'âme ne sont pas faites de phrases profondes ou de trouvailles géniales, mais de regards secrets, de phrases tronquées, de sourires contenus et de poussière d'étoiles).
Lors de notre sixième ou septième rendez-vous à la joyeuse terrasse du D'Onofrio, mon ami et moi arrivâmes à une conclusion, ou quelque chose, qu'en guise de consolation, nous voulions voir comme la fin potentielle de ce grand mystère que nous nous étions donné pour mission de résoudre.
— Il faudrait le regarder bien dans les yeux.
— Qu'est-ce que tu veux dire ?
— J'ai observé attentivement Ramón, et après ce que la Gauchère m'a avoué à propos de son béguin, je me suis souvenu qu'il avait ce regard, ou se mêlait indolence et insondable lassitude, le même que celui du beau Brando dans certains de ses films.
(Mon grand-père paternel parlait toujours des regards qui en disaient long ; il pensait – et nous sommes du même avis – que les plus intimes manifestations de l'âme ne sont pas faites de phrases profondes ou de trouvailles géniales, mais de regards secrets, de phrases tronquées, de sourires contenus et de poussière d'étoiles).
Lors de notre sixième ou septième rendez-vous à la joyeuse terrasse du D'Onofrio, mon ami et moi arrivâmes à une conclusion, ou quelque chose, qu'en guise de consolation, nous voulions voir comme la fin potentielle de ce grand mystère que nous nous étions donné pour mission de résoudre.
8 commentaires:
— Si on le voyait dans la rue, je crois qu'on serait incapables de le reconnaître, déclarai-je.
— Il faudrait le regarder bien dans les yeux, précisa Anibal.
— Qu'est-ce que tu veux dire ?
— J'ai observé attentivement Ramón, et après ce que la Gauchère m'a avoué à propos de son béguin je me suis souvenu qu'il avait ce regard indolent et profondément las, qu'affichait parfois le beau Brando dans ses films.
(Mon grand-père paternel parlaient toujours des regards qui disaient tout ; il pensait – et nous sommes du même avis – que les plus intimes manifestations de l'âme ne sont pas faites de phrases profondes ou de trouvailles extraordinaires, mais de regards secrets, de phrases tronquées, de sourires contenus et de poussière d'étoiles).
Lors de notre sixième ou septième réunion à la joyeuse terrasse du D'Onofrio, mon ami et moi arrivâmes à une conclusion, ou quelque chose qu'en guise de consolation, nous voulions prendre pour la fin potentielle de ce grand mystère, dont nous avions décidé qu'il nous incombait.
— Si on le voyait [pas mieux avec « croisait » ? J'hésite…] dans la rue, je crois qu'on serait incapables de le reconnaître, déclarai-je [si avant, on sait clairement qui parle, supprime ça].
— Il faudrait le regarder bien dans les yeux, précisa Anibal [supprime].
— Qu'est-ce que tu veux dire ?
— J'ai observé attentivement Ramón, et après ce que la Gauchère m'a avoué à propos de son béguin [virgule] je me suis souvenu qu'il avait ce regard indolent et profondément [texte] las, qu'affichait parfois le beau [sûre ? Je ne dis pas que c'est faux…] Brando dans ses films.
(Mon grand-père paternel parlaient toujours des regards qui disaient tout [mal dit] ; il pensait – et nous sommes du même avis – que les plus intimes manifestations de l'âme ne sont pas faites de phrases profondes ou de trouvailles extraordinaires [littéral ?], mais de regards secrets, de phrases tronquées, de sourires contenus et de poussière d'étoiles).
Lors de notre sixième ou septième réunion [adapté ici ?] à la joyeuse terrasse du D'Onofrio, mon ami et moi arrivâmes à une conclusion, ou quelque chose [virgule] qu'en guise de consolation, nous voulions prendre pour la fin potentielle de ce grand mystère, dont nous avions décidé qu'il nous incombait [?].
On ne sait pas clairement qui parle, puisque le dialogue est interrompu,(quand le narrateur explique comment son amitié avec Anibal s'est renforcée) il reprend là
— Si on le croisait dans la rue, je crois qu'on serait incapables de le reconnaître, déclarai-je
— Il faudrait le regarder bien dans les yeux.
— Qu'est-ce que tu veux dire ?
— J'ai observé attentivement Ramón, et après ce que la Gauchère m'a avoué à propos de son béguin, je me suis souvenu qu'il avait ce regard, ou se mêlait indolence et insondable lassitude, qu'affichait parfois le beau [sûre ? Je ne dis pas que c'est faux… / J'ai vérifié] Brando dans ses films.
(Mon grand-père paternel parlaient toujours des regards qui en disaient long ; il pensait – et nous sommes du même avis – que les plus intimes manifestations de l'âme ne sont pas faites de phrases profondes ou de trouvailles géniales, mais de regards secrets, de phrases tronquées, de sourires contenus et de poussière d'étoiles).
Lors de notre sixième ou septième rendez-vous à la joyeuse terrasse du D'Onofrio, mon ami et moi arrivâmes à une conclusion, ou quelque chose, qu'en guise de consolation, nous voulions prendre pour la fin potentielle de ce grand mystère, qu'il – nous l'avions décidé – nous incombait de résoudre.
— Si on le croisait dans la rue, je crois qu'on serait incapables de le reconnaître, déclarai-je
— Il faudrait le regarder bien dans les yeux.
— Qu'est-ce que tu veux dire ?
— J'ai observé attentivement Ramón, et après ce que la Gauchère m'a avoué à propos de son béguin, je me suis souvenu qu'il avait ce regard, ou se mêlait indolence et insondable lassitude, qu'affichait [ça s'enchaîne pas très bien avec le « ce »…] parfois le beau Brando dans ses films.
(Mon grand-père paternel parlaient [grammaire] toujours des regards qui en disaient long ; il pensait – et nous sommes du même avis – que les plus intimes manifestations de l'âme ne sont pas faites de phrases profondes ou de trouvailles géniales, mais de regards secrets, de phrases tronquées, de sourires contenus et de poussière d'étoiles).
Lors de notre sixième ou septième rendez-vous à la joyeuse terrasse du D'Onofrio, mon ami et moi arrivâmes à une conclusion, ou quelque chose, qu'en guise de consolation, nous voulions prendre [bof] pour la fin potentielle de ce grand mystère, qu'il – nous l'avions décidé – nous incombait de résoudre [la fin n'est pas géniale].
— Si on le croisait dans la rue, je crois qu'on serait incapables de le reconnaître, déclarai-je
— Il faudrait le regarder bien dans les yeux.
— Qu'est-ce que tu veux dire ?
— J'ai observé attentivement Ramón, et après ce que la Gauchère m'a avoué à propos de son béguin, je me suis souvenu qu'il avait ce regard, ou se mêlait indolence et insondable lassitude, parfois offert par le beau Brando dans ses films.
(Mon grand-père paternel parlait toujours des regards qui en disaient long ; il pensait – et nous sommes du même avis – que les plus intimes manifestations de l'âme ne sont pas faites de phrases profondes ou de trouvailles géniales, mais de regards secrets, de phrases tronquées, de sourires contenus et de poussière d'étoiles).
Lors de notre sixième ou septième rendez-vous à la joyeuse terrasse du D'Onofrio, mon ami et moi arrivâmes à une conclusion, ou quelque chose, qu'en guise de consolation, nous voulions voir comme la fin potentielle de ce grand mystère que nous nous étions donné pour mission de résoudre.
— Si on le croisait dans la rue, je crois qu'on serait incapables de le reconnaître, déclarai-je
— Il faudrait le regarder bien dans les yeux.
— Qu'est-ce que tu veux dire ?
— J'ai observé attentivement Ramón, et après ce que la Gauchère m'a avoué à propos de son béguin, je me suis souvenu qu'il avait ce regard, ou se mêlait indolence et insondable lassitude, parfois offert par [simplifie : « le même que celui »] le beau Brando dans ses films.
(Mon grand-père paternel parlait toujours des regards qui en disaient long ; il pensait – et nous sommes du même avis – que les plus intimes manifestations de l'âme ne sont pas faites de phrases profondes ou de trouvailles géniales, mais de regards secrets, de phrases tronquées, de sourires contenus et de poussière d'étoiles).
Lors de notre sixième ou septième rendez-vous à la joyeuse terrasse du D'Onofrio, mon ami et moi arrivâmes à une conclusion, ou quelque chose, qu'en guise de consolation, nous voulions voir comme la fin potentielle de ce grand mystère que nous nous étions donné pour mission de résoudre.
— Si on le croisait dans la rue, je crois qu'on serait incapables de le reconnaître, déclarai-je
— Il faudrait le regarder bien dans les yeux.
— Qu'est-ce que tu veux dire ?
— J'ai observé attentivement Ramón, et après ce que la Gauchère m'a avoué à propos de son béguin, je me suis souvenu qu'il avait ce regard, ou se mêlait indolence et insondable lassitude, le même que celui du beau Brando dans certains de ses films.
(Mon grand-père paternel parlait toujours des regards qui en disaient long ; il pensait – et nous sommes du même avis – que les plus intimes manifestations de l'âme ne sont pas faites de phrases profondes ou de trouvailles géniales, mais de regards secrets, de phrases tronquées, de sourires contenus et de poussière d'étoiles).
Lors de notre sixième ou septième rendez-vous à la joyeuse terrasse du D'Onofrio, mon ami et moi arrivâmes à une conclusion, ou quelque chose, qu'en guise de consolation, nous voulions voir comme la fin potentielle de ce grand mystère que nous nous étions donné pour mission de résoudre.
— Si on le croisait dans la rue, je crois qu'on serait incapables de le reconnaître, déclarai-je
— Il faudrait le regarder bien dans les yeux.
— Qu'est-ce que tu veux dire ?
— J'ai observé attentivement Ramón, et après ce que la Gauchère m'a avoué à propos de son béguin, je me suis souvenu qu'il avait ce regard, ou se mêlait indolence et insondable lassitude, le même que celui du beau Brando dans certains de ses films.
(Mon grand-père paternel parlait toujours des regards qui en disaient long ; il pensait – et nous sommes du même avis – que les plus intimes manifestations de l'âme ne sont pas faites de phrases profondes ou de trouvailles géniales, mais de regards secrets, de phrases tronquées, de sourires contenus et de poussière d'étoiles).
Lors de notre sixième ou septième rendez-vous à la joyeuse terrasse du D'Onofrio, mon ami et moi arrivâmes à une conclusion, ou quelque chose, qu'en guise de consolation, nous voulions voir comme la fin potentielle de ce grand mystère que nous nous étions donné pour mission de résoudre.
OK.
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